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lafleur

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Tout ce qui a été posté par lafleur

  1. Encore une fois, une lecture littérale ne sert à rien. Bien sûr qu'un éditeur de site achète. Il achète peut acheter de l'hébergement, du logiciel, du trafic, du contenu... Et encore une fois, des activités artisanales, qui ne sont donc pas de l'achat/revente, vont bien dans les 80 000 . Après, toi aussi fais comme tu l'entends, mais quand tu auras un avis officiel qui t'expliquera que tu donnes trop d'argent à l'administration parce que tu t'es planté de statut, tu sauras aussi pourquoi.
  2. On recommence 1/ J'appelle e-commerçant ce que la loi appelle e-commerçant. 2/ Le fait d'être e-commerçant ne suffit pas, en effet, à passer dans les 80 000 . Exemple : la personne qui vend en ligne un logiciel qu'elle a créé va dans les 32 000 ; le critère pris en compte est l'aspect incorporel du logiciel. Pourquoi ? "Le critère discriminant est le stock", dit, en gros, Arlette, ce qui est très intéressant car effectivement, on n'a pas un "stock" de logiciels, on en vend autant qu'on veut (qu'on peut). C'est aussi intéressant car ça doit bien faire la différence entre les artisans qui vont dans les 80 000 et ceux qui n'y vont pas. D'où 3/ Un éditeur de sites web, dont le but est de vendre de l'espace pub, a-t-il un "stock" de marchandise ? Oui à mon avis. Ce n'est pas un bien qui puisse être considéré comme incorporel : quand un espace pub à un endroit est vendu, on ne peut pas le revendre à un autre annonceur. De même, les espaces pub à vendre sur un site, ce n'est pas quelque chose d'infini. Un éditeur a bel et bien un stock d'espaces publicitaires à vendre. Donc à mon avis, on est pile-poil dans la logique des 80 000 €. C'est d'ailleurs écrit texto sur le site http://www.planete-auto-entrepreneur.com/ (voir les liens plus haut) qui n'est pas officiel, mais dont l'éditeur est depuis pas mal de temps un spécialiste de l'entrepreneuriat individuel. Si, (avant bien sûr que l'administration ne publie une position claire sur la chose), quelqu'un me sort un argument massue m'expliquant en quoi des espaces pub sur un site ne peuvent être considérés comme du stock à gérer au mieux, je change d'avis. D'ici là, je persiste
  3. Ils peuvent certes acheter la marchandise, mais ils peuvent aussi la fabriquer. Or parmi ces fabricants, certains passent dans les 80 000 , d'autres non. Donc ce n'est pas aussi simple que ça si on considère qu'un éditeur "fabrique" son espace pub à partir de l'achat (ou la production) de contenu et de trafic. De là, balayer la définition du commerce électronique d'un simple "on n'en a rien à faire" me paraît tout à fait hasardeux. La loi définit qu'un éditeur de site est un e-commerçant, c'est un indice qui ne fait pas la différence à lui tout seul mais il n'est pas aisé d'expliquer qu'un e-commerçant... n'est pas un commerçant En fait, le débat a un peu avancé depuis ces considérations...
  4. Si on s'en tient à ça, la régie pub, qui vend exactement la même chose qu'un éditeur (voir mon exemple plus haut), ne vend rien non plus à emporter ou à consommer sur place. Pourtant l'auto-entrepreneur en régie publicitaire rentre évidemment dans les 80 000 . Une lecture littérale de ce document ne permet donc pas de trancher. La bonne approche doit ressembler comme deux gouttes d'eau aux exposés d'Arlette sur l'idée de stock. Et cette approche fait, à mon avis (mais pas au sien), pencher la balance du côté des 80 000 pour l'éditeur de site web qui a un "stock" de pubs à fourguer, tout comme une régie (voir exemple au-dessus). Et aussi : le discours alarmiste sur le thème "attention au redressement" est largement contrebalancé par l'idée de refiler aux administrations de l'argent auquel elles n'ont pas droit.
  5. Pfff, on dirait que c'est bien ces pages qui envoient ta home au fond du trou : />http://www.google.fr/search?hl=fr&safe=off&q=En+faisant+vos+achats+sur+La+Boutique+Gothique&meta=&aq=f&oq= C'est une de ces pages qui sort et non la home. Et après, Google explique qu'il gère parfaitement le duplicate content Tant que tu y es, tu peux essayer de blinder un poil tes url. Par exemple, -http://www.boutique-gothique.fr/?vive-les-pommes-frites-gothiques.php envoie aussi sur la home, ce qui te met à la merci d'un malveillant qui voudrait jouer à linker ces fausses pages et à te nuire
  6. Je répondais à Dadou. Ma réponse à ton post est encore un peu au-dessus, mais elle ne fait pas tellement avancer le schmilblick. Oui, nous en sommes réduits à faire des analogies et à interpréter. Ce n'est pas une situation confortable. Je crois qu'il y a des procédures bien précises à suivre auprès des administrations pour les obliger à prendre officiellement position avant un choix définitif (du genre courrier recommandé qui, s'il n'a pas de réponse après tant de temps, est considéré comme accepté) mais je n'en connais pas le détail.
  7. Contrairement à ce que tu affirmes, le fait de fabriquer des biens pour les vendre n'empêche aucunement de passer dans la catégorie des 80 000 . Lire : http://www.planete-auto-entrepreneur.com/autoentrepreneur/vos-activites-en-auto-entrepreneur.html "Les activités de fabrication de produits à partir de matières premières (farine, métaux, bois, céramique, etc.) destinées à la revente (boulangerie, fabrication de bijoux fantaisie, etc) appartiennent également à cette catégorie" (celle d'achats revente de marchandises). De plus sur le même site, sur http://www.planete-auto-entrepreneur.com/ressources/glossaire/62-a.html l'activité de vente de pub est clairement nommée comme appartenant à cette catégorie. Je sais que c'est pas un site officiel, mais tout de même. En fait, ça fait quatre ou cinq jours que cette question de la fabrication a été évacuée, comme ne proposant pas de solution définitive à notre problème. Nous en sommes au stock lui-même.
  8. Ce que je capte pas dans ton raisonnement est : Je trouve qu'au contraire j'ai la même chose que toi, à savoir 500 emplacements dispos ! Je peux en effet les fourguer à une autre régie, ou un annonceur en direct. Il ne me reste pas rien : il me reste ces emplacements, que je peux éventuellement brader. De ton côté, tu as exactement le même problème : Dadou t'ayant plantée, il te faut bien trouver un autre client pour tes 500 emplacements, ou une autre régie, et rien ne te dit que tu le vendras aussi cher qu'à Dadou... Tu peux aussi les brader, ou bien ils peuvent te rester sur les bras. Bref, pareil pour toi, sans client, ces espaces ne valent pas grand-chose ! Ca me paraît donc valable de se baser sur cette histoire de stock pour faire le distingo entre prestataire de service et commerçant. Ca colle avec l'idée qu'un gars qui vend un logiciel qu'il a codé, il passe en fait, lui, en prestation de service, car il n'a pas de stock. Mais c'est différent pour un emplacement pub. Si j'ai vendu 500 emplacements à Arlette, ces emplacements-là ne sont plus disponibles, je ne peux pas les revendre à quelqu'un d'autre. Si je veux en vendre d'autres je dois les fabriquer, dans ce cas je dois acheter un article à un pigiste (ou l'écrire moi-même, ça ne change rien) pour créer un espace supplémentaire. Je trouve quand même que la logique se rapproche plus du commerce que de la prestation de service... D'ailleurs pour finir d'embrouiller, le jour où Dadou te plante, je peux aussi te racheter, si tu es ok pour les vendre, les emplacement que tu m'as achetés pour y coller un autre client à moi. Là je deviens commerçant et youpi les 80 000 ? C'est intéressant :lol: A part ça, j'ai effectué quelques recherches en ligne, les réponses données par les administrations sont contradictoires. Vivement une position ferme, qu'on sache sur quel pied danser
  9. Oui mais j'insiste quand même. Prenons un exemple fictif Je décide de faire un site pour mettre de la pub dessus. J'achète un hébergement, de la bande passante et du baratin pour poser en ligne 1 000 pages éditoriales. J'achète aussi un peu de SEO histoire de choper un brin de trafic et je décide de réserver, sur chacune des pages, un pavé de 250 x 250 pixels à la publicité. Arlette ayant monté une régie publicitaire en auto-entrepreneur (80 000 ), je lui fais miroiter la bonne affaire et elle décide de réserver la moitié de l'espace pub. Normal, elle a un client en vue. Ca ne loupe pas, Dadou, qui croit tout ce que dit Arlette sans trop se poser de questions, lui prend les yeux fermés la totalité de l'espace qu'elle a réservé chez moi. Arlette fait au passage une jolie plus-value. Sur les 500 pages qui restent, je décide de poser des Adsense. Six mois plus tard, les performances ne sont pas au rendez-vous. Dadou se réveille enfin, s'aperçoit qu'il a acheté de l'espace pourri et stoppe le contrat. Arlette se retrouve avec 500 espaces de 250 x 250 pixels sur les bras. C'est d'ailleurs ce stock qui lui permet de se retrouver dans la catégorie des commerçants. Au même moment, Google sabre mon compte et je ne peux plus afficher d'Adsense. Je me retrouve, moi aussi, avec 500 encarts de 250 x 250 pixels à refourguer. Arlette, nous nous retrouvons alors tous les deux avec exactement la même "richesse" : nous avons chacun 500 encarts de 250 x 250 pixels, dans le même site, de disponibles. Pourquoi, dans ton cas, cela caractériserait un "stock" qui te permet de prétendre au statut de commerçant, et pas dans le mien ? Il s'agit exactement de la même chose, des mêmes espaces, même dimensions, même quantité, même site, etc. A te lire !
  10. Dadou, tout le monde sait qu'Arlette connaît la question. Pour autant, elle n'est ni infaillible ni omnisciente. De là, rien n'empêche, je crois, la contradiction ni le débat. Arlette je reprends ton exemple. Dans le premier cas, en fin d'opération, j'ai de l'espace pub, mettons sur le Hub, que je peux remettre en vente. Tu dis que c'est mon "stock", disons stock virtuel. Ok. Mais dans le second cas, j'ai aussi de l'espace pub, sur les pages de mon site (là où je posais les Adsense), que je peux mettre en vente, par exemple pour afficher une autre régie ou bien les annonces pour Dadou ! L'espace que j'ai consacré à Google ne peut-il être considéré comme, lui aussi, du capiral à faire fructifier ? L'ensemble de mon site n'est-il pas lui aussi vendable en cas de liquidation ? Si c'est ça, j'ai bien un stock, certes virtuel, qui correspond à l'ensemble de l'espace publicitaire que, sur mon site, je mets à disposition des annonceurs qui veulent bien l'acheter... correct ou pas ? Sur ta dernière remarque, ça voudrait dire qu'on n'a pas le même plafond selon qu'on affiche au CPM, au CPC ou au CPA. Ca devient compliqué. Pour dire les choses autrement : si tu dis qu'une activité sans stock ne peut pas aller dans les 80 000, il y a quand même des activités avec stock qui sont dans les 32 000. Donc même si j'arrive à dire que mon espace pub est du stock, ce n'est pas cela qui me fera forcément obtenir le gros plafond. Il y a donc d'autres critères, non ?
  11. Oui Dadou, c'est mieux de causer avec des arguments ! Si le stock est bien le critère qui fait passer d'un statut à l'autre, en effet ça se complique, d'autant que je lis ici : />http://www.planete-auto-entrepreneur.com/autoentrepreneur/vos-activites-en-auto-entrepreneur.html ... que la vente de bien incorporels envoie direct dans la catégorie à 32 000 Mon analogie avec le type qui achète du bois pour faire et vendre des tables (qui lui passe bien par la case 80 000) ne semble pas tellement tenir la route. Culturec, tu leur as bien précisé que tu ne faisais pas d'achat/revente de pub (activité de régie), mais que tu vendais de l'espace pub sur un site qui t'appartient ? Si oui, il doit y avoir autre chose. Si non, les objections d'Arlette sont à considérer de très près Edit : bon la source que je donne se contredit elle-même. Un coup elle dit que la fabrication de bijoux fantaisie va dans les 80 000, et en dessous, si on clique sur http://www.planete-auto-entrepreneur.com/images/stories/telechargements/Activites_Artisanales-1.pdf elle dit que les travaux de fabrication et d'artisanat d'art sont dans les 32 000. Je comprends rien, sauf que le stock n'a pas quand même pas l'air d'être le critère définitif
  12. Culturec, ben oui c'est logique, le fait de donner de l'information et de l'information commerciale (de la pub) sur ton site web fait de toi un, euh, commerçant électronique aux yeux de la loi. Dadou, la mauvaise foi ne pèse pas bien lourd aux yeux d'un inspecteur. La vente de sites internet est bien entendu une activité commerciale. La réalisation, en revanche, c'est de la presta pure et dure. Je suppose que c'est de ça dont tu voulais parler...
  13. La loi définit très clairement que la vente d'espace publicitaire, nommée de manière plus générale "fourniture de communications commerciales", fait partie du commerce électronique. "Le commerce électronique est l'activité économique par laquelle une personne propose ou assure à distance et par voie électronique la fourniture de biens ou de services. Entrent également dans le champ du commerce électronique les services tels que ceux consistant à fournir des informations en ligne, des communications commerciales et des outils de recherche, d'accès et de récupération de données, d'accès à un réseau de communication ou d'hébergement d'informations, y compris lorsqu'ils ne sont pas rémunérés par ceux qui les reçoivent. Une personne est regardée comme étant établie en France au sens du présent chapitre lorsqu'elle s'y est installée d'une manière stable et durable pour exercer effectivement son activité, quel que soit, s'agissant d'une personne morale, le lieu d'implantation de son siège social." />http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexteArticle.do;jsessionid=EB260F39A0809F3547317A507F06522D.tpdjo13v_3?idArticle=LEGIARTI000006421558&cidTexte=LEGITEXT000005789847&dateTexte=20091023 On voit bien que la vente de pub (pardon, la fourniture de communications commerciales) est dans le même sac que la fourniture de biens (et des services, d'ailleurs) par voie électronique. Fournir de l'information commerciale est donc bel et bien une activité commerçante. Yabon pour les 80 000 € à 12 % Edit : c'est aussi cohérent par le fait que les éditeurs de sites web, qui fournissent de l'information par voie électronique, rentrent dans le cadre du commerce électronique, même si cette info est fournie à titre gratuit.
  14. Nous sommes dans le cadre de l'auto-entrepreneur, pour lequel il n'y a que deux statuts possibles. Si je fabrique des trucs pour les vendre, en tant qu'auto-entrepreneur, je suis catalogué en prestation de service ???
  15. Pour être qualifié de commerçant dans ce cas, il n'est pas nécessaire d'acheter un produit tel quel pour le revendre. On peut aussi le fabriquer. Exemple : j'achète du bois, je fabrique des tables, je les revends dans mon magasin de tables, je ne suis pas prestataire de service mais commerçant. Dans ce cas, Culturec achète de l'hébergement web, de la bande passante, éventuellement du contenu, du développement ou autre, il fabrique de l'espace publicitaire, il le revend (à Google), il n'est pas prestataire de service mais commerçant. D'ailleurs Google n'achète pas une prestation de service (au temps passé par exemple), mais des clics. Donc la partie "vente d'espace pub" est bien une activité commerçante.
  16. A ta place, je n'attendrais pas et je m'occuperais de régler ce genre de problème : />http://fr.search.yahoo.com/search?ei=UTF-8&p=%22La+Boutique+Gothique+est+la+seule+boutique+gothique+%C3%A0+proposer+les+prix+les+plus+bas+du+net+%22&rd=r1&fr=yfp-t-703&dups=1 />http://www.google.fr/search?q=%22La+Boutique+Gothique+est+la+seule+boutique+gothique+%C3%A0+proposer+les+prix+les+plus+bas+du+net+%22&hl=fr&safe=off&filter=0
  17. Je suis parfaitement satisfait des services d'Hoyado : http://www.hoyado.com/ qui me monte notamment des campagnes très rentables sur de l'ultra-concurrentiel.
  18. Dudu, le problème est que Yahoo est tout à fait sensible au spam bourrin, et que donc pour y être au top tu fais une course à la quantité. Pratique que Google (90 % de PDM et non 80 %, contre 2,5 % à Yahoo) sanctionne facilement. Je donne donc le même conseil qu'Australien : oublier Yahoo pour se concentrer sur Google, car vouloir faire la grimpette sur Yahoo peut être nocif sur Google. Cela pour le françouze bien entendu, aux EU le problème est différent.
  19. En cas de souci, c'est le juge qui évalue cette originalité : http://www.culture.gouv.fr/culture/infos-pratiques/droits/ (pour la France, hein). Ce qui signifie bien que ce n'est pas systématique du tout.
  20. Euh non, le passage que tu cites signifie d'ailleurs le contraire. Dès que tu rédiges un texte avec tes mots, tu réalises juste une "oeuvre de l'esprit". Or celle-ci n'est pas forcément originale "Les oeuvres de lesprit ne peuvent bénéficier de la protection que si elles sont originales." Comment se définit l'originalité ? "Loriginalité sentend de la marque de la personnalité de lauteur." Il ne suffit pas de ne pas copier, il faut encore que la personnalité de l'auteur soit appréciable au travers du texte en question.
  21. Une présence dans les comparateurs de prix a des chances d'être valable si : - les produits qui tu y affiches sont... comparables, à savoir que d'autres marchands les proposent aussi ; - tu proposes les prix plancher du marché, avec une bonne qualité de service. De là, il te faut disposer d'une solution qui te permet de savoir quels produits sont rentables (combien te coûte une vente par ce biais) et lesquels il vaut mieux ne pas intégrer. Le calcul de rentabilité est tout à fait similaire à celui que tu utilises pour juger de la pertinence d'une campagne Adword. Mais au final tu n'es pas le choix, il te faut tester en grandeur nature pour savoir exactement ce qui, pour ta boutique, fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Passe aussi du temps sur ton système de tracking. En effet, dès que tu dispose de plusieurs sources de trafic, tu as toutes les chances de ne connaître que... la dernière. Exemple : un internaute trouve ton produit sur un comparateur, et retombre dessus dix minutes apèrs en passant par Adword. C'est un contact que tu vas probablement attribuer à Adword alors que... Enfin, dans leguide.com par exemple, les clients ont la possibilité de laisser des commentaires sur ta qualité de service. Il importe donc de s'y préparer.
  22. Et c'est surtout complètement inutile, d'autant plus que plein de cadors de la chose n'y croient pas un instant et atteignent, en voyant les choses autrement, des objectifs tout à fait balèzes.
  23. C'est quoi, la différence entre prouver et démontrer ? En fait c'est de la pure croyance, basée sur le fait que GG ne comprend rien aux pages qu'il indexe et qu'il n'a, pour classer deux pages ayant des contenus proches, que le recours de mesurer la satisfaction ds naunautes à la visite de l'une ou de l'autre. Ca a commencé par les BL (je trouve une page bien, je la linke, donc une page super est plus linkée qu'une page moyenne), ça continue logiquement par des outils plus fins et plus directs. Je trouve que ça expliquerait certaines jolies positions acquises par des sites alors que le travail de réf classique est minime. Ca pourrait aussi expliquer des bonds et des chutes dans les classements de certains sites suite à des campagnes Adword. Voilivoilà
  24. Plus le comportement des visiteurs sur ton site montre à GG que les visiteurs sont contents, plus il va avoir tendance à faire grimper tes pages. Merci d'avance de ne pas me demander de le prouver
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