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lafleur

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Tout ce qui a été posté par lafleur

  1. Euh, je parle aussi à long terme. De toutes façons, ce n'est pas propre à Internet. C'est la même chose pour les autres médias d'information : le payant y côtoie le gratuit, ils se tirent la bourre entre eux mais il n'y a pas plus de de gratuits que de payants qui crèvent. Ca marche pour Internet, la télé et la presse (je ne connais pas d'exemple de radio payante). Ce n'est bien sûr pas garanti, ce n'est certainement pas facile, mais on peut en vivre, voire faire vivre plusieurs personnes dessus.
  2. Au hasard, Google est un site gratuit, ses fondateurs semblent en vivre bien Dans un autre registre, Kelkoo aussi propose un service gratuit aux internautes, ça a l'air de bien marcher. Je connais un paquet d'exemples à plus petite échelle de sites qui vivent car les annonceurs ont un intérêt à s'afficher dedans. Donc effectivement, c'est pas gagné d'avance, mais c'est loin d'être impossible
  3. On sent l'expérience, sur des phrases comme ça Bref, même réaction que toi
  4. Bonjour à tous Jusqu'ici, les positions des sites sandboxés sur les requêtes visées semblaient n'évoluer que tous les trois-quatre mois environ. On assistait, à ces intervalles, à des vagues de "sorties de sandbox" totales ou partielles. Mais depuis la rentrée, à lire divers témoignages à droite et à gauche, j'ai l'impression que ces sorties, toujours totales ou partielles, ont lieu tous les mois. Avec, forcément avec notre imprévisible ami Google, de furieux contre-exemples flingant d'avance toute théorie à venir . Constatez-vous la même chose, à savoir que, globalement, les évolutions des positions des sites sandboxés évoluent plus vite, ou pas du tout ? A vous lire !
  5. Salut Alain Pas forcément. Dans Google, il arrive que la page en cache te dise un truc du genre "les mots demandés sont seulement présents dans les textes des liens pointant vers la page" (me rappelle plus le texte exact).
  6. Le fait que Google peut placer très haut sur une requête une page ne contenant pas le ou les mots de la requête (exemples des opérations de Google bombing) montre que ça ne se déroule pas forcément de cette manière.
  7. Le PR est un indice. En tant que tel, il est censé refléter une réalité (la popularité d'une page selon Google). Comme dans beaucoup de domaines, on s'imagine qu'en faisant bouger l'indice, on change la réalité. Et il est bien plus facile de faire bouger artificiellement un indice (je souffle sur le thermomètre pour faire croire que j'ai la fièvre et je sèche les cours, j'invente des prétextes à la noix pour radier les chômeurs de l'Anpe pour faire croire que le chômage baisse et je suis réélu) que de bosser pour améliorer la réalité. Même chose pour le PR : il est facile de le gonfler avec des liens bidons. Manque de pot, la réalité est que le site n'est alors pas mieux référencé et il ne monte tout de même pas dans les résultats. Malgré le gros PR (l'indice favorable, donc), la réalité (la qualité du référencement) ne s'améliore pas et le site ne monte pas dans les classements. Je crois donc que le conseil de Thick est le meilleur qu'on puisse donner : "il n'y a pas besoin de se préoccuper du PageRank si on travaille le référencement d'un site dans les règles de l'art car un PageRank acceptable ou élevé viendra tout seul et le plus naturellement du monde, tout comme viendront naturellement les bons résultats de positionnement". Le PR, comme tout indicateur, reflète parfois la réalité (la popularité d'une page). Dans d'autres cas, il ne reflète rien d'autre que le travail fourni sur l'indice lui-même et non sur la réalité. Merci de ne pas me brouter sur l'emploi du mot "réalité" dans le contexte virtuel, je n'avais rien de mieux qui soit simple et d'explicite sous la main
  8. L'algo évolue sans cesse, mais ce que tu décris ressemble plus à une sortie de sandbox, qui est un phénomène déjà abondamment commenté (je dis pas connu, je dis juste commenté ) Il y en a pas mal en ce moment. Pour le reste, d'accord avec toi
  9. Salut Denti Si tu avais raison, la mise à jour du PR affiché (de la barre verte) aurait lieu en même temps qu'un changement dans l'ordre des résultats : une page PR0 qui passe PR4 ferait un saut dans le classement par exemple. Or ce n'est pas le cas.
  10. On devrait encadrer ce paragraphe quelque part Il en découle, entre autres, que pour deux sites différents, même s'ils se situent dans une même thématique, la politique de référencement sera différente. De là, les recettes du type "les dix points-clés pour réussir votre référencement" n'ont pas plus de valeur que tous les digest du genre, comme "les dix points-clés pour rédiger un texte", "les dix points-clés pour être un manager efficace" ou "les dix points-clés pour faire un joli graphisme" : leur lecture et leur application (forcément maladroite si l'on a pas le background nécessaire) ne donne pas de résultat valable. Cela sera de plus en plus vrai, du fait de l'accroissement du nombre des acteurs en ligne, et donc de la concurrence.
  11. Pour la presse aussi, je crois, il y a des prestations à 5,5 % (si ça a pas changé depuis quelques années). Edit : oups, j'avais pas vu qu'Arlette en parlait déjà.
  12. Fallait bien que je vous chatouille un peu, sinon on tombait dans le consensus mou, rien de plus ennuyeux ! Sinon un truc sur lequel vous n'avez pas réagi, et qui est plus dans le sujet original de cette discussion : je crois donc que plus le temps passera, plus notre compréhension de l'algo des moteurs diminuera... parce qu'ils vont tout faire pour perdre les référenceurs. Etes-vous d'accord avec ça ? A vous lire
  13. "Artisanat" au sens où tu l'entends me va très bien, là nous sommes d'accord
  14. Tu as raison, mais pour la PAO, il y avait un avantage : derrière, c'était un métier qui avait 500 ans d'existence. Les réussites viennent des écoles en place qui ont intégré l'outil, ou bien des organismes qui ont assuré l'enseignement des bases de la maquette, de la typo, du graphisme, etc. Résultat : on a vu arriver des gamins sur le marché qui étaient étonnamment compétents et je sais pas si tu as remarqué, mais la qualité de l'image en général dans notre environnement (presse, pubs, affiches...) a considérablement progressé. Là, le contexte me paraît un peu différent, mais je suis quand même d'accord avec ta conclusion.
  15. Oulaaaaaaaah... vous vous la racontez pas un peu ? Qu'on puisse mettre plus ou moins de talent dans un référencement et qu'il y ait des référenceurs meilleurs que d'autres, j'en suis le premier convaincu, mais de là à parler d'art, faut pas pousser non plus . Si tu veux former un violoniste de concert, il te faut une quinzaine d'années à condition d'apprendre tout petit. Un peintre met cinq ans rien que pour maîtriser la chromie. Et bon, ya quand même un peu plus d'infos à digérer pour devenir archi (ou médecin, puisque tu fais le parallèle, Seb) que référenceur ! Enfin, un référencement réussi (une oeuvre d'art, donc ?) a-t-il déjà provoqué la moindre émotion auprès du public, comparable à celle que l'on éprouvé devant un film, à la lecture d'un roman ou devant une toile de maître ? Mais bref, c'est juste mon point de vue, chacun vit le référencement comme il aime
  16. Il y a des outils de communication gâchés en ligne et hors-ligne. Mais pour le hors-ligne, il y a quand même un recul qui fait qu'un responsable com un peu compétent sait ce qu'il peut attendre de tel ou tel outil : il n'assigne pas les mêmes objectifs à un mailing qu'à une campagne d'affichage ou aux relations presse par exemple. Ce n'est pas le cas pour Internet, qui n'est que très rarement réellement intégré à la politique de communication des boîtes et autour duquel circulent beaucoup de fantasmes. En conséquent, les pros du web reçoivent des cahiers des charges qui ne ressemblent à rien. S'ils ont choisi, pour des raisons de politique commerciale, de ne pas remettre systématiquement leur client en question, ça donne ce que tu dis. Après, je ne me fais pas trop de soucis non plus. Les recommandations pour qu'un site soit digeste pour les moteurs (et donc susceptible de réagir très positivement au travail de positionnement naturel ultérieur), ça tient sur une demi-page. Ce n'est pas très compliqué ; les sociétés qui jugent qu'elles auront besoin du trafic issu des moteurs s'y mettront vite, bien que je ne pense pas que ça se fera avant que le commerce en ligne prenne une part plus décisive du bizness global. L'autre question est : est-ce que ce sera nécessaire ? Imaginons que les entreprises, d'ici trois à cinq ans, s'aperçoivent que oui oui oui, Google est notre ami et peut nous envoyer des clients. La course au positionnement naturel, du fait du nombre accru d'acteurs, va se durcir. Une position en première page sur une requête valable sera de plus en plus difficile à obtenir : cela coûtera de plus en plus cher (je crois aussi que notre compréhension des algos des moteurs ira en diminuant), cela deviendra donc de plus en plus aléatoire et de moins en moins rentable. Deux conséquences : 1/ L'achat de publicité en ligne sera un poste de plus en plus stratégique. 2/ La priorité sur les sites sera donnée à l'ergonomie, à tout ce qui peut faciliter l'acte d'achat, au détriment s'il faut choisir de l'aspect "search engine friendly", comme on dit. L'internaute continuera-t-il à passer par un moteur de recherche pour trouver de l'information commerciale ? Là, j'avoue que je n'en sais rien du tout.
  17. Pour un client, c'est facile : il suffit de lui dire que c'est délirant de faire courir des risques à son site de base et, s'il insiste (le client est roi, ne l'oublions pas ), de lui bricoler un joli petit site "jetable" pas lié au principal et sur lequel vous pouvez forcer la dose. Comme c'est plus cher, vous y gagnez Pour votre annuaire, de toutes façons, il n'aurait pas été très sain de lancer un tel bizness en comptant sur une seule source de trafic, surtout sur une source aussi aléatoire : ça fait un moment que les algos bougent et que beaucoup de sites font du yoyo dans les résultats Je suis certain que vous avez de la ressource En tous cas bon succès pour votre projet
  18. En effet, ça semble la tendance actuelle, quoique je ne m'exprime pas en connaissance de cause vu que je n'utilise pas ces techniques. Point de vue pertinence des résultats, ça me fait drôle. Si les sites, qu'ils bidouillent ou non, ne montent pas avant un ou deux ans, ça veut dire que les résultats de Google reflètent le web d'il y a un an ou deux. Je ne crois pas que cette position soit tenable longtemps, mais je disais déjà ça l'an dernier et ça a plutôt empiré
  19. Bon, je vais essayer de piger ce que tu veux nous dire. En résumé, tu expliques que tu connais bien les techniques borderline, que tu les as utilisées avec bonheur sur certains projets mais que pour ce nouveau site, tu as voulu la jouer propre. Manque de pot, ça paye pas, ton site est très mal classé. C'est bien ça ? Vu d'ici, ça paraît logique : si les sites se positionnaient mieux en suivant les guidelines de Google qu'en les ignorant, ça se saurait et il n'y aurait aucun intérêt à cloaker, à satelliser, à spammer, etc. Personne ne le ferait puisque ça n'apporterait rien. Je crois tout de même qu'il est possible de positionner un site proprement, mais c'est très long. Je dirais un an et demi à deux ans de boulot non-stop sur des requêtes concurrentielles, en partant de zéro. Et encore, je sais pas quelle tête auront le algos à ce moment-là.
  20. Salut Nicolas Certes, mais si ça déplaît à Yahoo et Msn, c'est quand même nouveau ! Sur la suite tu as raison : une bonne politique peut être de gratter des visiteurs sans être en première page de Google sur des requêtes trop convoitées
  21. Salut Lololo Je sais pas si c'est possible pour ton projet, mais de mon côté, je ne démarre jamais avec un indépendant (ou une société) que je ne connais pas si je n'ai pas déjà fonctionné avec lui sur un travail de moindre envergure ou s'il ne m'a pas été chaudement recommandé par quelqu'un en qui j'ai confiance. Si tu peux et si c'est un gros truc, choisis-en un des deux mais prends-le sur un petir projet, une bricole, juste pour voir comment vous vous entendez, comment il bosse et comment il réagit devant les problèmes qui se présentent. Ainsi, tu vois rapidement si tu as envie de l'impliquer dans ton site essentiel ou si tu préfèrerais bosser avec quelqu'un d'autre. Bon courage et bon succès !
  22. Oki, là j'y suis Ces questions sont souvent abordées ici, voici un fil qui contient des réponses concrètes (mais il y en a d'autres) : http://www.webmaster-hub.com/index.php?showtopic=5551&hl=
  23. Salut J'ai pas trop compris la question : si tu prends les services d'une société de portage, tu ne vas encaisser que des salaires, c'est cette société qui va encaisser les commissions en question ? Ou quelque chose m'échappe (ce qui arrive souvent ) ?
  24. Ca dépend 1/ Si la marque est "notoire" (genre Microsoft ou Peugeot), non. 2/ Si la marque n'est pas notoire 2a/ Si elle recouvre la même activité que celle que tu comptes exercer sur le site, non. 2b/ Si elle recouvre une autre activité (par exemple, la marque Bloub est déposée pour fabriquer des vélos, je peux faire un site bloub.com pour vendre des bracelets-montre), oui. Ca c'est des principes. Après, il y a, bien entendu, un paquet de cas tordus ou à la limite. Il y a aussi des soucis de zones géographiques. Une question est : est-ce que ça crée une confusion aux yeux du public ? Un autre problème est que des jugements bizarres sont parfois rendus. Il y a eu des discussions similaires sur le Hub, tu dois pouvoir y piocher de l'info mais rien de remplacera les conseils d'un spécialiste.
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