Magicoyo

A noter que Feediz, société française, propose des services très professionnels en la matière.

@ Lafleur : Bruno à déjà répondu... Un petit café

Et puis je suppose que le serveur qui t'héberge n'acceptera pas les include depuis un serveur distant. Et c'est très bien comme ça (pour des raisons de sécurité).

HS : dans le même genre, j'ai aussi "En droit, tout ce qui est oral est anal."

Si tu ne l'a pas prévu dans ton contrat... ça va être dur à mon avis. Ce que je ferai : le harcèlement courtois. Ce que j'avais fini par faire dans ma vie d'avant : Je prévoyais que la suspension implicite ou explicite du projet de plus de x semaines par le client donnait lieu à facturation partielle à hauteur des travaux effectués. Tu peux également rajouter un dédommagement pour rupture de planning de x% des montants restant dus. Il faut prévoir également une annulation du délai de livraison initial. La reprise des travaux donnant lieu à une nouvelle planification (tu peux pas les attendre sans rien faire, hein ).

1and1 c'est SCHLUND+PARTNER (3,932,495 domains à l'échelle mondiale) Amen, c'est pas Online et donc BookMyName ?

Perso, je ne peux plus me passer de WordPress... C'est d'une simplicité et d'une souplesse exceptionnelle. Son défaut, être un peu gourmand en ressources.

Chaque comparateur va t'indiquer le format des données qu'il souhaite. Charge à toi de former un fichier XML qui corresponde à ces spécifications.

Le classement mondial : http://www.webhosting.info/registrars/top-registrars/global/ Les registrars français : http://www.webhosting.info/registrars/search/Country/FR

Si j'ai bien compris, on supprimerait la pub des chaînes du service public que l'on financeraient désormais par une taxe sur les chaînes privées. Que peut-on imaginer comme conséquences : - les chaînes publiques décalent leur programmation vers des contenus plus culturels - les annonceurs se concentrent sur le secteur privé augment mécaniquement - les annonceurs qui cherchent un gros média de masse ont une ou deux chaines en moins - le coût de la seconde augmente du fait de la raréfaction de l'offre ou - (tendance opposée) de nouvelles chaines privées voient le jour et/ou les petites chaines profitent de la manne - le net profite de ce mouvement pour séduire plus d'annonceurs ou - (tendance opposée) le net ne profite pas car la télé et le web sont des médias à l'utilité différente pour l'annonceur. Bref, ça modifieraient beaucoup d'équilibres. Ce serait peut-être l'occasion pour les annonceurs traditionnels de tester de nouveaux médias (petites chaines de télé et web par exemple).

Peu importe la technique, CSS ou pas, accoler des images à des annonces est maintenant réprimé par Adsense. De manière générale : Intégration oui, incitation à l'action (fusse-t-elle graphique et subliminale) non.

Lancer une boutique ecommerce qui rapporte suppose beaucoup de connaissances (graphisme, développement, acquisition de client) et/ou beaucoup d'argent. Si tu n'as ni l'un ni l'autre pour l'instant, reste sur Ebay le temps de grossir.

Tout à fait faux selon mes expériences. C'est pas idiot. J'ajoute une autre hypothèse. Les annuaires génèrent des revenus Adsense pour Google et font barrage aux sites commerciaux dans les résultats. J'y vois la même logique que celle que je développais dans le 1er paragraphe de ce billet ('La notion de pertinence, enjeu stratégique pour Google') : http://www.inferences.fr/index.php/2007/10...rencement-natif

Disons que c'est pas au PR que tu dois t'interesser, mais à tes backlinks. Le PR est un indicateur quantitatif de popularité dont l'apport est incertain, et dont les valeurs affichées par Google semblent de mauvaises qualité. En revanche, de bons backlinks, on en est surs, ça fonctionne.

Tu imagines le cas d'un litige : - CONSO achète sur le site de AAA - BBB encaisse et traite la commande - CONSO reçoit un produit non conforme à sa commande et n'est pas content. Il se plaint auprès de AAA et demande un remboursement... tu connais la suite.

Ca dépend qui endosse la vente. La vente étant réalisée sur la boutique appartenant au distributeur, la vente est logiquement endossée par ce dernier. De ce fait, faire encaisser le paiement par un tiers est juridiquement et comptablement complexe et riqué en termes de responsabilité en cas de litige. Par ailleurs, les banques refusent désormais la mutualisation de TPE pour, soit disant, des questions juridiques.

Le pire, ce serait une perte de données dont tu es civilement responsable. Le pire du pire, ce serait de perdre les données d'un intranet... Si ton client a un avocat, tu peux prendre de suite ton billet d'avion pour l'Argentine. Contrairement à ce que dis Pat; en tant que pro, c'est pas toi qui définit ton niveau de responsabilité, c'est la loi. Dans le cas des services d'hébergements, ça peut aller assez loin.

Je voulais juste attirer ton attention sur le risque juridique de vendre une prestation qui t'engage lourdement sans maîtriser directement les aspects techniques.

Je comprends le principe. Mais attention : qui facture l'hébergement au client ? Toi ou OVH ? Si c'est toi, cela implique que tu endosses la prestation d'hébergement. S'il y a un problème, c'est toi qui est responsable à 100%. En revanche, si c'est OVH qui facture directement le client, et que toi à coté tu facture l'infogérance ou un support/conseil... c'est encore des problèmes différents. Tu es à mon avis un peu moins engagé.

Yahoo peut poser problème. Seule les grosses agences de ref avec beaucoup de clients ont des problèmes (presque) insolubles sur Google.

Yahoo est Google ont un comportement différent. Pour Yahoo, le nb de requêtes (MC x profondeur) est fixe. Pour Google, il varie selon la profondeur. Plus vous allez profond, moins vous avez de requêtes dispo. Je ne donne volontairement pas de chiffre pour ne pas génénrer d'abus. L'avantage d'une solution sur le poste de travail est de pouvoir changer d'IP... pour peu que votre connexion internet est une IP flottante. Par ailleurs, un certain logiciel pro () dispose de systèmes de vérification de la complétude des rapports. Quant à l'API, les résultats sont trop fortement biaisés. La seule solution viable est l'économie et l'étalement des requêtes.

Les logiciels de contrôle de positionnement, en tout cas ceux que je connais ne peuvent pas nuire au référencement. La raison est simple, le logiciel envoi une requête au moteur pour un mot clé. La détection de votre URL dans les résultats se fait sur la page rapatriée par le logiciel. Votre URL n'est donc jamais communiqué. Cela dit, si vous envoyez trop de requêtes, le moteur peut vous interdire pendant un temps l'accès à son service. Mais ce n'est pas lié à l'outil, mais à l'usage que vous en faites.

Personnellement, je déconseille très fortement de se lancer dans des offres d'hébergement si on a pas de compétences solides en administration serveur.

Théoriquement, oui... mais ça n'a pas de sens. SeeUrank est un client web comme les autres. La seule différence, c'est que l'abus est facile avec ce type d'outils. C'est pour cela que Google et Yahoo limitent le nombre de requête par IP. Et c'est finalement ce qui compte, ne pas consommer trop de ressources chez Google. Je fais beaucoup de pédagogie à ce sujet. En ce qui concerne l'usage de proxies, c'est probablement un mauvais choix : - rien ne t'indique que l'IP du proxy n'est pas blacklisté, et donc tes résultats faux. - tu maîtrises pas ou peu la localisation géographique du proxy. Tu ne sait donc pas si les résultats sont déformés. C'est pour ça que les outils de contrôle de positionnement SUR SERVEUR sont morts-nés. Ils ne supportent pas le volume, et/ou les résultats sont déformés. Quant a mettre les audits des clients en ligne...

Bonjour Thomas Je suis de ton avis. Je ne pense pas que la détection d'un mauvais usage de la balise META-KEYWORDS puisse être généralisable à travers des règles de détection. Personnellement, le 'généralement' sert à entretenir le flou, comme toujours. Je retiens plus particulièrement le 'cela ne vous pénalisera pas'. Mais sinon, je n'utilise de toute façon plus de meta keywords.