Ajax

Actuellement, et malheureusement, un lien "Jeu vidéo" a plus d'effets que "Jeu vidéo et actualité des nouveaux jeux vidéos". Google est encore très basique et réagit surtout aux ancres simples. Par contre, pense bien qu'un échange de lien ne doit pas te pénaliser si cet échange disparaît un jour. Cela m'est arrivé plusieurs fois de voir des sites enlever mes liens sans m'avertir (notamment lorsqu'ils sont rachetés). Si j'avais basé toute ma stratégie de liens et d'ancres là-dessus, j'aurais pris de belles gamelles dans les résultats de recherche.

Un BL de Myspace, de n'importe quelle page, est toujours bon à prendre surtout s'il est en dofollow. Evidemment il ne se situera pas sur une des pages principales du site. Après, il faut pas en attendre grand chose, ça sera seulement un BL parmi d'autres et contribuera un tout petit peu à l'autorité de ton site.

Aaah oui, les knols, j'avais presque oublié comme d'autres outils Google censés révolutionner le web (Wave notamment...). Mais finalement, on ne les voit jamais apparaître dans les résultats de recherche, c'est une volonté délibérée de Google ?

L'article est intéressant et la procédure expliquée peut être tentée. Mais il faut surtout savoir s'adapter selon le secteur et l'ancienneté du site à référencer. Comme le dit thick, il devient de plus en plus dur de récupérer des liens, même avec un bon site, même avec la meilleure volonté du monde et même en y passant du temps. Certaines requêtes deviennent de plus en plus figées, avec les mêmes sites présents depuis des années et un site se lançant en 2009 aura très peu de chance de pouvoir bousculer la hiérarchie. En bref, référencer un site dans l'assurance ou un site dans la culture, ou un site créé en 2000 ou un site créé en 2009, ne demande pas du tout les mêmes efforts.

Oui, mais je constate très souvent le manque de pertinence des moteurs (même Google) sur certains types de requêtes, où ils font plus confiance aux "gros" sites qu'au contenu vraiment pertinent. D'autre part, le nombre de sites augmente de façon exponentielle et même les moteurs n'affichent que 10 résultats par page. Sur des thèmes précis, les robots ne remplaceront jamais l'évaluation humaine. Et plus les internautes auront besoin de "creuser" un sujet, plus ils vont se détourner des moteurs trop généralistes et qui n'indexent qu'une partie du web. Les annuaires thématiques, limite comparateurs, entretenus par des connaisseurs ont donc à mon avis un bel avenir devant eux. Leur gros souci est qu'ils n'auront pas forcément les moyens de se faire connaître.

Tu es pourtant sur un secteur porteur en ce moment. Je pense que le référencement naturel peut être ton ami. Mais attention, c'est long et plutôt aléatoire à mettre en oeuvre. Sinon, as-tu déjà essayé les adwords ?

Ce qui est d'ailleurs une recommandation étrange et peu rassurante pour le moteur (genre il risque de se tromper s'il y a des urls relatives).

Aucun souci. Les urls relatives sont forcément transformées en absolues par les robots pour pouvoir les interpréter correctement. Et Google est assez grand pour voir qu'il s'agit de liens internes.

Effectivement, c'est très étonnant. Moi qui connaît bien le domaine, je ne vois pas sur quelles expressions on peut trouver cela (à part des marques ?). Comme les autres, il faudrait plus de précisions mais en attendant quelques généralités : - ce secteur est très très concurrentiel, les cpc grimpent rapidement pour atteindre plusieurs euros, voire au delà. - il est donc absolument nécessaire de bien calculer son ROI sous peine d'un gouffre sans fond. Une analyse marketing préalable est indispensable (mais vous l'avez sûrement déjà faite). - l'optimisation des textes d'annonce et leur originalité est très importante si l'on veut se démarquer des autres et récupérer des clics. - il est nécessaire de beaucoup tester / corriger / optimiser lors d'une campagne de liens commerciaux.

Attention, pour faire un bon référenceur, il faut quelques bases techniques, bien entendu. Elles ne sont d'ailleurs pas très compliquées à acquérir pour un webmaster. Mais il faut aussi, et peut-être surtout, des capacités : - d'analyse stratégique et concurrentielle, afin de déterminer les niches à exploiter et le meilleur ROI. - relationnelles, voire commerciales : pour négocier des partenariats, faire connaître son site sur des réseaux sociaux... - de recherche, de veille, de documentation - rédactionnelles : pour rédiger des communiqués de presse, actualités, pages thématiques, billets... En gros, faire preuve d'inventivité pour toujours trouver de nouvelles sources de liens, apprendre la patience et savoir "doser" ces actions pour éviter les pénalités et autres pièges des moteurs de recherche. J'en oublie sûrement, mais c'est au final un métier assez polyvalent, qui demande beaucoup de temps et une veille continuelle sur l'évolution des moteurs et de leurs algorithmes.

Si, cela se fait notamment pour les PME, mais les recherches de partenaires sont plus longues et les liens sont plus cachés (moi je le fais sous forme d'échange de pages thématiques). Et tu dois souvent justifier cela à ton employeur, ou à la Direction Marketing, en gros prouver qu'il y a plus de gains que de pertes dans la mise en place d'un tel échange. Evidemment, dans tes exemples, orange et sfr n'ont pas besoin de cela. Il n'y a pas de budget minimum, tout dépend de ton secteur et des retours sur investissement. 2 exemples que je connais : dans l'assurance, il n'est pas rare de voir des CPC à 8 ou 10 . Donc pour que l'assureur rentabilise l'investissement, il lui faut peut-être 1 contrat tous les 5, 10 ou 20 clics (tout dépend du produit). dans les accessoires auto, il est rare que le CPC dépasse 0,30 cts. L'annonceur peut donc se permettre plus de déchets. Au final, pour ces 2 secteurs, les budgets peuvent se monter à plusieurs milliers ou dizaines de milliers d'euros / mois. En gros, il est nécessaire de calculer ce que va rapporter la campagne Adwords pour estimer un budget de base. Cela peut se calculer en nombre de visites, de formulaires remplis, de formulaires opt'in remplis, de contrats...

Surtout que positionné en 5ème page, c'est pas une pénalité énorme, il y a encore de l'espoir. Moi j'ai eu une vraie pénalité sur un site important en milieu d'année dernière : le site a disparu de la requête (c'est à dire au delà de la 50ème page) alors qu'il était premier auparavant. Mais cette pénalité a duré 3 mois et depuis tout va bien (enfin presque je suis sur la première page...). Tout cela pour dire que je serais à ta place, je patienterais. Sinon, ne peux-tu pas nous en dire plus sur la technique "très illégale" que tu as utilisée ? Car on pourra peut-être t'aider dans l'estimation de la durée de la pénalisation.

Comment peux-tu parler de pénalisation pour un site qui a 3 mois ?? N'est-ce pas plutôt que le site et son référencement étant très jeunes, les positions sont instables ? Ou alors tu as usé de techniques très "illégales"... On sait que sur des requêtes concurrentielles l'ancienneté d'un site est primordiale pour Google. Un référencement correct peut prendre 1 an ou plus, alors ne devrais-tu pas patienter un peu ? Sinon, je rejoins totalement l'avis de Patrick : cela serait dommage de perdre le ref que tu as commencé et en plus cela te prendra autant de temps de référencer un nouveau site que d'attendre la fin de l'"éventuelle" pénalité de celui-ci.

Qu'appelles-tu "site institutionnel" ? Site d'une institution (association, ministère...) ou site non-commercial (ou de présentation) d'une société ? Sinon, pour rejoindre ce que dit Karak, en tant que site institutionnel tu peux aussi vouloir te positionner sur des requêtes thématiques. Même si ce n'est pas pour les mêmes raisons que les sites commerciaux. Dans le cas contraire, s'il n'y a pas vraiment d'objectif précis, cela va être dur de mettre en place une stratégie de référencement, et les résultats risquent d'être décevants.

D'accord avec toi Patrick, mais tout de même le gros avantage de CMS Made Simple est de se rapprocher d'une arborescence html classique dossier / page, et donc plus abordable pour les personnes qui utilisaient des éditeurs classiques (Dreamweaver par exemple).