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jcaron

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  1. Ben la combinaison des deux, plus le back-office qui va avec et donc tu auras besoin, c'est quelque chose comme Prestashop. Tu peux très bien faire un site avec la gueule que tu veux en te basant sur le moteur de Prestashop derrière. Tu peux même imaginer de faire des pages comme tu veux (sans utiliser Prestashop pour les afficher) qui vont ensuite faire un lien vers des pages Prestashop pour le "check-out". La gueule "boutique" de Prestashop c'est juste la version par défaut (et la plus utile), mais rien ne t'empêche d'avoir des pages complètement différentes... Jacques.
  2. Et sérieusement, le TIFF, c'est un peu passé de mode, non? Jacques.
  3. Tu mélanges encore affichages et visiteurs... Mets ton code Analytics sur toutes tes pages, et tu pourras te fier à ce qu'il te raconte. Jacques.
  4. Ce ne serait pas un peu contradictoire ce que tu nous dis là? Et pourquoi ne pas utiliser un système comme Prestashop ou équivalent? Tu y gagneras beaucoup en termes de fonctionnalités, et ça te laisse quand même beaucoup de souplesse... Jacques.
  5. Oui, tu nous fais un mélange de visites, de pages, d'impressions qui me semble bizarre... 20 000 visiteurs et 20 000 pages, ce n'est pas vraiment la même chose dans la plupart des cas (ou alors tu as un taux de rebond de 100%, ce qui n'est généralement pas très bon). Jacques.
  6. C'est un peu (beaucoup) plus compliqué que ça... La reverse et le SPF c'est bien, mais il y a tout un tas d'autres choses qui sont prises en compte: - le fait d'avoir une signature domainkeys/DKIM - le contenu du message (mots-clefs, URLs, structure...) - la réaction des gens qui les reçoivent (les lisent ou pas, les effacent sans les lire, cliquent sur "c'est du spam"...) - le blacklisting éventuel de l'IP ou d'une étendue plus ou moins large d'IPs - la fréquence et le débit des mails - le nombre ou la proportion d'emails mal adressés - la présence d'un lien de déinscription identifiable (X-List-Unsubscribe) etc. Tu trouveras quelques pointeurs ici: />http://www.email-way.com/ />http://www.snipemail.com/ Jacques.
  7. 1. GWT est pas mal en retard en ce moment (mais il rattrape), donc si tu as fait des changements récemment, il faut attendre un peu pour les voir dans GWT 2. GWT te donne une moyenne de ce que tes visiteurs ont comme résultat, ça tient donc compte de l'endroit où ils sont (si ton serveur est en France et tes visiteurs en Australie, ce sera nettement plus lent que s'ils s'ont en France), de leur connexion (débit et latence), du mix de pages qu'ils voient (si tu testes uniquement ta page d'accueil alors qu'ils vont tous voir des pages "profondes" plus lentes à générer ou plus chargées, c'est pas pareil), du mix éventuel de http/https, etc. La meilleure indication c'est probablement webpagetest, en tenant compte du lieu, du type de connexion, des pages... Jacques.
  8. La connexion par défaut de webpagetest ("DSL") est relativement lente (mais probablement représentative de la situation de beaucoup d'utilisateurs), puisque c'est du 1.5 Mbit/s avec une latence de 50 ms. Et là, tes JS énormes et non compressés prennent un temps fou à charger. Le test est aussi effectué avec IE7, qui ne fait que deux connexions à la fois au même serveur, donc toutes tes petites images sont dans ce cas-là chargées les unes après les autres plutôt qu'en parallèle, ce qui vu la latence, prend pas mal de temps aussi. Bref, tu vois ton site se charger vite en "conditions idéales" (accès Internet vraiment rapide, navigateur performant...), le gars moyen va lui le voir dans des conditions plus proches de celles testées. Suis les conseils du site, de PageSPeed et de Yslow (la plupart sont communes: compresser les css et js, spriter les images, vérifier si tu ne peux pas optimiser les images un peu plus, mettre correctement les headers pour une mise en cache efficace, éviter de rebalancer des cookies partout, etc.), comme ça tout le monde le verra en conditions idéales... Jacques.
  9. 1. Pour le moment le temps du chargement du site n'est pris en compte par Google pour affecter le classement que dans des cas extrêmes. Ca évoluera probablement à l'avenir. 2. Le stats dans GWT sont basées sur les visites par les utilisateurs qui ont la toolbar Google, qui renvoie à Google les stats sur le temps de chargement effectif (qui varie donc suivant l'endroit où se trouve le visiteur, le débit de sa connexion, la rapidité de son PC, etc.). C'est donc représentatif de ce que la moyenne de tes utilisateurs (en tous cas de ceux qui sont mesurés) endure. 3. webpagetest.org est effectivement un bon test, et si tu en es à 10 secondes en "local", tu as du boulot. Pagespeed et Yslow sont tes amis :-) Jacques.
  10. jcaron

    Order by varchar

    ORDER BY str_to_date(tacolonnedate,'%d-%m-%Y') Ceci dit, je te conseille fortement de retyper et convertir ta colonne, tu y gagneras en performances. Jacques.
  11. Brmf. Je n'avais effectivement pas vérifié avec FF (juste avec Opera, où ça passe), et dans FF ça ne passe donc pas. Le problème vient de ips_ipsclass.js, qui, pour une raison qui m'échappe, décide de faire en sorte que sur FF uniquement, document.cookie renvoie null (alors que la spec prévoit bien que c'est forcément une chaîne, même vide). Le code Adsense essaie de récupérer les cookies, et plaf, comme une crêpe. Ils en parlent là: http://www.invisionmodding.com/topic/27230-resolved%26nbsp%3Bgoogle-adsense-problem-help/page__pid__122992__mode__threaded mais il faut visiblement un login pour accéder à la page qui en parle plus en détail: https://www.invisionpower.com/index.php?appcomponent=core&module=customer_area&section=kb&do=viewarticle&id=349 donc je ne sais pas trop dans quelle mesure ils expliquent le pourquoi du comment (ou si ça a peut-être été corrigé dans une version plus récente)? Jacques.
  12. Tu as installé un adblocker quelconque sur Firefox peut-être? Jacques.
  13. Si tu nous disais ce qui te bloque exactement (i.e. ce que tu fais pour parser le deuxième exemple, et pourquoi ça ne marcherait pas pour le premier), ça pourrait probablement aider... Jacques.
  14. Et tu peux mettre du tracking "e-commerce" quand il revient sur ton site après avoir payé, ce qui te permettra de savoir qui rapporte combien. Jacques.
  15. Ca s'appelle une société :-) Et même dans ce cas, on a déjà vu des gens partir avec leur boulot sous le coude parce qu'il y a eu des désaccords par la suite. Il faut donc être très clair dès le départ sur qui fait quoi, qui apporte quoi, et qui en retire quoi. La seule autre alternative, c'est qu'il soit un fournisseur, donc il y a un contrat pour le développement du site (qui peut éventuellement prévoir que le développeur touche 50% des revenus nets engendrés, à définir avec beaucoup, beaucoup de précision), mais le rapport n'est pas du tout le même entre les deux dans ce cas, et comme on l'a dit plus haut, le statut d'AE ne convient alors pas forcément pour le "client", et on arrive à des formes d'entreprise qui ne vont pas être très différentes de la SARL en termes de formalités. Et là, pareil, tu peux écrire tous les contrats que tu veux, tu vas difficilement empêcher le gars de partir avec son site voir ailleurs s'il fait beau. Ahhh les difficultés du travail avec les autres... Il y en a toujours un qui l'impression (à tort ou à raison) qu'il se fait exploiter par l'autre. Ceci dit, on peut faire un parallèle avec la vie en couple: ce que tu voudrais, c'est une forme de concubinage avant le mariage :-) Ben là c'est pareil: avant, aucune obligation, après, c'est juste "sur le papier", en vrai, c'est un travail de tous les jours... Jacques.
  16. Quel serait le "risque"? A part les frais de constitution (quelques centaines d'euros) et le coût éventuel d'un expert-comptable, il n'y a que très peu de dépenses "intrinsèques" en SARL (si tu t'assures que le gérant soit minoritaire ou égalitaire, et donc salarié plutôt que TNS: tu ne paies alors des charges que s'il est payé). Ce que tu décris relève probablement de la société de fait (qui n'a pas de personnalité morale, ne peut ni vendre, ni acheter, etc.). Peut-être une indivision? Pour ça il faudrait que l'entreprise existe sous la forme d'une personne morale, donc retour à la case départ Une SNC sinon, mais l'intérêt par rapport à une SARL est assez limité. Ceci dit, si on en est au stade 0, et que les deux seuls qui travaillent là-dedans ce sont les 2 "futurs associés", rien n'empêche effectivement d'attendre que le site soit développé et prêt à générer des revenus pour formaliser la création de la société. Jacques.
  17. Si ce sont les domaines de ton client, ils doivent être à son nom. Après, tu peux être en contact technique, voire administratif ou de facturation (ça dépend des registries et registrars), mais le titulaire du domaine doit être le client. Jacques.
  18. Oui, comme n'importe quelle forme d'entreprise, tu factures ce que tu veux comme tu veux... Mais n'oublie pas que les charges ne sont pas déductibles en AE (comme en micro-entreprise), elles sont "forfaitées". Donc si tu as deux AE A et B, que A facture au total 20 K (à des clients), et que B facture 10K à A, alors A paie des charges+impôts sur la totalité des 20K, alors que B n'en paie que sur 10K... En imaginant un taux de charges+impôts de 20%, ça veut dire que A touche au final 20K - 4K - 10K = 6K, alors que B touche au final 10K - 2K = 8K. Et il y aura donc eu "double paiement" de charges+impôts pour la part reversée de A à B, ça enlève quand même sont intérêt à la formule... N'oublie pas aussi qu'il y a des plafonds en AE... Jacques. EDIT: grilled
  19. L'AE n'est pas forcément le statut le plus adapté pour ce cas de figure, puisque par définition, c'est fait pour des entrepreneurs individuels. Les formules normalement adaptées sont plutôt les formes de société (SNC, SARL, etc.) qui sont justement spécifiquement prévues pour partager les bénéfices entre plusieurs associés. L'inconvénient, c'est que ça fait un peu plus de formalités et que les régimes d'imposition ne sont pas forcément exactement aussi favorables (mais pas très loin). Maintenant, il est possible d'utiliser l'AE, mais ça complique un peu les choses: il faut soit que vous vous débrouillez pour avoir chacun la moitié des revenus et des charges (pas forcément évident), soit que l'un refacture "sa part" à l'autre, mais dans ce cas celui qui se fait refacturer y est largement perdant au niveau prélèvements... Jacques.
  20. Il faut "échapper" les caractères comme ?, ( et ) qui ont une signification particulière dans une regex, en mettant un \ devant. "/<\?php include\('tutu\.php'\); \?>/" Jacques.
  21. Je m'étais posé la question, mais nulle part il n'est dit que vous assuriez la promo. Et quand on voit vos 4 exemples qui sont quand même "tout pourris", et qui partagent un compteur commun de 1458 clients (dont on ne sait même pas comment ils sont possibles vu qu'on ne peut même pas ajouter un produit dans le panier, sans parler du choix de la "taille homme" (S, M, L, XL...) pour un téléphone ou une machine expresso...), on reste quand même dubitatif quant au CA qui peut être engendré (et je ne parle même pas de la marge...). Jacques.
  22. 30% du CA?! C'est carrément énorme, à moins de vendre des produits avec des marges vraiment importantes (genre 50 à 80%), c'est quand même super difficile à rentabiliser. Il ne faut pas oublier qu'il faut garder de la marge pour la pub (beaucoup), les retours, etc. Et tu as regardé les sites donnés en exemple? Jacques.
  23. Il n'est pas nécessaire d'être majeur pour avoir un compte bancaire et une carte qui va avec. Dans le pire des cas, il y a des cartes pré-payées qui sont tout à fait accessibles aux mineurs (voire pour certaines spécifiquement ciblées vers eux). Jacques.
  24. Une traduction automatique, c'est vraiment mauvais. Fais un essai en prenant un site dans une autre langue, et en le faisant traduire en Français, tu vas voir. En général on comprend ce que ça raconte, mais c'est aussi fatigant qu'un texte truffé de fautes par exemple. C'est acceptable pour quelqu'un qui veut absolument lire ton texte (parce qu'il n'est pas disponible dans sa langue) et qui prend la décision de traduire (d'ailleurs avec la Google Toolbar il te le propose automatiquement dès qu'une page est dans une autre langue que la tienne), mais sinon ça ne fait pas sérieux (surtout si essaies de vendre quelque chose). Pour une vraie traduction, il faudrait que tu commences par évaluer de façon précise la quantité de texte (en mots): avec tes chiffres, ça peut aussi bien faire 100 sites x 6 pages x 100 mots = 60 000 mots, ce que tu peux faire traduire pour quelques milliers d'euros par langue, que 100 sites x 30 pages x 1000 mots, ce qui peut vite représenter des dizaines ou centaines de milliers d'euros par langue. Tu peux ensuite évaluer le coût de la traduction ici: www.translated.net par exemple. Si tu as réellement beaucoup de texte, qu'il n'est pas trop "technique" et que tu n'as pas besoin d'une traduction 100% super top (mais que tu veux quand même quelque chose de meilleur que la traduction automatique), ça peut être rentable d'embaucher quelqu'un dont la langue de destination est la langue maternelle, et qui parle français (jamais l'inverse), éventuellement sur un CDD de quelques jours. La question au bout du compte, c'est combien tu penses gagner en traduisant ton texte, ça te donnera une idée du budget que tu peux dépenser. Pour les URLs, oui, une URL différente par langue est essentielle, sinon les moteurs ne verront jamais qu'une seule langue (celle que tu affiches par défaut quand le navigateur ne renvoie aucune info, ce qui est le cas des crawlers). Jacques.
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