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Drupal pourrait répondre à la plupart de tes impératifs. - découpage des articles en page regroupés en livre --> pour les longs articles c'est bon - forum intégré au cms : c'est bon, par contre pas aussi poussé que phpbb - conformité aux standards et tableless c'est bon - module gallery à ajouter déjà porté sous drupal - gestion des droits des utilisateurs fine : c'est bon et c'est facile à configurer Par contre pour de grosses galleries photos tu va avoir un problème de bande passante si tu as du trafic. Prévoir un hébergeur qui puisse te créditer de la bande passante si tu n'utilise pas tout (celeonet par exemple). Bon courage et bienvenue dans l'univers des cms !

Je connais le premier mais je serais curieux de connaître tes sources concernnant les blogs. Des référénces en tête à partager ? ModX m'a beaucoup séduit quand je l'ai testé et par contre j'ai de nouveau envie d'y participer depuis le lien que tu as envoyé qui semble plus limpide (de fait c'est un vrai forum). Je ne suis par contre pas encore convaincu de sa simplicité de mise en oeuvre au niveau des modules supplémentaires, lui préférant Drupal par exemple. Mais bon, peut-être quand je serais plus bilingue en PHP...

Salut david, Merci pour ce lien ! Non seulement, ce CRM a l'air vraiment interressant mais en plus il ya plein d'idées à "piquer" pour facilité la participation et l'activité de nouveaux membres à un site. Je pense notamment à l'affichage sur la page d'accueil de vtiger du module présentant l'avancée des travaux de traductions. Un newbie interressé sait de suite dans quelle rubrique il peut apporter son aide. C'est ici un vrai point d'accessibilité à l'info. Un autre merci, pour donner autant d'infos sur les cms. Mais où va-tu puiser pour trouver et présenter autant de nouveautés aussi rapidement ? ;-) Et un merci (personnel) supplémentaire, pour inciter le perpétuel visiteur que je suis à participer un peu plus à la vie du hub par la pertinence de tes infos.

Le statut d'indépendant n'est qu'une dénomination. Tu t'es déclaré sous quel statut juridique ? Entreprise indiviuelle ? Entreprise individuelle à responsabilité limitée ? Et au niveau fiscal tu es indé à l'agessa ou à la MdA ou à l'urssaf ou aux impôts ? C'est à dire qu'en tant qu'artiste-auteur (cas de la MdA) tu ne peut faire des prestations que ce qui est prévu par ton inscription chez eux, sinon ils te tapent sur les doigts. Dasn le cas d'une inscription à l'urrsaf ou aux impôts (cas des BNC), tu n'es juste tenu qu'à une comptabilité simplifiée, sasn l'obligation d'avoir un comptable. Bref, tu as des factures pour ce que tu achete et tes rentrées sont contractualisées, j'imagine ? La seule chose à faire c'est au niveau de la déclaration d'impôts, préciser qu'en plus de ton salaire, tu as des bénéfices non commerciaux. Bref tu n'es pas obligé de ne faire que des notes d'honoraires. Après si tu as des questions tu devrait voir soit un comptable, soit le cfe qui t'a fait la déclaration, ou le CFE de ta cci, par exemple.

Bon ok c'était une question à la con....

IE --> Bon on fera classique....

Bonjour, Je cherche à ajouter une classe css sur un guillemet ouvrant ou fermant dasn un bloc de texte, histoire de contrôler leur visuel en conservant le côté textuel. Bref sur un texte du type, par exemple : «Lorem ipsum dolor sit amet » Je voudrais pouvoir faire ça : «Lorem ipsum dolor sit amet » C'est histoire d'éviter ça : .guillemet{color: #FFCC00;font-weight: bold;} C'est possible à votre avis ? Merci d'avance.

Réponse du normand que je suis : ça dépend. Ça dépend si tu es codeur ou si tu es graphiste ? Si tu es débutant en code, en cms, etc... A priori je dirais que c'est juste une modification du template et une gestion des css. C'est pas très compliqué si tu fait des sites depuis des années. Mais si ce n'est pas ton cas, un petit tour là devrait t'apporter des réponses : oscommerce FR

Ah ok ! Merci pour les infos ! Cela me donne déjà une diée du fonctionnement. Bref yapluka.

Bonjour à tous, Bien que je conçoive des sites depuis des années, je ne me suis jamais occupé personnellement de référencement, faute de temps notamment. J'ai un client, auteur et illustrateur de bds pour ceux que ça interresse ou qui voudraient faire des liens, qui me permet de m'y consacrer un peu plus, histoire de connaître le fonctionnement, et me voici à la recherche d'informations. Je viens de parcourir les outils du forum pour le référencement et j'ai attaqué avec yooda pour soumettre le site Jean-Marc Stalner et je n'ai plus qu'à patienter. Par curiosité, je viens de regarder les backlinks et là je comprends moins comment ça fonctionne. Si je fais link: http://www.jean-marc-stalner.com sur google il me trouve rien. Normal, mon réf est embryonnaire. Par contr si j'utilise l'outil là :Outil backlink webmaster hub Il me trouve rien mais la barre est à 3/10... Bref ça me laisse perplexe. Une explication, svp ? Merci d'avance.

La petite blague du lundi : Hacker vaillant Perso, j'adore ce genre de truc !

Je susi également assez fan de mambo pour le tour que j'en ai fait à le tester. je ne l'ai aps encore fait tourner en production pour le moment. De nombreux add-on dont un oscommerce version mambo. Par contre celui-ci n'est pas full css et c'est encore bien dommage. Moi aussi je suis converti au tableless

OK Tu cite un bon exemple. Mais là on va en venir à définir le service ! Je te suis toujours sur ce raisonnement. C'est là où nous divergeons mais je peine à apporter des éléments supplémentaires. Ce n'est pas faute d'éplucher les sites en ligne qui traitent du sujet... Oui c'est vrai pour l'audiovisuel, mais c'est bien là le point de ce fil (qui devient un débat à force ) on cherche à définir dasn quelle mesure une prestation de service informatique rentre dans le même type de catégorie que l'audiovisuel ou la musique. Comme il se fait tard et que je n'ai plus d'autres élements, je vais être contraint à continuer mes recherches ds les jours qui viennent.

J'ai demandé un devis à un avocat pour faire rédiger les CGV de mon entreprise et son devis se montait à 1600. En début de création c'est quand même une somme exorbitante...

Je ne vois pas en quoi la commande peut changer quoi que ce soit au droit d'auteur ?? Que le code informatique ait du mal à rentrer dans cette catégorie puisqu'il faut faire preuve d'originalité pour être qualifié d'oeuvre de l'esprit, et à moins de mettre en oeuvre des concepts novateurs on ne réutilise qu'un langage ; soit. Par contre, le visuel est bel et bien géré par le droit d'auteur que ce soit une commande ou pas. Plus d'info ici pour les commandes : Loi n° 57-298 du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique. Art. 1 : "L'existence ou la conclusion d'un contrat de louage d'ouvrage ou de service par l'auteur d'une oeuvre de l'esprit n'emporte aucune dérogation à la jouissance du droit reconnu par l'alinéa premier." [edité] Et ici pour le droit d'auteur concernant le code (qui appartient bien à son auteur) : Code de la propriété intellectuelle (partie législative) Par conséquent quand une société passe commande d'un service, elle a le droit d'utiliser ce service et SAUF clause de cession de droit stipulée, elle n'a pas le droit d'utiliser les éléments développés pour la réalisation de sa demande. Évidemment je ne connais pas tout le droit, ni toute la jurisprudence et certaines choses m'ont sans doutes echappées, et je serais ravi d'avoir des eclaircissements sur ce quoi tu base tes conclusions.

Ce que je voulais dire c'est justement ce que tu dis après. Un logo qui exprime les valeurs de l'entreprise qui est derrière finira immancablemetn par faire connaître et reconnaître l'entité qui est derrière d'autant plus si les membres de cette entité participent à l'expression de ces valeurs ; d'où la notoriété. La virgule de Nike, les chevrons de citroen, le losange de renault ou le m de macdo sont autant de preuve de notoriété. Ce n'est pas le nombre d'endroits où il a été vu, encore que mes exemples aillent dans ton sens puisque les campagnes de pub qui les ont fait connaître au fil des années ont coûtées fort cher, qui a donné la notoriété mais le fait que leurs valeurs ont été véhiculées par leurs salariés masi aussi par leurs clients. Là en l'occurence, la notoriété s'accompagne aussi d'une reconnaissance, qui n'est pas monnayable car liée au ong terme, à la durée de vie de la marque. Là je suis assez d'accord, même si tu l'aura deviné je suis du genre à m'arrêter sur un logo pour le juger.

Je ne suis pas d'accord. Je suis catégorique sur le fait que le commanditaire ne possède aucun droit sur la prestation qu'il a commandé tant qu'elle n'est pas contractualisée. Le prestataire est le titulaire originel des droits sur le site, en tant que créateur du code et/ou du graphisme. Si aucun transfert de propriétés des droits n'est organisé par le biais d'une cession de droits, il reste le seul à pouvoir modifier et utiliser son "oeuvre". Il convient d'ajouter dans le contrat de réalisation une clause relative à la cession exclusive et définitive des droits sur les éléments composants le site. Sinon l'entreprise n'en sera pas propriétaire. Elle s'expose alors à être considérée comme contrefacteur en cas de modifications ou de cessions de son site Web à un tiers. C'est d'autant plus pour cela que je suis catégorique. La prestation, quelle qu'elle soit (code ou graphisme), est considérée comme oeuvre de l'esprit et est donc soumise aux droits d'auteurs. En dehors de tout contrat de cession de droit (on cède le droit d'utiliser un visuel pour un média par exemple) le prestataire est l'unique auteur de son travail. On est d'accord cela doit faire partie du contrat et c'est justement cette clause de cession de droits. Et pour répondre à la question initiale, si aucune clause n'a été prévue au départ de la prestation, il y a de fortes chances que ce soit facturé en plus de la prestation initiale.

En fait, non. X est auteur et ce droit lui est inaliénable. Seulement si il a été réalisé une cession de droit et que cette cession a précisé les éléments et le périmètre de cession. Sinon le droit d'auteur donne raison au créateur. La société qui a demandé la réalisation n'est propriétaire que de ses éléments : logo, photos, textes,.. pas de la création qu'elle a fait faire. X ne peut pas revendre ce qu'il a fait pour cette société mais cette société a juste commandé une prestation et si rien n'a été cédé par clause spécifique, elle n'a normalement aucun droit. Juste celui de réutiliser ce qu'elle possedait auparavant.

Normalement la conception d'un site donne lieu à une cession de droits. C'est à dire que l'on cède (on loue l'usage en fait) le droit d'utiliser le visuel et/ou le code pour un usage précis. Ce droit est limité ou pas : cession partielle ou totale pour un usage limité ou pas. C'est-à-dire : que pour Internet, pour Internet et/ou un autre média. Et bien d'autres cas possibles. Selon le niveau de cession c'est évidemment tout à fait monnayables en plus de la facture du site, puisque l'on demande aux auteurs à abandonner la jouissance de leur création. La paternité de l'oeuvre reste quant à elle la propriété inalienable et non cessible de son auteur. Bref, pour répondre à ta question, cela dépend du contrat entre les deux parties. Et si ce contrat n'existe pas ou ne prévoit pas de telle clause, et selon le risque juridique potentiel, il vaut mieux envisager de se faire épauler par un avocat spécialiste du droit d'auteur.

J'ajouterai presque sans moquerie qu'un outil de recherche est un visiteur handicapé comme un autre. Comment en effet, rendre un site accessible à tous si on ignore ce type spécial de visiteurs ? Le site accessible est celui qui s'adapte au visiteur mais ne force pas le visiteur à s'adapter à lui. Et comme on ne sait rien d'eux, ces visiteurs, avant qu'ils n'aient laissés une trace sur le site, à nous de faire en sorte de leur facilité l'accès à l'information.

Exact pour le vin! Par contre pour le web c'est pas ça encore...

La vie est bizarre n'est-ce pas ? J'ai été un lurker pendant trop longtemps. Un bon logo amène la notoriété. Au début le logo n'est qu'un emblème d'un groupe, d'une communauté, d'une entreprise, ensuite au fur et à mesure de l'identité et des valeurs qu'il véhicule, on reconnait la marque ou l'entreprise qui est derrière. Oui mais je n'ai pas les sources sous la main. Imagine la différence entre deux sites parlant de la même chose, l'un en comic sans, avec des flammes sur un logo néon et des gifs animés partout, et un site dont le visuel est léger et qui en plus réunit des valeurs sous une forme condensée, le logo, et bien il y a fort à parier que si tu cherche une information, tu gardera en mémoire celui dont le visuel et l'identité est la plus élaborée. Ce n'est qu'un exemple mais l'idée est là. Et dasn l'identité d'un site, d'une entreprise, le premier élément qui véhicule tout ça et bien c'est... le logo !

Ah ça... Parfois, quand bien même la reflexion a été bien menée, le logo entraine malgré tout des incompréhensions. D'autes mêmes sont parfaitement discutables, tels anpe et sncf... Le logo c'est la première chose que le visiteur voit avant l'entité qui se trouve derrière. C'est toujours délicat d'arriver à le rendre compréhensible, beau dynamique, positif et limpide pour tous... Mais là en l'occurence le débat pourrait-être sans fin... Merci pour vos réponses à vous trois. Après la discussion, on pourrait être joueurs et lancer le défi de faire des propositions qui expriment tout ça mais il ne m'appartient pas de lancer un tel défi.

C'est pas faux. Mais nombre de marques ou de design produit qui n'étaient pas sensés ressembler à un visage ont vus leur ventes augmenter dès lors que cette interprétation a été valorisé. Je pense notamment à la calandre de certaines voitures (toyota il me semble ?) dont le redesign vers un aspect antrhopomorphique plus positif a contribué à améliorer les ventes. Évidemment, je sais que derrière ce logo ne se cache pas une marque commerciale, c'est juste pour l'analogie. Ah, le pont ne m'était pas venu aussitôt à l'esprit et ce malgré un fil à propos de la sémantique du nom du HUB. Merci en tout cas de l'avoir précisé.

Si mes souvenirs sont bons ce n'est pas un obstacle : le dépôt à l'INPI garantit à son déposant la paternité de la marque, mais le visuel peut évoluer. Mais je peux me tromper.