Aller au contenu

James7

Actif
  • Compteur de contenus

    24
  • Inscrit(e) le

  • Dernière visite

Messages postés par James7

  1. Bonjour à tous,


    J'ai changé le nom de domaine de plusieurs de mes sites selon cette technique ci:


    - Le nouveau nom de domaine pointe vers l'hébergement


    - L'ancien nom de domaine est redirigé en 301 vers le nouveau.


    - Demande de changement d'adresse via Google Webmaster Tools.



    j'ai remarqué la chose suivante:


    Google référence bien le nouveau site, prend en compte la redirection 301, mais ne désindexe l'ancien site qu'en partie. La desindexation est longue, et pour mon cas ne desindexe pas, même 2 ans après, la homepage de l'ancien nom de domaine. Quand on jette un oeil au cache google de ces anciens noms, c'est bien le cache du nouveau site qui apparait. Donc Google prend bien en compte la 301. Mais alors pourquoi continuer de référencer l'ancien site ?



    Je me retrouve dans les deux cas suivant


    1er cas: Mon site à changé de nom de domaine deux fois. Les anciens sites ne génèrent plus de trafic SEO, mais les deux nom de domaines précédents, notamment la homepage, apparaissent toujours dans les moteurs de recherche.


    2nd cas: Un autre site vient de changer de nom de domaine (il y a un mois). L'ancien nom de domaine apparait toujours dans les moteurs de recherche et se retrouve mieux classé que le nouveau qui est sur la même page. La confusion est donc totale !



    Question:


    Est-ce un élément que vous avez aussi remarqué chez vous ? Comment y remedier ?



    Merci à tous d'avance ! :)



  2. Voici mon point de vue:


    - Si tu achete un site internet, tu n'est pas dans l'obligation de racheter la société qui l'édite. Tu peux te faire céder sur une plateforme le dit site par la société.


    - Acheter un site internet "établi", c'est à dire en activité, qui génère du trafic et un chiffre d'affaire, n'as d'interet que si tu es convaincu de pouvoir optimiser le dit site (fonctionnalité, SEO, trafic, rentabilité...) affin d'en multiplier le chiffre d'affaire.



    Dans le cas contraire, l'interet est déjà moindre. Pour un site internet "stable", qui génère un chiffre d'affaire minimum depuis plusieurs années, le prix d'achat sera souvent compris entre 12 et 24 mois de chiffres d'affaire minimum. Et sera souvent proche de 36 mois de chiffres d'affaire pour les meilleurs site. Il te faudra donc attendre deux années au moins, pendant lesquelles tu devras fournir un travail hebdomadaire et le plus souvent quotidien variable mais non négligeable, en fonction du site, avant de commencer éventuellement à envisager un retour sur investissement. Et que tu soit organisé en indépendant ou en société, il te faudra payer des charges sur les revenus que tu voudra éventuellement te verser.



    Donc en cas de rachat d'un site existant, la masse de travail est très importante, est souvent tout aussi importante que s'il t'avais fallut créer un site de zéro.



    Ajoute à ça les "risques" non-négligeables lié à une telle transaction à savoir le fait qu'il est maintenant assez difficile d'identifier un "bon" site à l'achat, et l'origine de son trafic. Il n'est pas rare de voir des webmasters mécontent qui 12 à 18 mois après un achat de site web se retrouve avec un site qui a perdu l'intégralité de son trafic qui était alimenté par le réseau des anciens propriétaire.


    Pose-toi la question suivante: après tout, si ce site est rentable et génère du trafic de bonne qualité de lui même, pourquoi le propriétaire voudrait s'en séparer ?



    Si ton objectif est de "gagner" du temps et de te faciliter la tâche, rien ne t'assure que ce sera le cas si tu achete une activitée déjà en place...


  3. D'après ce rapport, ils sont encore 3 (dont kaspersky) à considerer que le site est un malware sad.gif


    https://www.virustotal.com/en/url/5b825882ab222461cd5c5cf4b7d65b9cce224beb9e88bdf9b514bd65ecf122a1/analysis/



    J'ai contacté les 3 sites.



    Néamoins, certains utilisateurs m'informe avoir une erreur avec Avast. Et j'ai du mal à comprendre pourquoi du coup !


    (Avast a déjà retiré le site de ses bases).

  4. Bonjour à tous,

    Je ne savais pas ou poster ce message, j'ai donc suivis les indications proposant de poster ici pour que le message soit ensuite déplacé.

    Il m'arrive une mésaventure un peu particulière.

    J'enregistre des ndd depuis des années et pour le lancement d'un nouveau projet (qui reprennait un projet déjà existant sous un autre ndd), j'ai eu la mission de choisir un nom de domaine court, performant, et bien entendu libre.

    Après avoir choisit le nom de domaine et lancer le projet, nous avons eu la désagréable surprise de m'apercevoir que ce nom de domaine avait été utilisé quelques semaines par le passé pour faire du spam / pishing / malware, avant d'être laissé libre par ses anciens propriétaire.

    Résultat: le nom de domaine est blacklisté par SiteAdvisor et la base de donné partagées à tous les antivirus, rendant inaccessible le site pour les utilisateurs équipés d'un antivirus concerné.

    Lorsque nous avons déposé le nom de domaine, il était donc blacklisté chez certains AV à cause des agissements de l'ancien propriétaire, sans qu'on le sache.

    Après avoir obtenu de SiteAdvisor (McAffeee), qu'il corrige l'erreur et retire ce site de leur base, je me rend compte que certains anti-virus ne sont pas à jour, et que d'autre ont tout simplement dupliqué cette base.

    J'ai donc besoin de votre aide pour la mission suivante:

    Si possedez un antivirus, payant, gratuit, libre, en addon, pouvez m'indiquez si vous constatez un message d'alerte en se rendant sur le dit site.

    Si vous avez la possibilité de m'indiquer les AV que vous utilisez, et si vous avez ou pas un message d'alerte, je vous en serez extremement reconnaissant.

    La question subsidiaire est la suivante:

    Devons-nous changer de NDD ? Sachant que le site en est à son deuxième changement de NDD.

    Est-ce potentiellement nuisible au SEO ? Le domaine n'a jamais été blacklisté chez Google, mais lors du dernier changement de NDD (et du passage sur ce nouveau NDD), le site a subit une baisse du trafic Google assez important. (Que nous avions imputé à un changement de CMS à l'époque).

    Notre décision, pour le moment, est d'identifier (avec l'aide d'un pannel utilisateur le plus grand possible) les antivirus qui ont blacklisté ce domaine, et faire à la main des requêtes de modification. En espérant que trois ou quatres mails suffiront à corriger l'erreur et faire sortir le site des radars.

    <edit: dan ... supprimé le lien hypertexte à la demande de l'auteur>

  5. Bonjour à tous,

    Je suis à la recherche d'une régie publicitaire qui me proposerait de la vidéo à placer "in-stream" (avant les vidéos que j'héberge moi meme), en lecture automatique (à la façon de ce qui se fait sur Youtube et Dailymotion)

    Je trouve peu d'info sur le net. Avez-vous des noms ?

    Quels conditions ?

    Quelles rémunérations ?

    Quel CPM ?

    Merci largement d'avance !

    ;)

  6. Effectivement, tu as sans doute raison... Mais :hypocrite:

    Lorsque tu loues tu signes un bail qui est un contrat qui te lie à ton propriétaire. Et il est indiqué généralement : "Bail non commercial" sauf si comme le précise Philippe Fraisse

    Et généralement dans ton bail il est indiqué que le preneur s'engage à ne faire qu'un usage personnel de l'appartement, sauf autorisation expresse du bailleur.

    Lorsque tu achètes un appartement en copropriété tu acceptes de respecter les clauses du règlement de la copropriété. Donc il t'est opposable. Et si tu le lis, tu verras que régulièrement il est mentionné qu'il te faut l'autorisation de la communauté pour exercer une profession.

    En juridique, le terme commercial signifie tout acte de commerce. Et un acte de commerce n'est pas seulement vendre des produits.

    Il y a toujours confusion entre l'usage professionnel d'un logement, et la domiciliation de l'entreprise.

    Dans le cas qui nous intéresse (un webmaster, une web-agency, un consultant), ce dernier n'use pas de son logement à titre professionnel !

    Son bail reste "personnel", et son logement ne devient pas, même en partie, un lieu de travail...

    L'article que vous cité concerne les indépendant qui aimerais pratiqué une activité "commerciale" (vente / commerce / soins / consultation / prestations... et j'en passe) de chez eux et recevoir de la clientèle (ou non d'ailleurs). Mais ça n'a rien avoir avec le cas qui nous intéresse.

    Deux exemples:

    - Un praticien en médecine chinoise souhaite pratiquer depuis son appartement des séances de soins. S'il décide de poser une plaque à l'entrée de son immeuble, la décision de la co-propriété sur le sujet, et le reclassement éventuel de son bail en bail mixte ne peut être évité. S'il décide de ne pas posé de plaque, un voisin "curieux" peux lui opposer le fait qu'il exerce son activité dans son logement et reçois du publique. La co-propriété peut s'opposer à la poursuite des activité ou lui imposer des charges plus importante.

    - Un Webmaster/Consultant ne pratique pas chez lui son activité, il la pratique "n'importe ou", avec un téléphone ou un ordinateur portable, et bénéficie, en domiciliant la société chez lui, d'une adresse postale et d'un numéro de téléphone. La copropriété ne peut pas s'opposer à une éventuelle activité commerciale dans le logement, puisqu'il n'y en a pas.

    J'attire votre attention sur l'aspect immatériel de la chose. Un siège social "provisoire" n'est qu'une adresse et un numéro de téléphone, comme le précisera la CCI à n'importe quel nouvel entrepreneur. Il n'y aucune requalification du logement, aucun changement au bail, et en aucun cas le gérant n'est autorisé à utilisé son "siege social" comme lieu d'activité commerciale en tant que tel. Par exemple, recevoir un client chez lui en indiquant qu'il s'agit du siège social de sa société serait erroné ! Il s'agit de son logement personnel, ou est domicilié adresse et numéro de téléphone de sa société !

    Je suis désolé, je suis probablement peu clair dans mes propos ! (je ne suis pas juriste). Mais j'espère avoir réussi à vous éclairer sur la situation.

    Bien entendu que la domiciliation d'une entreprise est autorisée. Je n'ai jamais dit le contraire. Mais je ne vois pas ou est le problème de demander ou signaler que l'on souhaite ouvrir une société et la domicilier chez soi, dans la mesure ou l'on ne reçoit pas de clients. ;)

    Ah, mais je n'y vois aucun inconvénient non plus. Mais c'est tout simplement totalement inutile. Signaler la situation peut être courtois et bienvenu (notamment à son propriétaire), mais encore une fois, il n'y a rien à demander à personne, et la CCI / Le greffe ne vous demandera rien.

    C'est en qualité d'occupant du logement (locataire ou propriétaire), que vous signez une mise à disposition de votre adresse pour domicilier votre entreprise. Vous et vous seul signerez cet acte. La co-propropriété ou votre propriétaire n'a pas de droit de regard la dessus.

  7. Oui mais Bill Gates il est américain il me semble :whistling:

    Comme je l'ai dit plus haut, pour mettre l'adresse de son domicile (ou celui de ses parents) comme adresse commerciale si tu es en appartement il faut que cela soit prévu dans le règlement de copropriété ! Stock ou pas stock ! Donc, il faut demander l'autorisation soit à son proprio, soit au syndic de la copropriété ! :)

    et oui, même sans stock, les copropriétaires ont peut être prévu au départ de ne pas être dérangé par un va et vient de clients... Donc, si tu n'as pas envie qu'un mauvais coucheur apprenant que tu as domicilié ta société chez toi, ne te demande d'aller la domicilier ailleurs, autant faire les choses dans les règles avant. ;)

    Les fausses croyances ont la peaux dures ! (J'ai travaillé un temps pour une régie immobilière)

    Il semblerait que celle-ci soit entretenue par les co-propriétés soucieuses de conserver coûte que coûte la quiétude de leurs logis...

    Donc pour précision, la loi prévois qu'en cas d'opposition légale ou contractuel, un entrepreneur (gérant) est autorisé à domicilier "provisoirement" son entreprise à son domicile pour une durée de 5 ans (contre une durée illimité si rien ne s'y oppose).

    En d'autre terme, ni l'accord préalable du propriétaire, ni celui de la copropriété n'est nécessaire pour établir le siège social de votre société (sans bail commercial), à votre domicile, pour 5 ans.

    Ces derniers ne peuvent pas s'y opposer, ni à l'immatriculation, ni après.

    Sachez d'ailleurs qu'il est rarissime qu'une copropriété s'oppose au termes des 5 ans à une domiciliation d'entreprise sans commerce.

    Pour une raisons valable:

    Lorsque vous situez votre siège social à votre domicile, vous ne créez aucune activité commerciale dans votre immeuble ! Vous obtenez deux choses uniques: une adresse postale, et un numéro de téléphone. Pour le reste, votre logement reste votre logement... Alors à moins que votre tas de courrier ne déborde de façon intempestive de votre boite au lettre cela ne concerne pas votre co-propriété.

    Il existe des cas particuliers ou la copropriété doit être mise au courant, et peut s'opposer de façon valable à un projet, (gestion de stock, accueil de clientèle, profession médical & assimilé, pose d'une plaque..), mais aucun de ces cas ne concernent les visiteurs de Webmaster-Hub :)

    Vous confondez l'utilisation commerciale d'un logement personnel (pour lequel gestion de stock ou non, il y a souvent un bail mixte ou commerciale, soumis à l'autorisation de la co-propriété) et la domiciliation d'entreprise à son logement personnel.

    Je vous renvoie à cette page:
    />http://www.sarleurl.com/siegesocial.html et à votre CCI qui vous confirmera l'information.

  8. Bonjour à tous,

    Je m'apprête à créer une S.A.R.L. en association (4 associés), pour éditer un site web d'envergure.

    Je serais majoritaire de l'entreprise, et nous travaillons déjà depuis 3 moi sur le dit site, et avons prévu encore 1 mois de développement.

    L'immatriculation de la S.A.R.L (ou en tout cas son début d'activité), ne devrait pas intervenir tout de suite. (Je serais gérant majoritaire, soumis au RSI, et je risque de payer des montant forfaitaires inutile si le site n'est pas encore lancé). Je songe donc à attendre au moins le J1 pour immatriculer l'entreprise.

    Jusque la, j'aimerais protéger chacun des associés en leurs faisant signer une clause de confidentialité qui indique que leurs travail est effectué pour le compte de la société en cours de création, et qu'il s'engage a ne pas dupliquer le travail effectué, le copié en partie, ou s'en inspirer pour un autre projet, pendant la periode de création. (Grossomodo, un contrat qui protège les 4 associés contre le vol du projet pendant la période de création).

    Savez-vous ou je peux trouver ce genre de texte ?

    Merci à tous d'avance.

  9. Bonjour à tous,

    Je me plie donc à l'exercice conventionnel des présentation !

    J'ai 28 ans, je travail dans l'audiovisuel et occasionnellement dans le web, justement pour ces activités-ci.

    J'ai le profil d'un porteur de projet / manager d'équipe. Je travail généralement en équipes avec des développeurs / webdesigners.

    Au plaisir de vous lire.

  10. la solution de l'association est la plus mauvaise, surtout si vous devez récupérer des droits importants lorsque vous vendrez le site: les fonds récupérés par une association ne sont pas destinés à être répartis entre les adhérents, mais à rester ou a être donnés à une autre association ....)

    La solution de la sarl me semble la plus logique. Des associés avec des parts réparties au prorata des valeurs de participation à l'élaboration du site; un gérant qui sera minoritaire (et par ailleurs salarié), et qui ne sera pas rémunéré par la société.

    Pendant les dix huit mois, vous enverrez des déclarations de TVA avec un solde de tva toujours à récupérer; des déclarations de résultat ou n'apparaitront que le capital et une caisse au bilan, et un compte de résultat encore plus réduit à quelques charges.

    Après avoir vendu votre site, vous engagerez la cessation de son activité qui aboutira à un boni de liquidation à répartir entre vous...

    Beaucoup de paperasses ... mais une structure saine, qui ne gâchera pas votre collaboration à cause du doute légitime qui s'installerait si l'un seul d'entre vous devait servir de prête-nom.

    Effectivement, c'est ce que j'ai tendance à croire instinctivement.

    Et ce vers quoi nous nous orientons ! :)

    Merci à tous pour vos réponses.

  11. Non je suis en france, et effectivement, je n'ai pas vu de statut de société particulièrement adaptée..

    Pour la micro-entreprise, c'est un régime fiscal, ce qui sera à mon avis notre cas, mais ça ne résout rien au niveau du statut.

    Pour exemple, en créeant une SARL, je renonce à ma bourse de recherche (env 500 par mois), qui est mon seul revenu actuellement.

    Je vais donc me retrouver sans le sous si je fait ça.. :(

  12. Bonjour à tous,

    Je suis actuellement en création, avec 3 associés (2 developpeur, un communicant), d'un site internet / service, gratuit, destiné à généré des revenus publicitaires.

    Il s'agit, pour tous les trois, d'une activité secondaire. Le site n'est pas amené à généré du CA avant 18 mois.

    Existe-t-il d'autre structure que la SARL affin que nous puissions tous, selon notre degré de participation au projet, partager les "droits" sur le dit projet ?

    D'un coté, l'idée de nous "faire confiance" pendant 18 mois parait simple, mais le nom de domaine doit être la propriété d'un seul homme, et d'expérience, je sait qu'il est difficile de s'entendre à 4 sans structure.

    D'un autre coté, créer une SARL, pour une activité très secondaire qui ne génére aucun CA pendant 18 mois, semble très complexe compte tenus de nos situations respective. (Salarié, sans emploi ou bénéficiaire d'aide).

    Enfin, créer une association semble adapté pour partager des droits sur un site sur les 18 premiers mois, mais plus du tout adapté quand le site commencera à généré du CA..

    Si vous avez une idée.. une suggestion, voir une solution, nous sommes preneurs ! :)

  13. Bonjour à tous,

    Dans le cadre d'un dossier de travail collaboratif en ligne, j'ai pensé innover en installant un Wiki, pour remplacer les échanges Mails / Newsgroups / Fichiers Texte hébergés..

    J'ai donc installé instinctivement MédiaWiki, qui fonctionnellement colle exactement à ce que nous souhaitons faire.

    A un détail près: MédiaWiki est nativement fait pour ne pas gérer de grand système de droits utilisateurs. Rendre une pages, un groupe de pages, accessibles à un ou plusieurs groupes d'utilisateur seuls, conférer différents niveaux de pouvoir dans l'éditions d'un Wiki, ce n'est pas la philosophie même de MédiaWiki.

    J'ai tenté sans succès quelques installations de plugin, essentiellement élaborés par des utilisateurs qui recherchaientt la même chose que moi, mais qui se sont heurté à l'architecture de base de MédiaWiki.

    Ma / mes questions sont les suivantes:

    - Pouvez-vous me confirmer qu'il n'y a pas, à ce jour, de pluggin efficace de MédiaWiki pour gérer des groupes de droits et d'utilisateurs

    - Pouvez-vous m'orienter vers un Wiki ou un CMS qui pourrait possèder cette fonctionnalités.

    En vous remerciant largement d'avance pour vos contributions sur le sujet..

  14. Bonjour à tous,

    Je me plie au traditionnel exercice des présentations.

    Je suis donc James, et suis entre autre, producteur Média (essentiellement pour l'Audiovisiuel et la télévision), mais occasionnellement pour du Multimédia / Site Web.

    C'est succin, mais c' est fait !

    A très bientôt.

×
×
  • Créer...