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Sebastien

Hubmaster
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Messages postés par Sebastien

  1. Un bon annuaire se définit AMHA surtout négativement : c'est un annuaire qui n'est pas blacklisté (déjà), qui n'appartient pas à des réseaux automatiques de liens, qui ne fait pas de liens avec redirection (liens "mous"), qui n'accepte pas automatiquement les sites. Si un annu remplit ces critères, il y a des chances que ce soit un bon annuaire.

    Si en plus il s'agit d'un annuaire populaire, qu'il est linké par des sites eux-mêmes de qualité, que même ses pages très profondes sont indexées, qu'il est thématique, c'est encore mieux.

  2. Je pense que l'on peut apprendre beaucoup par soi-même et devenir un amateur éclairé, mais pour vraiment faire de l'ergonomie sérieusement, à la différence du référencement, il me semble qu'une formation spécifique est nécessaire, car la discipline fait appel à des connaissances en design web, mais aussi à des connaissances scientifiques en psychologie cognitive, physiologie, méthodes d'évaluation...

    Contacte peut être des ergonomes comme François Palaci : http://palaci.fr

    Sinon une liste de discussion sur le sujet : http://listes.cru.fr/sympa/info/ergoihm

  3. Juste pour préciser ma pensée je suis plutôt d'accord avec Thick. Les webmasters sont bien trop obsédés par les URLs et l'URL rewriting. Au point que j'ai des clients qui insistent sur ce point alors qu'ils se fichent du contenu de leurs pages... Si je dois choisir une structure d'URL pour un site j'utiliserai bien sûr des paramètres explicites plutôt que des identifiants numériques par commodité. Mais si je dois faire avec un CMS ayant des URLs numériques mais avec une structure simple ne posant pas de problème d'indexation je ne me poserai pas la question de changer la structure des URLs.

  4. Exactement Régis :) Les sitelinks dépendent (d'après ce que j'ai pu observer) surtout des clics effectués alors que le visiteur est dejà sur le site, pas du nombre d'affichage des pages.

    Arlette : ton sitelink "Daniel Piccouly" s'explique probablement par le fait que pendant la période de référence pour determiner les sitelinks, Google a observé que les gens visitant Lisons cliquaient souvent sur ce lien parce qu'il était à ce moment en page d'accueil. Après il se peut très bien que l'échantillon utilisé par Google n'ait pas été statistiquement représentatif et que Daniel Piccouly n'intéresse au final que peu de monde :)

  5. La page la plus cliquée sur le site n'est pas forcément la plus vue : il se peut qu'une page A reçoive beaucoup de trafic direct des moteurs ou de sites référents, alors qu'elle est peu cliquée lors de la navigation sur le site.

    Pour ce qui est des sitelinks vers des page non liées sur la page d'accueil : les sitelinks ne sont pas mis à jour très fréquemment. C'est pourquoi on y trouve des liens qui ont été à un moment en page d'accueil puis qui n'y sont plus.

    Après Google a sa recette secrète et il reste des choses qui nous échappent :)

  6. De ce que j'ai pu observer, ce ne sont pas forcément les pages les plus visitées en soi, mais les pages les plus cliquées sur le site. Les sitelinks changent avec le temps, ce qui semble indiquer que les liens retenus sont le reflet du comportement des visiteurs sur une période donnée.

    L'arborescence a un impact en tant qu'élément de design. Un lien proeminent sur la page d'accueil sera plus cliqué, et donc davantage susceptible d'être selectionné comme sitelink

  7. Les sitelinks dépendent du comportement des visiteurs. Si tu souhaites que certaines pages apparaissent en tant que sitelinks, il faut faire en sorte que ces pages soient les plus visitées, et qu'elles soient bien plus visitées que toutes les autres pages. Cela passe par un bon design, avec une page d'accueuil mettant les liens à "sitelinker" plus en valeur que les autres.

    Quelques recherches que j'avais faites :

    http://s.billard.free.fr/referencement/?20...itelinks-google

  8. Disons que c'est une bonne pratique : si le menu est très développé ça pousse le reste du contenu vers le bas. Or dans un contenu bien conçu, le plus interessant est censé se trouver plutôt vers le haut (titre principal, chapô, paragraphes d'introduction, développements les plus importants...). On peut penser que les moteurs en tiennent compte. De plus avoir le même contenu en premier sur toutes les pages pourrait les faires apparaitre comme très similaires. Après je ne suis pas sûr que ça change quelque chose dans un menu très simple à 3 items.

    C'est aussi une bonne pratique en matière d'accessibilité : les utilisateurs de plages brailles ou de synthèses vocales ne se verront pas "lire" le menu à chaque chargement de page.

  9. Une page peut être visible sur un petit nombre d'expressions-clés (plus ou moins petit en fait, mais disons petit pour les besoins de la démonstration). En multipliant les pages, on multiplie le panel d'expressions sur lesquelles le site peut être visible, puisque chaque page possédera son propre contenu et ses propres expressions, mêmes si certaines seront communes à plusieurs pages.

    Donc oui il est possible pour une page unique de bien se positionner (sur un nombre réduit d'expression), mais dans les faits mieux vaut multiplier les pages pour multiplier sa visibilité potentielle.

    De plus en faisant de nombreuses pages, on thématise celles-ci ce qui en fait des pages plus performantes pour le référencement.

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