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rems

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Tout ce qui a été posté par rems

  1. Pas facile, les mieux placés pour répondre sont les registrars eux-mêmes, qui ne manquent sûrement pas de consulter les chiffres du marché tous les matins :-) Vu du second marché, je dirais : 1 - Gandi 2 - OVH 3 - 1&1 4- AMEN Pour le reste et dans le désordre : - n** - Domaine.fr - Namebay - Lycos - Rapidomaine - INDOM - Mailclub - France Telecom - Online.net - Neodomaine - Netim - IP Twins - Oxyd - Xdir - Nameshield - Le Relais Internet - Netim - Xdir ... Rémy
  2. Dan, je me permets de corriger l'amalgame : Sedo n'est pas un domaineur mais une plate-forme d'achat-vente de noms de domaine dont le but est de proposer une interface automatisée aux vendeurs et aux acheteurs potentiels pour négocier en ligne, plus des services autour des noms de domaine comme le parking - consistant à rentabiliser le trafic naturel généré par les noms de domaine via navigation directe Sedo ne fait pas en son nom propre de commerce de nom de domaine, et n'est donc pas en ce sens un domaineur. Simplement un prestataire de services. Voilà, juste pour précision Rémy
  3. Effectivement, plus un nom de domaine est court, plus il est a priori facile à retenir et plus il a de la valeur. Mais ce qui fait la force des noms de domaine en 3 lettres n'est pas seulement la taille, c'est leur utilisation potentielle à titre d'acronyme. Comme le souligne très justement binarygirl, des millions d'entreprises de la planète ont un nom commercial en LLL. Même en recentrant sur le marché francais et son .fr, cela fait des centaines de milliers d'entreprises potentiellement concernées. Or les entreprises possèdent a priori les plus gros pouvoirs d'achat, mais cela va plus loin que la simple question : "qui peut payer des millions?" Les noms de domaine en 3 lettres restent avant tout une valeur sûre du milieu des domainers et s'échangent souvent pour de belles sommes... lorsqu'ils séchangent, car comme toute perle rare, leurs titulaires préfèrent encore ne pas les vendre en attendant soit une offre conséquente, soit des périodes de vaches maigres. J'estime qu'un .com en 3 lettres qui s'enchaînent à peu près correctement (ex : ato, contre-ex : qwx) ne se chiffre pas à moins de 10,000 dollars. Sur du .fr, on tombe à 2000 EUR environ. Ce sont des valeurs de marché, bien sûr il y a des exceptions. Le premier .fr en trois lettres vendu sur Sedo était de mémoire erp.fr pour 900 EUR en juin 2004. Très bonne affaire pour l'acheteur (mais sans doute aussi pour le vendeur, compte tenu de l'état du marché francophone à l'époque) ! Si vous pouvez encore acheter un .fr sympa en 3 lettres à moins de 2000 EUR, faites-le car d'ici 2-3 ans la donne aura changé Rémy
  4. Tout dépend de l'utilisation qui est fait du nom de domaine "litigieux" : le contenu vise-t-il manifestement ton champ d'activité ? Exemple : je pense que tu connais la marque de vêtements allemande "Diesel". Mettons que Diesel communique sur diesel.de ou même diesel.com (je ne suis pas allé vérifier) Peut-on pour autant affirmer catégoriquement qu'il serait fondé pour eux de s'en prendre au titulaire de diesel.fr - qui aurait développé un site d'information sur l'évolution des prix des carburants en France ? Pas sûr. Le parasitisme ne se définit pas par le seul enregistrement d'un nom de domaine étiqueté "litigieux", il faut aussi que l'utilisation qui en soit faite soit parasitaire.
  5. La nouvelle a été officialisée vendredi par Sedo (http://www.sedo.com) : le nom de domaine website.com a été vendu pour la somme de 750,000 USD, cette transaction marquant un record pour l'année 2005. Les négociations entre vendeur et acheteur ont été menées par les équipes de courtage spécialisées de la plateforme d'achat-vente de noms de domaine leader mondial. "Nous nous réjouissons que nos services aient permis aussi bien au vendeur qu'à l'acheteur de parvenir à un accord plus que satisfaisant pour un nom de domaine d'une telle qualité. Nous sommes persuadés que cette vente record rappelera à tous les propriétaires de "topdomaines" génériques qu'il reste plus que jamais possible de trouver des acheteurs prêts à investir des sommes économiquement justifiées. Pas moins de 50 offres sérieuses ont été enregistrées sur notre plateforme pour ce nom de domaine." explique Tim Schumacher, dirigeant de la société Sedo GmbH. Les noms de domaine génériques ou descriptifs se vendent sur le marché international pour des sommes souvent élevées. Le record absolu est encore détenu par business.com, vendu 7,5 millions de dollars peu de temps avant l'éclatement de la bulle Internet.
  6. Americas, écris simplement à Lycos (courrier de préférence) pour leur demander de se virer de la rubrique contact administratif et de mettre tes coordonnées à la place. Une fois ce fait, le tour est joué ;-)
  7. Salut David, Es-tu porté en contact administratif dans le Whois du nom de domaine en question où est-ce les coordonnées de ton hébergeur demi-mort qui y sont mentionnées ? Si tu as le contrôle de l'adresse e-mail portée en admin-c, alors tu devrais aisément pouvoir rapatrier le nom de domaine chez l'hébergeur de ton choix. Rémy
  8. Si il existe sur la toile des services payants d'évaluation de domaines, certains valent amplement l'argent investi et d'autres moins. Donne-nous simplement des exemples de domaine et je te dirai ce que j'en pense, sachant que je suis de ces gens qui réalisent des évaluations payantes donc tu ne voudras peut être même pas de mon avis
  9. En effet Sedo s'en charge, et fonctionne avec des contrats tout ce qu'il y a de plus normaux. Tu peux trouver des modèles-types partout sur la toile. J'espère que tu fais confiance à l'autre partie, car l'un d'entre vous devra forcément faire le premier pas... En effet, imaginons que tu sois acheteur : tu dis alors "transférez-moi le domaine et je vous paye ensuite". Le vendeur pense "non, paye-moi d'abord et je transfère le domaine ensuite". Logique. Imaginons que tu suives sa loi : qui te dit qu'il te transfèrera le domaine si tu payes ? Imaginons qu'il suive la tienne : qui lui dit que tu le paieras si il transfère le domaine ?. Avec Sedo, ce problème majeur est réglé : ils conservent les fonds sur un compte en banque neutre tout le temps de la transaction, et ne payent le vendeur qu'une fois le domaine effectivement transféré. Et si le transfert venait à capoter, ils te restituent ton argent. Mais bien entendu, il est des histoires qui se règlent sans eux
  10. Salut Silmaril, Ben figure-toi que je viens de boucler un transfert chez **** avec Lycos comme registrar sortant, et c'est vrai qu'en voyant la gueule du Whois j'ai un peu paniqué... Mais en fait, le vendeur leur a simplement envoyé une lettre avec accusé réception pour leur demander s'il pouvaient changer l'admin-c. Ils ont répondu (et très vite) que c'était possible, et gratos. Et comble des combles, ils l'ont fait selon les souhaits de mon client en 3, mais oui 3, jours. Un jour après j'ai fait lancer à l'acheteur la Transfer Request, et deux jours plus tard le domaine était chez l'hébergeur entrant. Bref, t'as pas eu de bol sur ce coup-là...ou alors ton cas a fait jurisprudence et ils se sont attendris depuis lol. @+ Rems
  11. Idem, je te conseille OVH. Tu ne seras pas coincé chez eux : contrairement à Lycos, ils ne mettent pas de bâton dans les roues en cas de transfert.
  12. Ca fait plaisir de voir des gens du Montbrisonnais ici Ce qui t'est arrivé est monnaie courant dans le monde des domaines, et encore il y a une certaine logique car tu t'es fait piquer ton domaine par un concurrent. Certains se le font piquer par le corréen du coin qui y pose une page de c** pour en demander ensuite des millions. Le mauvais point pour toi, c'est qu'H...n'utilise pas ce domaine. Tu ne peux donc pas avancer l'argument du parasitisme actif. Par contre, tu pourras certainement assez facilement prouver qu'il la enregistré en connaissance de cause... Rassure-toi, tu as le .com c'est un bon point Ce qu'il faudrait arriver à faire, c'est un accord à l'amiable : tu lui fais envoyer une mise en demeure, comme quoi il faut qu'il te rétrocède le domaine sous peine d'action en justice. S'il n'est pas fûté, il prendra peur et il le fera. S'il l'est un peu plus, il engagera des négociations. Pour info, un nom comme ça ne se négocie pas à plus de 1000 euros. Quoi qu'il en soit, je pense que tu est mieux placé pour prouver ton droit sur ce domaine mais attention, ce sont parfois des procédures longues et coûteuses. Un Villardaire... Edit Arlette : évitons de citer nommément des personnes qui n'ont pas éventuellement la possibilité d'avoir un droit de réponse
  13. Le site leader en Europe, c'est Sedo. Il te suffit d'être effectivement propriétaire du nom de domaine, seule chose dont ils s'assurent avant de le mettre en vente. La mise en vente est d'ailleurs gratuite, de même que l'inscription. Tu ne payes de commission QUE si tu vends ton domaine. Tu peux choisir de fixer un prix ou de le laisser libre. Le système se base sur l'offre / contre-offre, c'est à dire que c'est différent des enchères Ebay et surtout, comme tu le soulignais, specialisé Ton identité ne sera pas révélée car Sedo fonctionne sur un principe d'anonymat. A aucun moment tu ne seras en contact direct avec l'acheteur et si tu ne veux pas que ta vente soit publiée sur le site, c'est également possible. pour le reste, c'est là que ça se passe : http://www.sedo.fr Bonne Chance !
  14. C'est un point de vue qui se défend complètement. Le centre du problème est donc, comme je l'envisageais et ton smiley le prouvant, bien culturel. Question (et là, je m'égare volontairement) : as-tu jamais vécu ou même séjourné à l'étranger ou partagé une culture ? Car imagine, même l'image du Français au bérêt, à la baguette de pain et à la bouteille de rouge est en train de disparaître en Allemagne par exemple...alors que certains en aient cette image à l'intérieur même du pays. Les Allemands, encore eux, sont fiers de leur .de deuxième extension au monde, qui pour eux est le symbole d'une nation à la fois ouverte et porteuse d'une identité réelle. Et nous n'irons pas plus loin dans ces considérations psycho-culturelles, car on est là pour parler noms de domaines. Comme quoi je ne sais pas QUE m'égarer dans mes propos, je suis aussi capable de self-recadrage Exception culturelle, quand tu nous tiens ! PS : et OUI, j'aime mon pays et mes racines même si j'ai changé de crèmerie
  15. Je n'ai pas dit que la personne en question l'exploitait. Mais diable, la règle est : "premier arrivé, premier servi". C'est donc la moindre des choses de s'efforcer d'arriver le premier. Quand je regarde par exemple le portefeuille de domaines de Michelin, je me dis "ah, enfin une entreprise française sérieuse". Et la règle, ce n'est pas moi qui l'ai pondue. Désolé si j'ai à ton goût tout mélangé dans mes propos, j'essayais juste d'élargir un peu la question car pour moi il y a un gros background culturel là dedans. J'ai réalisé mon mémoire sur les justifications et les impacts de l'ouverture du .fr sur le marché des noms de domaine en m'inspirant d'avis comme les tiens, sur lesquels je ne me permettrais jamais de cracher, et qui font qu'il y a débat. Moi aussi je trouve qu'il y a des mécanismes injustes dans le monde des domaines, mais il FAUT s'y adapter, c'est une réalité. Et désolé de m'égarer encore, mais as-tu le même problème avec des gens qui achètent des maisons pour les revendre, ou même avec les agents immobilier qui servent d'intermédiaires entre acheteurs et vendeurs ? Car les noms de domaine étant décrits comme "l'Immobilier de l'Internet", je ne pense pas que le parallèle soit totalement déplacé.
  16. Vive l'AFNIC alors Enfin lorsqu'on sait qu'ils ont reçu des courriers d'organismes aussi notoires que le DENIC (registre du .de, deuxième extension au monde derrière le .com avec près de 8 millions de domaines), le DNS be (qui avait procédé avec succès à la libéralisation de ce ccTLD il y a quelques années déjà ou même de l'ICANN qui se demandait s'il s'agissait d'un canular, ça peut laisser à penser que mon point de vue n'est pas totalement farfelu. Mais j'y pense : si on revenait aux bons vieux modem 56K en France ? Après tous les efforts consentis pour arriver ne serait-ce qu'à la cheville de nos voisins européens... Bref, il est aussi vrai que l'AFNIC est un organisme tout à fait respectable, et avec des gens ultra-compétents au sein de son CA (M.Damilaville, le Directeur d'INDOM...) Seulement ils ont un rôle de patrons lorsqu'il décident un changement de cap, et cela passe par une veille aussi complète que possible des débordements prévisibles. Et sincèrement, ils savaient qu'en n'ouvrant le .fr qu'aux entreprises françaises, certaines se porteraient prête-noms pour enregistrer des .fr pour le compte de clients. Et surtout pour le compte de clients étrangers, qui eux ont conscience de la valeur des noms de domaine contrairement au français moyen. Et il n'est pas question ici d'argent sale, mais de patrimoine. Car à vrai dire, je ne vois pas en quoi le dépositaire d'un domaine générique de qualité de type banque.fr et qui voudrait assurer un patromoine en cas de coup dur dans sa vie ou celle de ses enfants serait plus à blamer qu'un Provincial investissant dans l'immobilier parisien. Sauf que la France est l'une des seules cultures au monde ou l'argent est dans la majeure partie des cas sale lorsqu'il s'agit de ceux des autres. Et l'AFNIC n'échappe pas à cette règle culturelle : les 500,000 euros que leur a rapporté l'ouverture aux entreprises sont propres, mais les quelques euros empochés par les autres, beurk. Et pour lutter contre l'argent sale, qu'a-t-on trouvé de mieux ? Les procès. Ce qui donne des aberrations du genre : une entreprise se fait "piquer" son nom de domaine (entendez par là : elle n'a pas fait la veille suffisante pour se l'approprier ou le garder) - elle se décide finalement à le racquérir sur le second marché - elle propose un prix de 100 euros - on lui en demande 3000 - elle intente un procès - et au final, elle regarde la note d'honoraires de 5000 euros et s'appitoie sur son sort. Mais n'est-ce pas ce qui fait le charme de notre beau pays ? Vu de dehors, si, en tous cas.
  17. Quand on sait que rien que l'ouverture aux entreprises leur a rapporté 500,000 euros et que l'ouverture aux particuliers leur ouvrirait un marché potentiel de 40 millions de cibles, on se demande si quelqu'un s'intéresse à l'économie à l'AFNIC, sans compter les créations d'emploi qui accompagneraient l'ouverture. Mais bon, c'est une association, pas une S.A. Mais qui en fait les frais ? L'internaute français ! Paraît-il qu'il n'est pas "mûr". Forcément un internaute c'est comme un gosse : plus tu lui interdis, plus il fait. Donc forcément, ouvrir l'extension SEULEMENT aux entreprises a fait que des particuliers se sont tournés vers des entreprises pour enregistrer du .fr. Mais ça, c'est également une loi d'une économie que l'AFNIC semble ne pas maîtriser. Le comble, c'est quand même qu'on envisage un "retour en arrière" du côté de Montigny-Le-Bretonneux. Comme si on disait aujourd'hui : "ah finalement la démocratie n'est pas une idée fameuse, rétablissons les privilèges" Mais les clés de l'histoire sont sans doute enfermées dans un bureau de la région parisienne...
  18. Si seulement je pouvais avoir ce genre d'informations, je serais un homme riche puisque bossant sur le second marché des noms de domaine, je suis en perpetuelle recherche de clients potentiels. Malheureusement, je peux GARANTIR à 100% qu'aucun outil de ce type n'existe. C'est pourtant le rêve de mes boss.
  19. Une solution envisageable pour le rachat : http://www.sedo.fr Ils contacteront le propriétaire actuel du domaine, mais de manière anonyme. Ainsi, les conflis entre ta société et ladite société ne seront pas au goût du jour Bonne chance !
  20. Oui, vive l'AFNIC Mon conseil aux particuliers avant l'ouverture du .fr (dont la date sera probablement connue à l'occasion du Conseil d'Administration de notre vénéreux registre le 19 novembre prochain) : évitez le .fr, perdre 3 mois d'utilisabilité sur un an d'enregistrement c'est pas génial Car désormais la règle d'or n'est plus : "premier arrivé, premier servi" mais "servi, mais destituable à tout moment" Au passage, nous sommes la risée de nos voisins germaniques aux 8 millions de domaines et aux taux de Procédures Juridiques des plus faibles en Europe. Ahlala Silmaril, y'a des moments où on est bien content de pas avoir une boîte en France et de savoir que "dotcom is the king"
  21. Je crois que certains se meprennent sur cette histoire...mais pas à tort : qu'est-ce qu'on reproche ici ? Le cybersquatting ou l'enregistrement de noms de domaine par des faire-valoirs Chez domaines.info par exemple, les articles sur le sujet apparaissent dans la rubrique cyberquatting, alors que le thème central est bel est bien l'enregistrement par M. Nunenthal de noms de domaine pour le compte de particuliers. Ledit M Nunenthal, lui, n'a pas un seul domaine à "lui" (même si au final, ils sont bien à lui). On reproche aussi à des plateformes d'achat-vente de noms de domaine...de mettre en vente des noms de domaine . Quand reprochera-t-on aux constructeurs automobiles de mettre en vente des autos, aux fabricants de portables de nous canceriser les oreilles, et aux puits de pétrole de faire exploser les cours de la bourse ? Tout n'est pas contrôlable, pas plus pour les hébergeurs que pour d'autres. D'ailleurs, Amen a été relaxé dans l'affaire michel-edouard-leclerc.fr, logique quand on sait que les hébergeurs ont à gérer des bases de données de plusieurs millions de domaines Peut-être faudrait-il songer du côté de Montigny-le-Bretonneux à réinterdire tout échange de noms de domaine en .fr, pour soigner le mal à la racine Le point positif : la nouvelle a fait le tour du monde, le .fr est sorti de sa léthargie :!:
  22. Oups Silmaril dsl je n'avais pas lu l'intégralité de tes posts, emporté par ma colère. D'ailleurs nos confrères luxembourgeois d'eurodns peuvent se faire plus de souci qu'ils ne s'en font déjà : http://www.eurodns.lu/info/alerts/afnic102005.php Il me semble que l'AFNIC est en train de commettre une erreur assez lourde, après il est sûr que c'est un moyen radical de d'atteindre l'objectif qualitatif avoué : "faire de l'espace de nommage français le plus sûr du monde"
  23. Silmaril, Très juste sur certains points mais songe à revoir tes classiques : la nouvelle Charte de Nommage de l'AFNIC n'interdit plus clairement le commerce de .fr (contrairement à l'ancienne), tout du moins n'en fait-elle pas mention. C'est dommage d'induire les gens en erreur pour les réprimander ensuite. Notre cher registre devrait également, à défaut de revoir ses méthodes, repenser sa stratégie de communication : il était sensé bloquer des termes "contraires à la Charte de Nommage", depuis quand des domaines correspondant à des entités calendaires (juin.fr) sont-ils contraires à la Charte de Nommage ? La répression n'est efficace que lorsqu'elle est ciblée, le cybersquatting est différent de la maladie de la vache folle : on n'abat pas tout un troupeau pour quelques bêtes malades
  24. Salut Silmaril, J'étais en train de scruter la même liste, qui a failli m'envoyer tout droit aux toilettes : depuis quand l'AFNIC a-t-elle réinterdit l'utilisation des noms de domaine génériques cornemuse.fr delirant.fr cuisse.fr ... Dans ces conditions mieux vaut reporter à 2076 l'ouverture aux particuliers. Certains ont une définition bien curieuse du terme "responsabiliser"...
  25. Bonjour tout le monde, je pense que la majeure partie d'entre vous est au courant du coup de théâtre de la journée : l'AFNIC a décidé suite à un conseil d'administration de suspendre pour une durée de 3 mois plus de 4500 noms de domaine en .fr "contraires aux principes de la Charte de Nommage". Concrètement, ces noms de domaines sont bloqués (non pas REGISTRAR-HOLD mais REGISTRY-HOLD, cf. post précédent ) et apparaîtront dans une liste publiée par le registre français sur son site. A partir de ladite liste, pourront réclamer "leur" nom de domaine toutes les entités françaises éligibles au .fr pensant avoir été lésées. Plus d'informations sur le site de l'AFNIC : http://www.afnic.fr/actu/nouvelles/nommage/NN20041026 Voilà, j'aimerais beaucoup recueillir des avis aussi variés que divers sur la question, l'interrogation centrale étant : est-il moralement juste de libéraliser une extension pour se réapproprier ensuite des produits de cet évènement ? Imaginez que vous laissiez faire des bêtises à vos enfants pour pouvoir ensuite mieux les punir (par plaisir ?). Autant je suis POUR la protection des collectivités territoriales par exemple, autant ça, je ne comprends pas trop
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