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Magicoyo

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Tout ce qui a été posté par Magicoyo

  1. Je plussoie les analyses de Kilroy. Une fois passé l'éventuel effet Sandbox, je ne crois pas à de la pénalisation/filtrage dans l'immédiat. S'il avait maintenant la bonne idée de créer du contenu... il y gagnerait beaucoup. Pourquoi n'utiliserait-il pas cette carte à sa disposition ?
  2. Absolument pas d'accord. La meilleure réponse que je puisses faire, je l'ai déjà écrite ici : http://www.inferences.fr/index.php/2007/10...rencement-natif
  3. En fait, je faisais une réponse se principe, un peu comme Yep. Ce n'est pas une attaque perso, ni pour l'un, ni pour l'autre (que je connais plus) Juste après avoir rédigé mon message, je suis allé voir le site de ZamZoum. Il est correctement réalisé et je me suis amusé à regardant quelques vidéos. Mon ébullition porte sur la découverte permanente par les webmasters du concept d'utilité et de pertinence. Réveillez-vous ! Le web a changé ! Pendant que les artisans/pionniers du web/webmasters se grattent la tête à savoir qui le plus important du PageRank ou du contenu; les rois du commerce et des médias ont découvert le web et le référencement. C'est eux qui aujourd'hui dominent internet. Et en termes de référencement, c'est eux qui ont les moyens de produire le plus de contenus, c'est eux qui ont les moyens de construire une grosse notoriété, c'est eux qui ont les moyens d'être les meilleurs. Et aujourd'hui, tout est décisif : contenu x produit x service x acquisition de trafic x conversion x fidélisation notoriété Être bon sur 1 ou 2 des paramètres, c'est ramer avec un bateau qui prend l'eau. Le temps de la bidouille, c'est fini. Alors ramener le succès au référencement, et ramener le référencement au contenu... ça me parait une vision ultra ultra ultra étroite.
  4. Attention, mode vieux raleur : ON La création de contenu/services pertinents n'est pas du domaine du référencement, mais de la compétence métier. L'utilité n'est pas un principe du référencement, mais un principe de business. L'objet du référencement est de permettre à l'offre (produits, services, contenus) d'exprimer son potentiel (qu'il soit fort u faible) en lui donnant de la visibilité sur les moteurs de recherche. Peut-être que les référenceurs/webmasters ne cessent de redécouvrir ce principe basique du commerce (l'utilité, la pertinence). Mais ce n'est pas un principe de référencement ! Je trouve de plus en plus pénible les questions qui cherchent les astuces pour positionner des sites amateurs ET sans intérêt. Et je trouve encore moins excusable que la seule réponse à toutes les questions du référencement devienne : le contenuuuu.
  5. Je serai du même avis que Jean Luc. C'est une sécurité, voire un plus.
  6. Tu as la possibilité de filtrer les annuaires qui te sont proposés selon des critères de qualité : type de lien obtenu, lien de retour exigé, PR... Le web français à la chance de regroger d'excellents annuaires qui référencent sans contrepartie.
  7. Effectivement, à chacun de faire ses calculs 'valeur créée / cout'. Là, je ne comprends pas bien. Tout d'abord, il y a 10.000 annuaires... autant dire la plupart. Il y a des annuaires BtoB (dont le mien). La recherche de catégories/annuaires se faisant par mots-clés, si tu cherches "gestion production" ou "logistique" ou "services aux comités d'entreprises", tu auras les catégories correspondantes, dans les annuaires qui les proposent. Ensuite, outre du trafic direct, les annuaires t'apportent des backlinks bien thématisés (puisque c'est ton descriptif qui crée le contexte du lien). Je pensais aussi que les "gros" n'utilisaient pas les BLs d'annuaires... mais les ventes de Submit me donnent tord. La compétition deviens tellement rude que même les leaders ne laissent rien au hasard. Ca, c'est des prix de soumission automatique dans des réseaux d'annuaires (qui existent déjà). Je pense que tes repères de valeur de prestations de référencement manuel sont assez largement sous-évalués.
  8. Je confirme que la recherche universelle met un beau bordel là dedans... et que c'est un bon moyen pour Google de garder l'internaute captif de la sphère Googlienne. En ce qui concerne l'étude, on peut aussi en faire une analyse simple : les résultats des moteurs sont plus pertinents aujourd'hui.
  9. Il y a quelques années sur un emailing, j'avais eu un taux de NPAI d'environ 25%. Aujourd'hui, avec un tel taux de bounce, ton message ira en spam très rapidement.
  10. Je confirme, un de mes anciens client avait reçu un "ultimatum" de Google (via les Webmasters Tools) pour ce type de pratique. Dans la charte graphiue, Le titre H1 venait en superposition d'une image. Pour des questions de lisibilité, on a du ajouter une ombre portée au titre. Résultat, un backgound au h1 + le textedu h1 rendu invisible en CSS... Le Googler a estimé que c'était du cloaking
  11. Perso, j'ai eu beaucoup de mal à comprendre cette logique de construction de page. Je cherchais un CMS simple, et j'ai buté sur la construction du template que j'ai trouvé fastidieuse. Dommage, le reste était alléchant. J'avais une maquette en HTML, ça m'a paru lourd à mettre en oeuvre. D'autant que tout est modifiable tout le temps.
  12. Si t'as pas de temps et pas d'argent, c'est dur de faire du business...
  13. Les proxies, c'est ultra lourd à gérer car ils sont encore plus vite cramés qu'une IP classique (on est jamais seul sur un proxy ). D'autant qu'ils faut tourner sur les seuls proxies français si on ne veut pas des classements déformés par la géolocalisation des résultats. Quant aux IP dynamiques, y'a des solutions, mais autant utiliser un soft logiciel sur une connexion grand public avec IP flottante. Vu ton profil, a mon avis, la meilleure solution pour toi est de développer ta propre application.
  14. CrawlTrack & Piwik ne sont pas fait pour ce que tu cherches. Ce sont des outils d'analyse d'audience (pour Piwik), Crawltrack veillant une audience un peu particuière. Les outils en ligne ne peuvent être des outils de positionnement fiables, ne serait-ce pour des raisons de limitation de volumes de requêtes par IP. Après il y a des outils comme IPB, ou plus pro comme SeeUrank ou Agent Web Ranking. Mais si tu penses que IPB c'est cher, les autres sont pas faits pour toi !
  15. Des sites comme dicodunet sont assez faciles à devancer avec des pages riches en contenu, ou des sites spécialisés. J'ai dans l'idée qu'un site ecommerce bien fait, avec des fiches détaillées et un bon linking interne doit aussi dépasser les "toujours-devant".
  16. Je verrais bien un CAx12 + valeur du stock. Ca te laisse une marge de négo d'environ 20% Après d'autres facteurs peuvent rentrer en jeu pour augmenter ou diminuer la valeur de on site (design, qualité du référencement, degré de connaissance des clients, fidélité des clients...). Tu trouveras des précisions dans cet article que j'avais écrit sur le sujet : http://www.inferences.fr/index.php/2007/04...-votre-site-web C'est plutôt pensé pour des sites de contenu, mais tu dois pouvoir transposer des facteurs de valorisation au ecommerce
  17. Tu as fait le tour des astuces et recettes de cuisines ? Tu peine à en trouver plus ? La réponse me parait évidente : Si tu ne trouves plus rien, cherches autre chose ! Je vois 3 choses en plus pour ces sites en plus de la masse : -1- le volume de contenu -2- une grosse audience qui ne proviens pas uniquement des moteurs de recherche (et oui, Chauffeur de Buzz fais une audience énorme), -3- Des leviers de notoriété puissants (backlinks sur des gros gros sites)
  18. _AT_Gorapat : tu veux dire "Tous des salops sauf moi" ? _AT_brocexco : on est d'accord sur toute la ligne.
  19. Arlette tu me prètes des propos et intentions que je n'ai pas. Et sur le fond, on ne tombera pas d'accord.
  20. _AT_Dan : On est relativement d'accord sur le fond Etant un tuteur assez consciencieux et concerné d'une part, et ne comprenant pas le fol espoir de trouver dans les stagiaires une main d'œuvre "pour faire le boulot"... je tiens à une vision équilibrée des choses. _AT_Arlette : La plupart des stagiaires n'ont pas fini leur cursus. Proposer une embauche à la suite d'un stage n'est alors simplement pas possible.
  21. Assez peu, car le nombre de missions qu'ils peuvent remplir chez nous est assez faible. Nos stagiaires ont des missions délimitées. Ils sont payés et très encadrés et généralement ravis de leurs stage en tout points. Cela dit, mon expérience se base sur mon passage dans 4 entreprises différentes... et une petite dizaine de stagiaires directement tutorés. Je ne partage simplement pas ton avis. Je confirme mon idée du gagnant/gagnant. Tu le dis toi même, un étudiant n'est pas opérationnel. Les stages visent à l'immerger dans les exigences de son futur métier. Il acquiert autant de compétences pratiques que théoriques, il touche du doigt le niveau de maturité exigé, des normes de comportements en entreprise... Tout cela, il l'acquiert en exécutant sa mission. En se confrontant à ce qu'il ignore, en se trompant et en prenant des enseignements de son tuteur. Cet apprentissage "hors école" est une première contrepartie à son travail. La principale d'ailleurs puisque un stage s'inscrit dans un cursus pédagogique. Il peut y avoir une contrepartie financière en plus. Cela dépend généralement du type de stage, du type de tâche, du niveau d'étude et surtout de la durée du stage. Chez Yooda, ça a été systématiquement le cas (depuis 2 ans que j'y suis). La dernière mission qu'on a proposé était indemnisée à hauteur de 800€/mois (pour un bac+3). Enfin, j'assiste toujours mes stagiaires lors de leurs soutenances de stage et m'assure qu'ils obtiennent une note maximale. Les plus méritants repartent également avec une lettre de recommandation en béton et des propositions d'emploi régulières. Voilà, j'en ai fini de mes justifications. Je trouve en revanche réellement étonnant que dans un même paragraphe, on puisse dire qu'un stagiaire n'apporte rien, mais qu'on l'exploite. Ou encore que prendre un stagiaire pour "faire le métier" c'est du travail déguisé, mais que le stage doit conduire à une embauche. Bref, mes messages ne sont évidemment pas des attaques perso. Je milite un peu pour faire entendre une voix dissonante sur ce sujet.
  22. Je ne crois pas. Un stage ça doit être gagnant-gagnant, sinon y'a pas d'intérêt. Et surtout, les entreprises ne pourraient jamais absorber le flot de jeunes qui cherchent un stage. C'est exactement ça que je trouve contradictoire. D'un coté on dit qu'un stagiaire fera le boulot d'un employé; d'un autre on dit qu'il est pas capable de le faire. Après il y a des professionnels qui pensent (notamment au sujet de la communication d'entreprise) que "tout-pourri" c'est mieux que rien, surtout si c'est gratuit. Tant pis pour eux. Pour certains, c'est un passage obligé. La société comprends que pour faire bien, mieux vaut passer par des pros avec de l'expérience. Le stagiaire marine un peu, mais au final il devrais apprendre pas mal de choses au niveau technique... et améliorer aussi ses critères de choix d'emploi/stage. Je ne suis absolument pas d'accord. Ce que tu dis renferme pour moi la graine du "stage photocopie". A mon sens, un stagiaire a une mission précise. Elle correspond à une attente de l'entreprise. Il complète l'équipe ponctuellement, soit pour assister, soit pour ouvrir une piste nouvelle. En plus, tu voudrais payer pour rendre service ? C'est en cela que je souligne le flou qui règne autour de la valeur des stages. J'ai l'impression qu'on mélange un peu tout et que c'est un terrain facile pour taper sur les employeurs.
  23. Moi j'ai l'expérience inverse. J'ai fait quelques stages évidemment, pas des mauvais souvenirs dans l'ensemble. Mais j'ai surtout une expérience de tuteur. Je dois dire que cela me prends généralement énormément de temps. Je n'attends pas d'un étudiant qu'il soit opérationnel. C'est mon rôle de lui trouver une mission à sa portée et de le mettre en situation de réussir. Au final, j'ai rarement eu l'impression d'y gagner quelquechose. :/ Je comprends d'autant moins les tuteurs/employeurs qui cherchent des superman en stage. De fait, je ne comprends pas non plus le refrain du "méchant exploiteur", dans la mesure où la valeur ajoutée des stagiaires est majoritairement nulle. Généralement, ça m'aurais moins pris de temps de faire moi-meme.
  24. Cariboo, tu as oublié l'essentiel : * Penser qu'avec 2.000/3.000 , le référenceur a les moyens de positionner un "petit" site web à hauteur des mastodontes du web, sur des mots-clés concurrentiels
  25. Le problème de ton outil Truitas, c'est qu'il est fait pour des anglais : 1. Les mesures sont faites sur des outils anglais. Ca change énormément les résultats pour le positionnement. Pis y'a des outils meilleurs pour ça. 2. Les comparaisons (hors la liste de concurrents que tu fournis) sont aussi anglais. 3. On sait pas bien ce qu'on regarde. La "saturation" c'est le nombre de pages indexées ? 4. Y'a quand même peu/pas de valeur ajoutée par rapport à Yahoo Explorer, à part de te conserver l'historique de tes analyses. Pour l'outil de Web Créatif, je ferai a peu près les mêmes critiques. En plus lors de mon test, il ne m'a renvoyé que des "N/A"... :/ Sinon, l'analyse sur les ancres des liens me parait intéressante si elle marche des fois.
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