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Google, un futur monopole


Xethorn

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Bonjour,

Comme vous l'avez sûrement constaté, google semble prendre de plus en plus de poid dans le net : un service d'email a vu le jour (gmail), un service de publicité (adsence) (...), google s'est même vu attribué un mot dans le dictionnaire américain* (to google : rechercher).

Aujourd'hui, qui utilise des moteurs de recherches alternatifs tel que Yahoo!, Alltheweb (...) ? Donc, d'après vous, ce moteur de recherche commence-t-il a avoir le monopole sur l'ensemble du net ? Pensez-vous que google commence à devenir aussi important que Windows ?

Il s'agit donc d'un débat sur les multiples visages de google, le pour et le contre, n'hésitez donc pas à réfuter les arguments des autres (en justifiant et non simplement dire qu'il est irrecevable). Si le sujet ne répond plus à cela, il deviendra clos.

Merci pour vos réponses,

Xethorn

* J'ai un doute concernant le dictionnaire Anglais

Ps : j'ai posté ici pensant que c'était le meilleur forum pour.

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D'aprés une récente étude, 73% des requêtes tapées sur le net sont cherchées sur Google.

Alors dans la catégorie Outil de recherche, il n'y a pas photo, le monopole il l'a quasiment déjà.

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Il y a quelques années tout le monde ne jurait que par yahoo il me semble. Aujourd'hui c'est au tour de google.

Mais jusqu'où vont-ils s'arréter ? :D

Demain ce sera peut-etre Réacteur.com qui sait ? Ou d'autres... ou google :)

Toujours est-il que depuis quelques temps j'utilise les résultats de google, croisés avec ceux de réacteur.com, la recherche d'image yahoo aussi est pas mal... Bref, il nous reste un peu de choix dans les outils, à nous de les utiliser à bon escient... non ?

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Google a en effet un quasi monopole sur la recherche. En tant que référenceur ca m'est d'autant plus pénible que l'on est à la merci des humeurs du moteur. Un paysage de la recherche avec plusieurs gros moteurs est bien préférable.

Je dois avouer que je suis quand même une part du probleme, puisque je n'utilise que Google... Si je reconnais que d'autres moteurs sont quasimment aussi performants (yahoo, exalead), google a l'avantage d'avoir l'interface le plus dépouillé, je suis habitué à mes raccourcis et j'ai la GGbar...

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Tiens, un article paru dans journalist.co.uk, qui donne un peu le ton Outre Manche...

http://www.journalism.co.uk/news/story1120.shtml

Apparemment, ce monopole inquiète le secteur de la presse en ligne au Royaume Uni.

J'en ai traduit de vastes extraits, c'est assez édifiant, d'autant plus que ces propos ont été tenus devant un cadre de Google.

"Les sociétés exploitant des outils de recherche sur Internet sont des 'parasites' qui finiront par tuer la croissance de l'industrie des producteurs de contenu éditorial sur internet." selon Andrew Hart le directeur exécutif de l'Associated New Media (http://www.anm.co.uk)

Dans son discours à la conférence de l'Association of Online Publishers (AOP) à Londres la semaine dernière, Monsieur Hart a déclaré aux délégués qu'internet était véritablement une communauté universelle et la première démocratie de l'information. Le web fournit des milliards de pages d'information, des actualités instantanées, et un marché libre et caractérisé par une concurrence très réactive.

"N'importe qui, depuis la multinationale dont le CA se compte en milliards de dollars, au blogger sans le sou, ont la liberté de publier et d'échanger des informations et des idées" a ajouté M. Hart.

"Et du point de vue de l'internaute, chercher sur le Net marque le début d'une journée sur la Toile. C'est comme si toute la connaissance du monde était à portée de clic."

Mais il a aussi déclaré que les moteurs de recherche étaient devenus un outil qu'il était possible d'exploiter, avec des agences spécialisées payées grassement par les grandes sociétés pour améliorer leur positionnement dans les pages de résultats des moteurs.

"Cette forme de "détournement" complexe est seulement accessible aux acteurs les plus importants, et rendra toute activité économique impossible pour de petites sociétés à long terme" selon M. Hart.

"Les budgets dépensés sur les moteurs de recherche sont ceux qui connaissent la croissance la plus importante dans le secteur de la publicité en ligne, et l'argent coule à flots au bénéfice d'une poignée de de moteurs de recherche - et en retour au bénéficie de ceux qui ont les budgets de marketing les plus élevés."

Les petits producteurs de contenu éditorial

Lorraine Twohill, directrice marketing de Google pour l'Europe a nié que les grosses sociétés sont celles qui tirent le plus de bénéfices de Google, en payant pour des astuces techniques pour améliorer leur classement dans les résultats des moteurs de recherche.

"Les outils de recherche sont dotés d' algorithmes complexes. Les petits sites sont souvent plus performants dans les résultats parce que leur contenu est plus facile à indexer," a-t'elle déclaré.

Mme Twohill a utilisé l'exemple d'une recherche pour 'Ford Focus" (http://www.google.co.uk/search?hl=en&q=ford+focus&btnG=Google+Search&meta= 'Ford Focus") qui renvoie des résultats du club des possesseurs de Ford Focus aussi bien que du site d'entreprise de Ford.

"Aujourd'hui, de petits sites qui n'avaient aucun revenu reçoivent des chèques dans leur boîte aux lettres, parce que les outils de recherche génèrent des revenus qu'ils n'avaient jamais eu avant," a-t'elle ajouté.

Contourner les marquesBypassing brands

Paul Rossi, éditeur de Economist.com, a décrit Google comme un "tueur de marque".

[...]

"Ceux qui vendent de la publicité doivent être conscients des problèmes potentiels posés par la présence d'annonces Google sur leurs sites.", a déclaré M. Rossi, en signalant à l'auditoire que Google  'vend des annonces sur votre site, sur votre propre marché, parle à vos annonceurs en leur disant de ne pas acheter par votre intermédiaire'.

En dépit de ses réserves, M. Rossi a avoué que Economist.com utilisait les annonces Google.

"Mais si vous voulez coucher avec l'ennemi" a-t'il ajouté, prenez vos précautions et assurez vous d'être payé."

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De la part d'éditorialistes 'papier', il est assez gonglé de parler du risque d'un monopole tel que Google. je ne sais pas comment ca se passe en angleterre, mais pour la France et les US, il n'y a que très peu de grands groupes éditoriaux. Ce sont bien eux qui brassent l'argent de la pub.

Il est beaucoup plus difficile, pour un créateur d'idées, de percer dans le papier que sur internet. Cela rend le web extremement efficace.

En fait, je ne sais pas s'il ne faut pas lire son papier à l'envers, tel qu'il le suggère dans ces premières lignes, à savoir : "Nous sommes à la merci de n'importe quel quidam. Que deviendra notre empire si vous laissez des créateurs de talent percer ? Que deviendront nos recettes publicitaires ?

De plus, il met le doigt sur un problème, c'est celui du 'gratuit'. Sur internet, vous avez accès à l'information sans payer. Les pubs sont un plus, auquel on n'est pas obligé d'adhérer. Ainsi, vous pouvez lire toute l'actualité sans débourser le moindre sou, sans cliquer sur la moindre bannière, etc. Là où le papier oblige, au moins, à acheter le journal, internet permet de se procurer du contenu gratuitement.

On parle souvent de ce que génère la pub, et de la part de Google dans cette part (ou de n'importe quel autre groupe.). On ne parle jamais (donc, c'est un scoop :) ) de la part du web qui ne sera jamais payante. De l'ensemble des sites qui n'auront jamais de pubs, et qui marcheront tout de même toujours. Il y a, au niveau 'papier' très peu de journaux gratuits. Sur le net, il y en a quantité, et cette quantité est grandissante à mon avis. En tout ca, il serait intéressant de voir si elle grandit, ou si elle diminue, et de voir le 'gateau' total, la part du 'avec', et celle du 'sans' pubs.

Par contre, ses derniers propos me font sourire. En effet, on ne voit que très rarement la chaine TF1 faire de la pub pour M6, ou inversement. Or, avec les publicités ciblées, on le fait de mieux en mieux. Les pubs deviennent ciblées, vous invitez vos ennemis dans votre lit, avec le risque qu'il reparte avec votre 'compagne'. C'est assez surprenant, de la part d'un 'responsable', de se copiner avec son conccurent, de le laisser faire de la pub de son site, sur 'son' site..

Anonymus.

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Ce qu'il faut comprendre dans cette histoire, c'est qu'être éditeur de contenu, cela coûte beaucoup, beaucoup d'argent.

Une rédaction cela coûte très cher à entretenir... Les cimetières sont remplis de sociétés internet qui ont fait faillite faute d'avoir pu continuer à payer des journalistes pour écrire leur contenu.

Et pourtant, l'information sans journalistes pour écrire des articles et des brèves, cela n'existe pas.

C'est pour cela qu'il y'a eu une concentration importante des groupes de presse : seules de grosses sociétés ont eu les reins assez solides pour résister à l'inflation des coûts de production de l'information, de fabrication des magazines et des quotidiens, et de leur distribution.

La plupart des sociétés de presse ont décidé de publier gratuitement leur magazine en ligne sur internet. Certaines sont passées à des modèles partiellement payants, mais aucune ne gagne beaucoup d'argent avec les ventes de ses abonnements en ligne.

La plupart se sont dits "pas grave ! On va se rattraper avec la publicité en ligne". Sauf que si leurs annonceurs sont "captés" par Google au lieu d'acheter directement leur pub auprès de leurs commerciaux, devinez qui perd une part de sa marge commerciale ?

On comprend mieux la réaction de ces groupes de presse britanniques, et pourquoi ils trouvent que certains moteurs agissent comme des "parasites" commerciaux.

Qui plus est, la prolifération des services de news automatiques (msn newsbot, yahoo news, google news) crée un danger supplémentaire. Les outils de recherche réussissent, en "pompant" les informations sur les sites des éditeurs, à créer l'équivalent d'un "journal" en ligne d'une richesse incomparable, sans en supporter les coûts...

Bref, la mise en danger des groupes de presse par les outils de recherche et leurs modèles publicitaires, et le contrôle des flux d'information est un dossier à prendre vraiment au sérieux.

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C'est marrant à quel point on arrive toujours (à mon avis) au même problème. Les moteurs de recherche aspirent le contenu, donnent des liens intéressants en fonction du contexte, mais fournissent de l'information qui ne leur appartient pas.

Le problème est soulevé avec la musique. Le tube ne vous appartient pas ? Alors vous n'avez pas à le diffuser. Mais le même problème existe aussi avec ces contenus, qui n'appartiennent pas aux moteurs de recherche, mais dont ils se servent pour afficher leurs propres pages.

Ne pas figurer dans un moteur de recherche nuit gravement à la santé d'un site, mais y figurer peut, à moyen ou long terme, nuire gravement à l'ensemble des sites. C'est un piège à compte à rebours, dans lequel tout le système est tombé.

Effectivement, ils mettent le doigt sur un problème 'évident'. Google n'a plus besoin d'eux pour avoir son propre journal en ligne, et les gens se contentent de son contenu (le contenu de google). Tout comme un certain nombre de pages 'cache' sont visitées. Il serait d'ailleurs intéressant de connaitre ce pourcentage.

Un moteur de recherche diffuse donc de l'information qui ne lui appartient pas, voire qui est payante. Seulement, il n'est plus possible à un groupe, de dire à ce moteur de recherche que l'on veut se passer de ses services... lorsque les conccurents continuent à l'employer. Et pourtant, il faut se rendre à l'évidence. Soit les sociétés continuent à produire du contenu pour autrui, ce qui les met en danger à moyen terme, soit elles décident, ensemble, de s'allier pour régler le problème au plus vite.

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  • 2 semaines plus tard...

Ce ne sont pas les seuls domaines dans lesquels google étend son "pouvoir". S'il n'y avait que le net, mais dernièrement google se propose de chercher dans les livres et sur les ordinateurs ...

Google hors contexte ?

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En espérant que Google n'aille jamais "trop loin" dans une conquête du monde (à la micro$oft). En attendant, comme la majorité des personnes, même si je reconnais que c'est un peu dommage, je n'utilise pour ainsi dire QUE Google. Il n'y a pas à dire, c'est vraiment un excellent moteur, même si évidemment, comme il a été dit, on est fatalement à la merci de ses humeurs.

J'avoue avoir cherché et cherché, essayé tous les moteurs et les métamoteurs, et pourtant, en reconnaissant les atouts et les qualités de certains, j'en reviens toujours à Google...

J'aime bien la recherche d'images d' AllTheWeb, j'aime bien les fonctions de certains métamoteurs pas toujours connus (genre A9)...

A noter que vu le nombre de pages indexées par la nouvelle version de MSN Search (même si moi MSN :shutup: ), et la vitesse d'évolution des choses, le monopole de GG, malgré ses 75% actuels de "parts de marché", me semble assez fragile (il suffit de voir le cas de Yahoo, il n'y a pas si longtemps, il semblait intouchable...).

Mais bon, sinon, sur le fait que Google vise à toucher à tout, jusqu'à preuve du contraire, ça ne me gène pas, tant que ce qu'ils proposent est de qualité. Par exemple malgré les critiques et les risques, l'outil Google Desktop est pour moi un bon outil. De même, toutes les "améliorations" ou nouvelles petites fonctions de Google me plaisent bien (du style l'ajout des calcul de trajet, quand on tape un nom de ville, ou la fonction calculatrice quand on tape '2^pi', etc. et celles trouvables sur http://www.google.com/options/index.html), et j'ai plutôt hâte que certaines fonctions de Google.com soient traduites et ajoutées à Google.fr.

Donc, pour l'instant, je dis "vive Google", en me disant que plus la barre sera haute, plus les autres moteurs devront proposer des innovations, ce qui est a priori bon pour le web.

Modifié par Eclipsis
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Pour avoir assisté à une conférence de la présidente de Google Canada il y a quelques semaines sur la pub interactive et les google adsense, je confirme que chez Google, ils comprennent définitivement le sens du mot "business". Qu'on se le dise, Google est dans la courdse pour y rester, et éliminer la compétition partour ou ils la sentent. Dans ce sens, ils ont tout le potentiel pour devenir le prochain microsoft. Ce type de réflexion n'a rien de nouveau et a déjà eu lieu ailleurs (chez Laurent Denis si je ne m'abuse).

Ce qui est inquiétant, c'est que justement, si Google devenait de mèche avec certains intérêts corporatistes, il n'y aurait qu'un pas à franchir pour que le plus important moteur de recherche au monde ne devienne biaisé (s'il ne l'est pas déjà) et contrôle d'une certaine manière l'information qui nous est présentée lors de résultats de recherche... dans ce sens, j'abonde donc tout à fait avec l'esprit des questionnements de Xethorn.

Je continue toutefois à craindre bien plus encore Microsift que Google... mais comme Google est maintenant coté en bourse, je demeure sur mes gardes, nous verrons certainement des changements dans leurs façons d'agir.

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Une chose me semble importante à souligner: le navigateur au sens traditionnel n'est sans doute pas le domaine majeur où va se jouer la concurrence entre les grands acteurs du type Microsoft / Google, etc.

En fait, la frontière entre le navigateur et les autres applications accédant au Web et exploitant les contenus du Web a toutes chances de devenir de plus en plus imprécise. Et la notion de navigateur avec ;)

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Je suis de plus en plus d'accord avec toi... j'ai même l'impression qu'au moment d'écrire ces lignes, penser au navigateur comme principal moyen d'accéder à l'information sur le Web n'est peut-être pas une si bonne idée... Google connaitrait-il quelque chose des plans de Microsoft qui lui aurait fait décider de ne pas perdre son temps avec un concept de browser ? Nous le saurons bien assez tôt ! <_<

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En effet, on ne voit que très rarement la chaine TF1 faire de la pub pour M6, ou inversement ...

Anonymus.

<{POST_SNAPBACK}>

évidemment !

<censuré:Merci de rester correct dans vos propos.Anonymus.>

pour ma petite pierre :

je pense que google est arrivé d'un coup, et à passé Yahoo, résiste à Msn, et à Wanadoo, Aol, etc ... il y a une raison ...

moi, je pense que dans reacteur, il y a, en effet, une possibilité ...

mais je pense aussi que gg à encore de bons jours devant lui ...

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Je suis de plus en plus d'accord avec toi... j'ai même l'impression qu'au moment d'écrire ces lignes, penser au navigateur comme principal moyen d'accéder à l'information sur le Web n'est peut-être pas une si bonne idée...

<{POST_SNAPBACK}>

Pour être complet: il faut y ajouter la question de la diversification des medias d'accè au Web. Nous nous parlons ici pour l'instant que du media "screen", dans le jargon CSS, ou pour être plus clair des PC (et variantes). Quid des mobiles, marché naissant mais en pleine expansion ? je suis frappé de voir Opera SA jouer son avenir exclusivement sur ce media, où Microsoft est à peu près absent.

Et dire que, selon une citation fameuse, Tim Berner Lee nous promet aussi le marché des frigidaires intelligents accédant au Web ! Je me demande qui sera en concurrence sur ce marché-là ? :D

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On aborde aussi un problème connexe : la distinction de plus en plus floue entre "votre machine" et "le Web". C'est l'enjeu des applications Web, supposées être le big deal des années à venir. Et l'éventuelle menace que cela représenterait pour les applications clients qui ont fait la fortune de Microsoft, du type Office.

A petite échelle, le nouveau bidule de Google offrant des fonctionnalités de recherche aussi bien côté utilisateur que sur le Web est exemplaire (je ne sais plus exactement, mais il me semble que ce sujet a été discuté sur ce forum, à propos de la protection des données privées).

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La discussion pourrait très facilement dévier vers l'avenir des navigateurs Web... mais là n'est pas la raison d'être de ce sujet. ;)

Google, un futur monopole ? En fait, je crois que dans son giron, il l'est déjà non ?

Ce qui serait particulièrement troublant, c'est que Google et Microsoft aint trouvé un terrain d'entente et qu'ils utilisent leurs forces respectives pour assurer plus encore leurs suprématies.

Quelqu'un sait ou Microsoft en est avec ses plans de moteur de recherche ? Google qui abandonne l'idée d'un navigateur Web, Microsoft qui abandonnerait l'idée d'un moteur de recherche... du coup, je sens la paranoïa monter !

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Je doute que MSN renonce a son moteur bien au contraire ;)

MSN Search : lancement imminent

Selon NewMediaZero, Microsoft s'apprète à lancer en grandes pompes son moteur de recherche algorithmique, MSN Search.

A cet effet, une campagne de communication majeure est prévue avant Noel. Bien que le budget de celle-ci ne soit pas encore fixé, on devrait assister à la plus grande campagne de publicité jamais mise en place dans ce secteur. La notoriété ainsi générée devrait avoir un impact significatif sur le marché de la recherche d'après Microsoft.

L'article :

http://www.newmediazero.com/output/print.asp?id=250275

----------------

Le weblog Search Engine Watch propose d'interessantes captures d'écrans sur ce que pourrait être l'interface du nouveau moteur Microsoft. On y voit notamment des ascenceurs permettant de moduler le poids de certains critères dans le positionnement : fraicheur, popularité, proximité lexicale.

La page :

http://blog.searchenginewatch.com/blog/041026-591a

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La bonne nouvelle du succès de Google c'es que les monopoles ne sont pas faits pour durer .Un bon gros monopole c'est sympa, le potentiel marché est identifié et les challengers n'ont plus qu'à innover pour le conquérir:

--> la part de marché pris par Google va constituer une zone à conquérir pour les autres

--> d'autres périmétres seront ouverts par d'autres acteurs ..

S'appuyer sur l'exemple de Microsoft est intéressant car son monopole n'existe plus sur le marché informatique. C'est la plus grosse société ce qui est différent. De plus son poids relatif baisse. Comment:

--> Sa part de marché a baissé: OS : Linux a démarré / Navigateurs: FireFox confirme / Les jeux: C'est plié / La publication: C'est plié / Bureautique: position très dominante mais openoffice débute (on imagine le succès potentiel de celui qui fera le tableur, le texte et le reste dans le même unique logiciel sans les contraintes d'une suite !!)

--> Autres périmétres non Microsoft :Musique en ligne: Apple et .. mp3 / Liens sponsorisés: Google / PDA: Pas mal mais loin du monopole / Antivirus: Symantec / Graphisme: Adobe etc..

Après Google, qui sera le prochain et à partir de quel marché ??

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