Aller au contenu

lafleur

Membre+
  • Compteur de contenus

    885
  • Inscrit(e) le

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par lafleur

  1. A mon avis la campagne linking annuaires est déjà lancée : https://siteexplorer.search.yahoo.com/searc...mo=d&bwmf=u Sans creuser plus que ça, je préconiserais plutôt une petite opération de relations presse en ligne, qui permettrait, outre l'acroissement direct du trafic qualifié, de récupérer du lien depuis des sites un peu plus trustés que de l'annuaire Une campagne Adword bien trackée permettrait aussi de qualifier le comportement des utilisateurs sur le site, donc d'améliorer celui-ci en fonction et, indirectement, de grimper un brin dans les Serp.
  2. Ah j'oubliais, une manière un peu plus commerciale de régler ce problème : il s'agit d'appeler le client qui vient de passer commande, de lui expliquer que youpi tout va bien, mais que le produit qu'il vient de commander, là, bof bof bof, en revanche ça tombe bien tu peux lui faire la sûûûûper promo pour quasiment au même prix du produit concurrent que tout le monde s'arrache, vraiment veut-il passer à côté de cette bonne affaire ? Non bien sûr, je rectifie votre commande immédiatement ne me remerciez pas c'est tout naturel ! Si tu as de bons télévendeurs, ça doit marcher une fois sur deux.
  3. La loi te protège déjà si : 1/ le prix erroné est considéré comme "dérisoire" : http://www.leguide.com/lois/prix_errone.htm 2/ si le prix erroné est inférieur au prix d'achat (interdiction de vendre à perte). Dans ces deux cas, tu n'es pas tenu d'honorer la commande. De là déjà, le risque est juste de faire une vente qui ne rapporte pas grand-chose, mais pas de perdre beaucoup d'argent sur une commande que tu serais obligé d'honorer. Si vraiment tu ne veux pas honorer une commande qui te rapporte trop peu d'argent, il te faut ruser un peu, car la loi surprotège l'acheteur à distance. Tu peux mettre en avant une bonne raison de faire un refus de vente : http://www.conso.net/bases/5_vos_droits/1_...us_de_vente.pdf, à toi donc d'expliquer que tu viens de te faire dévaliser et que le produit n'est plus en stock. Certains se protègent dans leurs CGV en annulant automatiquement une commande non expédiée dans les 30 jours : http://www.google.fr/search?hl=fr&safe...rcher&meta= mais je ne sais pas ce que ça vaut légalement, il faudrait demander ça à un avocat spécialisé. En théorie, au bout des 30 jours, le consommateur est en droit de maintenir sa commande, voire d'exiger des dommages-intérêts s'il peut prouver un préjudice du fait de ce retard. A voir donc au pire, si les articles vendus rentrent dans ce cadre. Il est donc possible de jouer là-dessus pour faire lanterner un enquiquineur jusqu'à ce qu'il annule sa commande, ou que tu puisses, au bout d'un certain temps, justifier d'une fin de stock et donc d'une bonne raison de le rembourser. A voir selon les situations exactes. De manière générale, il convient de proposer une qualité de service réellement pourrie aux clients que, pour une raison ou pour une autre, on ne veut pas servir, jusqu'à ce qu'ils aillent faire perdre son temps à la concurrence
  4. Zapman a l'air de dire que les sites en question sont sortis au bout de tant de temps, c'est donc que leur plombage ne venait pas du duplicate, sans quoi ils ne seraient pas sortis du tout ?
  5. Si ça venait de là, les sites ne sortiraient jamais et seraient perpétuellement pénalisés, non ? Je ne vois pas bien comment des pages considérées comme non originales pourraient grimper de manière durable sur quelque requête que ce soit. Intéressant le constat sur le nombre de pages, merci !
  6. En tant que webdesigner, tu es peut-être éligible pour adhérer à la Maison des Artistes : http://www.secuartsgraphiquesetplastiques.org/ Là ça vaudrait vraiment le coup
  7. Nous avons donc un projet qui démarre avec un prestataire qui n'y connaît rien et un client qui n'y connaît rien non plus. Il est certain que le projet va au plantage. Déjà que même quand tout le monde y connaît c'est pas facile... Avant donc de se lancer dans une presta boutique/nom de domaine, je conseillerais plutôt l'ouverture d'un simple boutique E-bay. Ca ne coûte pas cher et ça permet de savoir si les produits sont vendables en ligne. L'objectif est de savoir s'il y a une demande pour les produits, de qualifier cette éventuelle demande et de savoir si le commerçant est apte à y répondre d'une manière satisfaisante pour l'internaute et rentable pour lui. Si le test est positif, il est alors envisageable de se lancer dans une boutique virtuelle bien à soi. Avec cette fois un background permettant de faire les bons choix et de se poser les questions qui semblent encore dans l'ombre, notamment celles qui ont trait au coût d'acquisition du trafic, à la transformation, etc.
  8. Oui, l'histoire a fait le tour du landerneau à l'époque, c'est toi qui en hérite Régis ? Bon courage Pour ton interrogation, il n'y a pas besoin de chercher bien loin, surtout que vous n'êtes pas cinquante à vous bagarrer sur les requêtes que tu convoites : Voilà ce qui a fait la différence. Il est probable que tu parviennes à repasser devant ton concurrent si tu obtiens un meilleur linking, mais aussi si tu as la possibilité de jouer sur d'autres paramètres du ranking. Bon courage à toi
  9. Bien au contraire, le marketing s'apprend, il y a même un max d'écoles pour cela. Avant d'aller chercher la différenciation et l'originalité, il est bien plus profitable à un petit e-commerce d'en comprendre les fondamentaux et de les appliquer, afin de créer une activité rentable, avant de prendre le risque de déplaire au client potentiel en lui mettant sous le nez une offre qu'il n'a jamais vu ailleurs. Regarde du côté de l'électroménager, de l'automobile (surtout les p'tites voitures) ou de la micro-informatique par exemple
  10. On peut aussi évoquer le droit de réponse, peut-être que les éditeurs des sites critiqués voudront en bénéficier. Attention aussi à la position de celui qui critique publiquement. Si c'est plus ou moins un concurrent, c'est du dénigrement et de la concurrence déloyale, c'est mal barré
  11. Rien ne t'oblige à mettre tout de suite un système de paiment en ligne. Une prise de commande avec expédition d'un chèque est encore plus rapide à mettre en place (ça ne dépend que de toi) et te permet de mener à bien ta mission. Pour le reste, genre "concocter un site vite fait pour la vente d'un de ses produit", ce n'est pas une démarche très sérieuse. Tu peux donc t'attendre à ne rien vendre du tout sur Internet et à ce que ton patron conclue "finalement Internet, c'est nul"
  12. On va pas prendre les Googlers pour des andouilles non plus
  13. Des "pénalisations" de ce type que j'ai vues, aucune n'a eu le moindre impact sur les positions dans les pages de résultats. Au point que je me demande si c'est réellement une pénalité, ou simplement un nouveau mode de calcul du PR affiché, qui serait complètement déconnecté du PR réel, genre sur un échantillon de liens sélectionnés selon quelques critères bien précis ?
  14. En effet ça copie sec : http://www.google.fr/search?q=%22Toute+off...=N&filter=0 Enfin comme tu as la facture de l'avocat qui a rédigé ce texte pour toi, tu vas facilement pouvoir faire valoir tes droits
  15. Les contraintes graphiques papier et écran sont en effet assez éloignées, et on ne peut pas plaquer un savoir-faire de l'un vers l'autre sans une assez longue adaptation. En ce qui concerne le respect des couleurs, je comprends bien les frustrations. Je crois qu'il faut jouer sur l'harmonie de l'ensemble, qui ne tombe pas complètement en cas de variation de teinte d'un écran. Il vaut mieux considérer une page dans sa globalité que d'essayer d'anticiper sur le rendu couleur par couleur de son projet. Tant qu'à prendre un exemple, autant choisir un maître : La Joconde nous a paru merveilleuse, bien que les couleurs du tableau aient été complètement dégradées par le temps et les variations des vernis ! Alors que, quel écart par rapport à l'original ! http://www.lumiere-technology.com/Pages/News/news.htm
  16. Bonjour, Qui a défini cet objectif ? La rédaction de La Dépêche ou toi ? Je demande ça parce que je ne vois pas trop sur quoi il repose. L'important est de satisfaire l'internaute, afin qu'il revienne voire conseille le site en question à ses relations, et je ne suis pas persuadé que cette satisfaction se mesure en nombre de pages vues dans votre cas. Comme tu le dis, il est probable que les visiteurs venant des moteurs n'aient pas les mêmes attentes que ceux qui viennent du papier. Mais encore une fois, je trouve l'histoire de la longueur des articles un peu simpliste. Par exemple, je ne crois pas que ceux qui viennent des moteurs représentent une cible homogène, pas plus que ceux qui viennent de l'édition papier. Tout ça pour te dire que sans une vraie étude de marché, qui va au delà de l'étude des stats de visite du site, il va vous être difficile de prendre des décisions pertinentes basées sur autre chose que des suppositions.
  17. Salut Adword est efficace, comme tout support publicitaire, quand on sait en tirer parti. Le budget dépend de ton site, de tes objectifs et de la rentabilité que tu peux atteindre. Si tu débutes en la matière, le recours à un conseil spécialisé t'évitera de perdre beaucoup d'argent. Privilégie un prestataire qui fait hebdomadairement un calcul précis du ROI des campagnes et est transparent sur les méthodes qu'il met en oeuvre pour améliorer celui-ci. Une lecture qui donne une bonne idée de la question : http://www.webmaster-hub.com/publication/R...mment-bien.html Voilivoilà
  18. Quel exemple ? Il y avait le type de Note2be hier chez Ruquier, il avait l'air en pleine forme (et son site aussi) !
  19. Continuons donc d'enf... pardon, d'aimer les mouches. Sur ce coup, ça ressemble à l'inverse. Une proposition du type "les sitelinks sont liés au trustrank" pourrait être formulée de manière tout à fait scientifique. Il suffirait de dire par exemple : "ma jolie théorie à moi, que je vous ai pondue suite à un max d'observations et d'expériences et parce que je suis un boss, est que les sitelinks caractérisent un site trusty, et que si tu me trouves, du fond de ta cave moisie, un site pas trusty qui a des sitelinks, alors ma théorie est fausse". Ca, ça serait une démarche tout à fait scientifique. Encore une fois, "scientifique" ne veut pas dire "prouvé" ni "vérifié". Ca veut juste dire "réfutable". Une théorie scientifique est faite pour être transformée, améliorée, remplacée par une meilleure théorie, et envoyée dans la poubelle des théories foireuses une fois dûment massacrée (à noter que nombre de théories caduques servent très bien pour la vie de tous les jours) On peut ainsi dire les pires âneries de manière tout à fait scientifique, qui passent alors pour Vérité Absolue aux yeux du profane jusqu'à ce que l'erreur soit prouvée, ce qui est très ennuyeux à faire et en plus, on n'en tire aucune gloire (on frime plus à l'apéro avec une théorie à la noix de son cru qu'avec un raisonnement rigoureux qui flingue une théorie à la mode). Mais voilà, toujours sur l'exemple sitelink, comment prouver qu'en fait, un site n'est pas trusty ? Seul Google a cette info de manière certaine ! la proposition sitelink/trustrank n'est pas flingable, puisqu'on ne peut pas prouver qu'un site n'est pas trusty. Donc si on creuse un peu, on se rend compte que cette théorie n'est en fait pas scientifique du tout (et bien joué Zantar ). J'aimerais bien qu'on m'énonce une théorie ou deux sur Google et qu'on me montre en quoi la théorie en question est scientifique, c'est à dire qu'on m'énonce le ou les cas qui feraient que la théorie serait fausse. Je parle bien d'une théorie, hein, pas d'un constat genre "la pluie mouille". Ou au moins qu'on voie quelle forme cette théorie pourrait prendre. Merci d'avance Ah moi pour ça je me relis pas, surtout ici que la modération s'en occupe très bien pour toi et efface elle-même ce qui n'a pas lieu d'être Edit ortho.
  20. Ben non. Le problème est que d'honorables professeurs vont se faire traîner publiquement dans le caca par un tas de petits morveux qui ne connaissent rien aux subtiles arcanes de l'enseignement. Maintenant, si le fait de faire censurer les sites hébergés sur le territoire national suffit aux profs, au risque de voir resurgir la même chose en pire ailleurs, et que ça leur donne le sentiment d'avoir réglé la question, tout baigne
  21. 1/ De ce que j'ai vu, les deux sites en question sont édités par des Français habitant en France et trouvables au pire en trois clics. Donc susceptibles de se manger les procès qui vont bien. Ce qui ne sera pas toujours le cas. 2/ Pas de gains d'argent ? Et la pub, c'est là pour faire joli ? Il y a beaucoup de façons de monétiser de l'audience. Maintenant, si tu ne veux pas répondre à la question, hein, elle reste en suspend
  22. La question que je pose est : vaut-il mieux que ce genre de site soit toléré, édité en France par un professionnel et soumis aux lois françaises sur la diffamation ou bien mis en ligne très loin d'ici par un anonyme qui en tirera d'autant plus de bénéfices que les appréciations seront scandaleuses ? Le côté mondial d'Internet fait que la loi française ne peut pas être respectée pour ce genre de cas. Dans ce genre de cas, il me paraît bien plus valable d'encadrer le truc, voire le maîtriser (si l'Education nationale avait deux sous de jugeotte, elle sortirait elle-même un site de ce type) au lieu d'essayer bêtement de faire censurer. Enfin vous verrez bien quand le projet ressortira autrement et que vous n'aurez aucun moyen d'action dessus
  23. Bah c'est bien d'avoir braillé à l'interdiction du machin, comme ça la prochain projet du genre sera hébergé très loin de France et l'éditeur, anonyme, sera parfaitement inattaquable et intouchable, et là bonjour les excès en tous genres, les vengeances et tout le tralala ! Tandis que tant que le projet de ce type est (était ?) en France, l'éditeur est (était ?) soumis aux lois françaises, notamment sur la diffamation. Bien joué les profs !
×
×
  • Créer...