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Magicoyo

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Messages postés par Magicoyo

  1. En fait, je faisais une réponse se principe, un peu comme Yep. Ce n'est pas une attaque perso, ni pour l'un, ni pour l'autre (que je connais plus)

    Juste après avoir rédigé mon message, je suis allé voir le site de ZamZoum. Il est correctement réalisé et je me suis amusé à regardant quelques vidéos.

    Mon ébullition porte sur la découverte permanente par les webmasters du concept d'utilité et de pertinence.

    Réveillez-vous ! Le web a changé !

    Pendant que les artisans/pionniers du web/webmasters se grattent la tête à savoir qui le plus important du PageRank ou du contenu; les rois du commerce et des médias ont découvert le web et le référencement. C'est eux qui aujourd'hui dominent internet.

    Et en termes de référencement, c'est eux qui ont les moyens de produire le plus de contenus, c'est eux qui ont les moyens de construire une grosse notoriété, c'est eux qui ont les moyens d'être les meilleurs.

    Et aujourd'hui, tout est décisif :

    contenu x produit x service x acquisition de trafic x conversion x fidélisation notoriété

    Être bon sur 1 ou 2 des paramètres, c'est ramer avec un bateau qui prend l'eau. Le temps de la bidouille, c'est fini.

    Alors ramener le succès au référencement, et ramener le référencement au contenu... ça me parait une vision ultra ultra ultra étroite.

  2. Attention, mode vieux raleur : ON :boude:

    Euh ... travailler le contenu ?

    La création de contenu/services pertinents n'est pas du domaine du référencement, mais de la compétence métier.

    L'utilité n'est pas un principe du référencement, mais un principe de business.

    L'objet du référencement est de permettre à l'offre (produits, services, contenus) d'exprimer son potentiel (qu'il soit fort u faible) en lui donnant de la visibilité sur les moteurs de recherche.

    Peut-être que les référenceurs/webmasters ne cessent de redécouvrir ce principe basique du commerce (l'utilité, la pertinence). Mais ce n'est pas un principe de référencement !

    Je trouve de plus en plus pénible les questions qui cherchent les astuces pour positionner des sites amateurs ET sans intérêt.

    Et je trouve encore moins excusable que la seule réponse à toutes les questions du référencement devienne : le contenuuuu.

  3. Je l'ai testé et je ne penses pas l'acheter.

    Déjà parce qu'il n'existe pas d'offre illimité (bien que le coût des 100 crédits me fasse peur...) comme pour seeUrank

    Effectivement, à chacun de faire ses calculs 'valeur créée / cout'.

    et ensuite car je vois mal certains de mes clients aller dans les annuaires proposés.

    Dommage qu'il n'y ai pas de gestion d'annuaire B2B / B2C

    Là, je ne comprends pas bien.

    Tout d'abord, il y a 10.000 annuaires... autant dire la plupart. Il y a des annuaires BtoB (dont le mien). La recherche de catégories/annuaires se faisant par mots-clés, si tu cherches "gestion production" ou "logistique" ou "services aux comités d'entreprises", tu auras les catégories correspondantes, dans les annuaires qui les proposent.

    Ensuite, outre du trafic direct, les annuaires t'apportent des backlinks bien thématisés (puisque c'est ton descriptif qui crée le contexte du lien).

    ... à préférer pour des "petits" sites qui démarrent

    Je pensais aussi que les "gros" n'utilisaient pas les BLs d'annuaires... mais les ventes de Submit me donnent tord. La compétition deviens tellement rude que même les leaders ne laissent rien au hasard.

    mais hélas je sens bien les offres "votre site dans 500 annuaires de qualité pour seulement 300€) :(

    Ca, c'est des prix de soumission automatique dans des réseaux d'annuaires (qui existent déjà). Je pense que tes repères de valeur de prestations de référencement manuel sont assez largement sous-évalués.

  4. Ton texte est contenu dans quelle balise ? Peux-tu nous livrer l'ensemble du code concerné ?

    Je confirme, un de mes anciens client avait reçu un "ultimatum" de Google (via les Webmasters Tools) pour ce type de pratique.

    Dans la charte graphiue, Le titre H1 venait en superposition d'une image. Pour des questions de lisibilité, on a du ajouter une ombre portée au titre.

    Résultat, un backgound au h1 + le textedu h1 rendu invisible en CSS... Le Googler a estimé que c'était du cloaking :nonono:

  5. Perso, j'ai eu beaucoup de mal à comprendre cette logique de construction de page.

    Je cherchais un CMS simple, et j'ai buté sur la construction du template que j'ai trouvé fastidieuse. Dommage, le reste était alléchant.

    J'avais une maquette en HTML, ça m'a paru lourd à mettre en oeuvre. D'autant que tout est modifiable tout le temps.

  6. Je disais également que ce n'était pas fiable.

    Par contre, le volume de requêtes, ce n'est pas le meilleur argument contre, car il est possible de mettre des serveurs derrière des ip dynamiques ou utiliser divers proxies.

    Les proxies, c'est ultra lourd à gérer car ils sont encore plus vite cramés qu'une IP classique (on est jamais seul sur un proxy ;)). D'autant qu'ils faut tourner sur les seuls proxies français si on ne veut pas des classements déformés par la géolocalisation des résultats. Quant aux IP dynamiques, y'a des solutions, mais autant utiliser un soft logiciel sur une connexion grand public avec IP flottante.

    Vu ton profil, a mon avis, la meilleure solution pour toi est de développer ta propre application. ;)

  7. CrawlTrack & Piwik ne sont pas fait pour ce que tu cherches. Ce sont des outils d'analyse d'audience (pour Piwik), Crawltrack veillant une audience un peu particuière.

    Les outils en ligne ne peuvent être des outils de positionnement fiables, ne serait-ce pour des raisons de limitation de volumes de requêtes par IP.

    Après il y a des outils comme IPB, ou plus pro comme SeeUrank ou Agent Web Ranking. Mais si tu penses que IPB c'est cher, les autres sont pas faits pour toi ! :D

  8. Je verrais bien un CAx12 + valeur du stock.

    Ca te laisse une marge de négo d'environ 20%

    Après d'autres facteurs peuvent rentrer en jeu pour augmenter ou diminuer la valeur de on site (design, qualité du référencement, degré de connaissance des clients, fidélité des clients...).

    Tu trouveras des précisions dans cet article que j'avais écrit sur le sujet : http://www.inferences.fr/index.php/2007/04...-votre-site-web

    C'est plutôt pensé pour des sites de contenu, mais tu dois pouvoir transposer des facteurs de valorisation au ecommerce

  9. Tu as fait le tour des astuces et recettes de cuisines ? Tu peine à en trouver plus ?

    La réponse me parait évidente : Si tu ne trouves plus rien, cherches autre chose !

    On va parler de backlinks, de pagerank, et de tout un tas de méthodes que tout le monde applique déjà... Eux ont quelque chose en plus (et surement pas la notoriété, la qualité et encore moins le passif... ils ont une recette qui leur permet en quelque mois d'être les premiers sur tout !).

    Je vois 3 choses en plus pour ces sites en plus de la masse :

    -1- le volume de contenu

    -2- une grosse audience qui ne proviens pas uniquement des moteurs de recherche (et oui, Chauffeur de Buzz fais une audience énorme),

    -3- Des leviers de notoriété puissants (backlinks sur des gros gros sites)

  10. _AT_Dan : On est relativement d'accord sur le fond ;)

    Etant un tuteur assez consciencieux et concerné d'une part, et ne comprenant pas le fol espoir de trouver dans les stagiaires une main d'œuvre "pour faire le boulot"... je tiens à une vision équilibrée des choses.

    _AT_Arlette : La plupart des stagiaires n'ont pas fini leur cursus. Proposer une embauche à la suite d'un stage n'est alors simplement pas possible.

  11. A te lire, j'imagine donc que ton entreprise fait appel à des stagiaires...

    Assez peu, car le nombre de missions qu'ils peuvent remplir chez nous est assez faible.

    Nos stagiaires ont des missions délimitées. Ils sont payés et très encadrés et généralement ravis de leurs stage en tout points.

    Cela dit, mon expérience se base sur mon passage dans 4 entreprises différentes... et une petite dizaine de stagiaires directement tutorés.

    Désolée, mais un stagiaire c'est fait pour apprendre. Pas pour rendre service ! S'il a des compétences que tu peux exploiter tu le rémunère parce dans la journée une partie de sa présence sera du boulot pour la société, mais cela ne doit pas être que du boulot. Il faut une part de formation. Si 100 % de son temps est du boulot j'appelle cela un intérimaire, ou un CDD.

    Je ne partage simplement pas ton avis. Je confirme mon idée du gagnant/gagnant.

    Tu le dis toi même, un étudiant n'est pas opérationnel.

    Les stages visent à l'immerger dans les exigences de son futur métier. Il acquiert autant de compétences pratiques que théoriques, il touche du doigt le niveau de maturité exigé, des normes de comportements en entreprise... Tout cela, il l'acquiert en exécutant sa mission. En se confrontant à ce qu'il ignore, en se trompant et en prenant des enseignements de son tuteur.

    Cet apprentissage "hors école" est une première contrepartie à son travail. La principale d'ailleurs puisque un stage s'inscrit dans un cursus pédagogique.

    Il peut y avoir une contrepartie financière en plus. Cela dépend généralement du type de stage, du type de tâche, du niveau d'étude et surtout de la durée du stage. Chez Yooda, ça a été systématiquement le cas (depuis 2 ans que j'y suis). La dernière mission qu'on a proposé était indemnisée à hauteur de 800€/mois (pour un bac+3).

    Enfin, j'assiste toujours mes stagiaires lors de leurs soutenances de stage et m'assure qu'ils obtiennent une note maximale. Les plus méritants repartent également avec une lettre de recommandation en béton et des propositions d'emploi régulières.

    Voilà, j'en ai fini de mes justifications. :)

    Je trouve en revanche réellement étonnant que dans un même paragraphe, on puisse dire qu'un stagiaire n'apporte rien, mais qu'on l'exploite. Ou encore que prendre un stagiaire pour "faire le métier" c'est du travail déguisé, mais que le stage doit conduire à une embauche.

    Bref, mes messages ne sont évidemment pas des attaques perso. Je milite un peu pour faire entendre une voix dissonante sur ce sujet. :P

  12. Ah mais c'est évident que prendre un stagiaire c'est pas dans le but d'obtenir de la valeur ajoutée à court terme. Si tu espères cela tu fais fausse route.

    Je ne crois pas. Un stage ça doit être gagnant-gagnant, sinon y'a pas d'intérêt. Et surtout, les entreprises ne pourraient jamais absorber le flot de jeunes qui cherchent un stage.

    Oui, il y a des méchants exploiteurs qui profitent de la situation "stagiaire" pour embaucher à bas prix, pendant une période courte, quelqu'un qui fera le boulot d'un employé. Et c'est bien le cas dans l'exemple donné.

    Moi quand j'entends : J'ai besoin d'un site donc j'embauche un stagiaire pour me le faire (alors que la personne sensée être son tuteur sur le contrat est tout sauf webmaster : Tout juste si elle sait faire une recherche sur Google), j'appelle ça un méchant exploiteur.

    C'est exactement ça que je trouve contradictoire. D'un coté on dit qu'un stagiaire fera le boulot d'un employé; d'un autre on dit qu'il est pas capable de le faire.

    Après il y a des professionnels qui pensent (notamment au sujet de la communication d'entreprise) que "tout-pourri" c'est mieux que rien, surtout si c'est gratuit. Tant pis pour eux. Pour certains, c'est un passage obligé. La société comprends que pour faire bien, mieux vaut passer par des pros avec de l'expérience. Le stagiaire marine un peu, mais au final il devrais apprendre pas mal de choses au niveau technique... et améliorer aussi ses critères de choix d'emploi/stage.

    Prendre un stagiaire c'est à la limite un apostolat. Généralement tu le fais pour faire plaisir à quelqu'un, tu le fais une fois l'an (en période d'accalmie dans ton job) et encore souvent tu vas le faire une fois dans ta carrière. Tu ne travailles pas en permanence avec des stagiaires ! Et je dirais même que passer une annonce pour embaucher un stagiaire me semble une hérésie. Un vrai stagiaire il prend son téléphone et essaie de se trouver un patron charitable qui veuille bien le prendre. Ou alors, les sociétés s'adressent directement aux écoles pour leur proposer de prendre un étudiant.

    Je ne suis absolument pas d'accord. :)

    Ce que tu dis renferme pour moi la graine du "stage photocopie". A mon sens, un stagiaire a une mission précise. Elle correspond à une attente de l'entreprise. Il complète l'équipe ponctuellement, soit pour assister, soit pour ouvrir une piste nouvelle.

    En plus, tu voudrais payer pour rendre service ?

    C'est en cela que je souligne le flou qui règne autour de la valeur des stages. J'ai l'impression qu'on mélange un peu tout et que c'est un terrain facile pour taper sur les employeurs.

  13. Moi j'ai l'expérience inverse. J'ai fait quelques stages évidemment, pas des mauvais souvenirs dans l'ensemble. Mais j'ai surtout une expérience de tuteur.

    Je dois dire que cela me prends généralement énormément de temps.

    Je n'attends pas d'un étudiant qu'il soit opérationnel. C'est mon rôle de lui trouver une mission à sa portée et de le mettre en situation de réussir.

    Au final, j'ai rarement eu l'impression d'y gagner quelquechose. :/

    Je comprends d'autant moins les tuteurs/employeurs qui cherchent des superman en stage. De fait, je ne comprends pas non plus le refrain du "méchant exploiteur", dans la mesure où la valeur ajoutée des stagiaires est majoritairement nulle. Généralement, ça m'aurais moins pris de temps de faire moi-meme.

  14. Le problème de ton outil Truitas, c'est qu'il est fait pour des anglais :

    1. Les mesures sont faites sur des outils anglais. Ca change énormément les résultats pour le positionnement. Pis y'a des outils meilleurs pour ça. ;)

    2. Les comparaisons (hors la liste de concurrents que tu fournis) sont aussi anglais.

    3. On sait pas bien ce qu'on regarde. La "saturation" c'est le nombre de pages indexées ?

    4. Y'a quand même peu/pas de valeur ajoutée par rapport à Yahoo Explorer, à part de te conserver l'historique de tes analyses.

    Pour l'outil de Web Créatif, je ferai a peu près les mêmes critiques. En plus lors de mon test, il ne m'a renvoyé que des "N/A"... :/

    Sinon, l'analyse sur les ancres des liens me parait intéressante si elle marche des fois.

  15. Les onglets à 2 niveaux, c'est déjà un niveau de trop. Pour ça, il vaut mieux des menus déroulants.

    La solution que j'adopterai :

    1. menu déroulant 2 niveaux + navigation contextuelle pour le niveau 3 (ex. colonne de droite)

    2. des liens profonds (dernier article, dans la même catégorie, consultez aussi, liens dans le texte...)

    3. moteur de recherche

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