kloobik

Le titre m'interpelle puisque j'ai longtemps administré un site qui faisait du gratuit. En vivre ? Cela reste, à mon avis, utopique. D'une part le surfeur n'a pas le sens du merci, surtout dans le gratuit. C'est triste à dire mais lorsque tu proposes du service payant, les gens disent "s'il vous plait ..". Lorsque tu proposes du gratuit, on te dit à peine "merci". De là à penser que tes visiteurs, même avec des campagnes ciblées (qui rsiquent au demeurant d'empieter sur ton secteur donc de basculer des visiteurs vers des sites concurrents) vont cliquer pour faire vivre le site, je pense que c'est irréaliste. La question, je l'aurais posée dans l'autre sens : L'approche est différente. Dans le premier cas, le but est d'en vivre. Dans le second, c'est optionnel. Un comptable te dira : Ce que je veux dire c'est qu'avoir xx visiteurs/jour coute de l'argent puisqu'il faut prévoir un hébergement en fonction. Or, si tu sors de l'argent pour assurer ce poste de dépenses, il va falloir que derrière ça assure niveau ressources par le biais du site. Tes concurrents font payer les services et ils ont sans doute une raison valable. Les services offerts sont peut etre sous licence et dans ce cas, tu t'engages peut etre dans un embroglio juridique qui peut au final te couter plus cher que ce que tu espérais en gain.... Opposer une démarche gratuite dans un secteur actuellement payant en vue d'en vivre n'est peut etre pas une bonne solution. D'une part tu auras l'image d'un discount - pire, d'un discount gratuit ! - et d'autre part cela va t'attirer certainement des jalousies qu'il faudra subir. Pourquoi ne pas envisager d'attaquer ces marchands sur leur terrain, c'est à dire l'argent ? Sans parler de faire payer les meme tarifs qu'eux mais proposer toute une gamme des produits/services à un prix beaucoup plus bas. Cela a l'avantage de te lancer au niveau marketing et d'autre part cela te permet d'avoir des rentrées d'argent nécessaires au fonctionnement du site en fonction de ses contraintes (bande passante, espace d'hebergement, etc..) Ce ne sont que quelques reflexions et c'est vrai que sans détails, on ne peut que faire de la théorie...

Tout réside dans ce terme de "notoire" car finalement, la législation des ndd est "libre". Ceci dit, un tribunal pourra présuposer qu'en déposant microsoft.machin.truk tu avais déjà entendu ce nom de marque quelque part. C'est l'aspect notoire. Maintenant, tu as un ndd depuis 5 ans. Depuis 2 ans, une nouvelle marque (vieille de deux ans) fait un tabac mondial. L'aspect notoire est donc arrivé apres l'achat de ton ndd. C'est assez étrange cette histoire et finalement se résume encore une fois à un combat David/goliath : le plus fort (par avocats interposés) et le plus riche (les deux étant liés) gagnera.

Si c'est de manière ponctuelle, il n'y a pas besoin de statut particulier. Il arrive frequemment que des particuliers vendent des nouvelles (souvent sous forme video) à de grandes chaines de télévision (que je ne citerais pas ). Mais là on parle de news ponctuelles (tu croises Madonna chez Liddl à Verdun en train d'acheter 63 paires de tong par exemple).

Bonjour, Le raccourci est un peu court et dénote une méconnaissance du monde policier. Aujourd'hui, aussi bien la police que la gendarmerie ont des cellules d'investigation technologiques qui n'ont rien à envier aux connaissances des geeks. Il y a des cellules programmeur (de haut vol), des cellules de veille, d'intelligence économique, de piratage, et même des cellules bbs Quant à l'opportunité de la plainte, les policiers comme les gendarmes ne sont pas là pour ça (comme l'explique bien kraig un peu plus haut). Si le fait délictueux existe ils sont tenus de prendre la plainte avec les éléments de preuve recevables. Il n'est pas de leur compétence de juger ou pas l'utilité d'une plainte à partir du moment ou une infraction est constituée et que les preuves matérielles (certificats de médecins, pages internet enregistrées sur cd, etc ..) sont fournies. C'est ensuite le role du parquet soit d'engager des poursuites (donc d'ouvrir une information pour complément d'enquête) soit de ne pas poursuivre. Il ne faut pas croire que la maréchaussée, que l'on perçoit souvent comme étant en retard sur certains domaines, ai négligé les nouvelles technologies. Certes ils ne sont pas tous des experts informatiques mais ils ont, en leur sein, des cellules très compétente en la matière qui sont saisies régulièrement ...

Bonjour, Je confirme la méthode. Ce n'est pas au client de faire le cahier des charges mais à l'agence ou au créateur indépendant. Le client vient avec ses desideratas et le creatif doit juguler et conjuguer volonté du client avec possibilités techniques.

Bonjour, Je ne suis pas vraiment d'accord avec ça. Un logo est une démarche visuelle et marketing. Dans la démarche visuelle, il y a bien sur la symbolique mais surtout la simplicité des formes et des couleurs. On remarque d'ailleurs que ce sont les logos monochromatiques qui sont le plus retenus. Exemple : le logo nike qui aujourd'hui vit quasiment sans sa marque. Dans la démarche marketing, deux paramètres entrent en jeu : la mode et le message. La mode parce que les logos suivent l'ere du temps. Voyez par exemple les logos des années 50/60 qui sont aujourd'hui considérés comme ringards même si tous les autres paramètres sont parfaits (symbolique, correspondance marque-logo, etc..) Le message est sans doute le plus important des critères puisque c'est lui principalement que l'on va retenir : un logo baclé va donner une mauvaise image de la société en question. Attachons-nous par exemple au logo du hub, dans son interprétation, pas dans son style graphique. Il associe deux formes de logo : visuel et texte. Mais c'est le texte qui prend le pas sur le visuel. D'un point de vue affirmation de marque, on pourrait en conclure que Dan, pour etre bien sur de marquer les esprit pour le hub a choisi non seulement d'adopter un visuel pour le hub mais de le surligner par du texte. En cela, le logo du hub reste monolithique. Même chose par exemple pour le logo du Crédit Lyonnais qui reprend les trois lettres de la marque "LCL" soulignées par sa définition : Le Crédit Lyonnais". Pas totalement faux mais pas totalement vrai à mon point de vue. Vous connaissez tous Panzanni ? Et vous aimez sans doute tous les pâtes panzanni. Qui peut me décrire, sans aller fouiller dans le placard de la cusine ou sur le net à quoi ressemble le logo Panzanni ? mmm ? Le problème est pris à l'envers. On ne connait les marques que de son marché. Maintenant, si vous rencontrez un logo de produit russe qui vous plait, vous allez instantannément le retenir. On est donc bien là dans une problématique de localité et de culture plutot que de qualités représentatives d'un logo. Anecdote : vous connaissez le film "A la poursuite d'octobre rouge" avec Sean Connery. Et bien Octobre Rouge est une marque russe. Des biscuits. Et ça fait beaucoup rire les moscovites lorsque vous leur parlez d'octobre rouge, vous en pensant au film et eux en pensant petits beurres Tu associes plusieurs paramètres différents : célébrité d'une marque (qui peut venir de son produit ou de son logo), son image qui revient souvent (normal, c'est une marque connue ... mais grace à quoi ?) et qualité du produit. Sur ce dernier point, il existe des marques connues et reconnues, dont le logo est célèbre alors que les produits sont à vomir. Sur le premier point, une marque peut être très célèbre mais son logo inconnu. Exemple : qui peut me dessiner le logo Cadillac ?

IBF pour moi

Bonjour,C'est faux Pas évident. Un client va trouver le site rigolo, amusant, mais au final ce qu'il recherche c'est optimiser son potentiel clients. Dans cette optique, si le client n'est pas trop bete ni mauvais gestionnaire, il va vite en venir aux questions de mises à jour - quelle durée - et de tarification - quel prix -.J'ai souvent entendu cette phrase en agence : "c'est bien votre truc là ... mais .... c'est pas vraiment représentatif de ma société .... On est sérieux, on fabrique des embouts de boites de haricots verts donc ça se prète pas facilement aux frous frous en tous genres ...." C'est caricatural mais d'une façon générale, un site en flash c'est bien pour capter. Pour fidéliser c'est déjà beaucoup plus difficile. Je ne parle même pas du fait si le client aborde le coté mise à jour par lui meme. En admettant que le flash lui plaise, il sera bien embeté pour faire ses mises à jour. En agence aujourd'hui, on réfléchit toujours en terme de fidélisation mais beaucoup moins sur le coté technique - on livre de plus en plus de sites "prets à l'emploi" - que sur le coté valeur ajoutée de l'équipe (nouvelles idées, etc..) Le net est devenu un lieu de fishing pour les pros du marketing. La communication ne se restreint pas à du "pep's" ou un effet la première fois. Au contraire, trop de pep's tue .... On s'en rend compte aujourd'hui avec les sites en flash dont le chargement des animations est continuel et sur lesquels on ne sait plus vraiment où aller vu que ça part dans tous les sens. Parler de meilleur communication en parlant de flash est une contradiction tant théorique que technique. Simple exemple : cela exclut d'emblée par exemple les personnes malvoyantes ou plus simplement celles qui ne disposnet pas de son sur leur pc .... Quel interet dans ce cas ? Qui peut dire qu'une animation est à la hauteur ? Le client lambda trouvera l'animation de la boite de conserve qui s'ouvre en faisant un bruit de pêt rigolote alors que son voisin trouvera ça débile, même si coté code elle est réalisée de main de maitre. Je te le donne volontiers. Les agences les plus en pointe réagissent déjà en accessibilité depuis plusieurs mois. J'ai des collègues (ou plutot anciens collègues) qui commencent à se détourner du flash total pour se former aux nouvelles normes car ils sentent le vent tourner. C'est indéniable. Maintenant, si ton site est juste un vitrine, fais en flash pour montrer ton talent. Mais penses juste, pour montrer aussi que tu n'es pas hermétique aux évolutions, à proposer une version en (x(html propre. La polyvalence plait toujours aux clients