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lafleur

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Tout ce qui a été posté par lafleur

  1. Jean-Luc, si tu veux, c'est une question d'approche du système. Quand tu affiches de l'Adsense de manière pro, tu crées des pages bien documentées qui répondent à des requêtes d'internautes ciblés, le programme se chargeant de les aiguiller vers les annonceurs ad hoc. Autrement dit, tu crées vers ta page un trafic qualifié que tu essaies ensuite de rediriger vers les sites marchands sélectionnés par le programme Adsense. Dans une telle logique, le but d'un Adsenseur est de faciliter le passage de son site vers le site marchand. Et là, ça se joue sur de multiples détails. Parmi ces détails, si on commence à dire que le clic, parce qu'il a lieu un millimètre à côté du lien souligné, doit être recommencé par l'internaute, ça ne va pas dans le sens de ton métier. Le problème est que beaucoup d'Adsenseurs ne bossent pas comme ça et sont plus dans un objectif final de génération de clics que dans une optique de création de bon trafic vers les sites marchands. Ce qui est un moyen devient un fin, on se refile des tuyaux du genre "il faut dissimuler les Adsense" ou "il faut les fondre dans le contenu" ou "il faut les confondre avec un menu", qui sont la garantie que là, les clics ont lieu par erreur, l'internaute croyant rester sur le même site. Les sites travaillant selon la deuxième approche sont une immense majorité. Du coup, Google adapte son fonctionnement à cet ensemble-là, ce qui fait un peu râler quand ça se traduit par une non-facilitation du clic, alors que tu te bagarres toute la journée pour l'inverse. Enfin, l'argument "redonner la confiance aux annonceurs" ne paraît pas adapté car les annonceurs ne regardent pas que leur tableau de bord. Ils aiment bien aussi savoir, ce qui est normal, où et à côté de quoi sont affichées leurs annonces. Quand ils tombent sur certaines pages, ils fuient et ils ont bien raison Là se situe, à mon avis, la vraie réponse à la satisfaction des annonceurs au sujet du réseau de contenu. Après il faut relativiser : la nouvelle zone cliquable a l'air d'être en place chez moi et je ne constate pas de baisse du taux de clics. Peut-être cette mesure a-t-elle un impact sur des ensembles de pages dont je ne connais pas le fonctionnement ni les résultats ?
  2. Il me paraît impossible de vivre d'une activité un peu concurrencée dans laquelle on est débutant. Ca serait plus raisonnable de bosser pour un patron pendant quelques années (durant lesquelles c'est lui qui paye tes erreurs) avant de chercher à te lancer
  3. Hélas oui, et tu auras remarqué que je me suis délicatement retenu Blague à part, zéro changement en matière de performance chez moi mais je crois que mes annonces ne sont pas encore passées au nouveau format. Je ferai un retour ici si je constate une évolution
  4. Il faudrait surtout sortir de l'opposition honnête/malhonnête, dont l'appréciation est du strict ressort de Google et/ou de la justice, pour entrer dans un vrai discours métier.
  5. Je n'y crois pas tellement : le manque de confiance des annonceurs au sujet du réseau de contenu n'est pas une question de clics accidentels. Le problème est plus profond que ça et aucune solution purement technique n'y changera rien
  6. Pour frôler le troll : ne trouvez-vous pas que ces systèmes sont, en fait, plus des systèmes d'édition que des systèmes de réelle gestion du contenu ?
  7. Pour ma part, je trouve l'intervention de Dan assez injustifiée. De mon côté, je viens à l'instant de découvrir un excellent site qui parle de piscine et je suis très heureux d'en faire profiter les Hubiens qui ne le connaissent pas. Il est ici : http://piscine.repertoire-web.com/ et le type qui le tient, c'est un heureux hasard, habite dans la même maison que moi ! Je trouve ce site bien mieux que celui des concurrents, surtout au niveau de la couleur bleue. Et vous qu'en pensez-vous ?
  8. Le succès de la campagne dépend moins de la régie que des sites qui affichent les bannières, ainsi que de la performance des bannières elles-mêmes. Il est donc difficile de "tester" avec un petit budget, car il te faudrait comparer plusieurs sites et plusieurs bannières pour savoir ce qui marche. Je te conseillerais plutôt de voir ça en direct avec les éditeurs de sites qui peuvent t'intéresser. Sachant qu'en matière de publicité, le ticket d'entrée pour avoir un retour significatif est assez élevé (surtout si tu t'orientes vers une solution "bannière"), tu n'auras grand-chose de probant avec 100 €.
  9. Surtout qu'il est évident que c'est un coup du Hamas qui s'est fait passer pour la CIA en train de mettre ça sur le dos du gouvernement chinois. (pas taper, je suis déjà parti )
  10. En effet pas mal de sites fonctionnent comme ça, mais le plus sage serait d'en avertir directement Google
  11. Karnabal, tu as mille fois raison ! Le problème, c'est que si tu dois te lancer dans la pédagogie, tu perds tellement de temps que tu n'es plus rentable. D'autre part le client te soupçonnera toujours de prêcher pour ta paroisse et de lui faire de l'esbrouffe pour lui fourguer une camelote qui ne lui convient pas. Comme on ne peut pas bosser dix ans sur du "j'aime, j'aime pas", que même si le client arrive à être content, ça a toutes les chances d'aboutir sur un tas de boue (vous avez jamais présenté 3 projets, deux au top et un repoussoir pour les mettre en valeur, et vus le client opter pour le repoussoir ? ) car ce qu'aime le client ne sera pas forcément ce qu'il lui faut, et si le budget n'est pas capital pour la survie de l'activité, j'aurais tendance à dire qu'il faut sortir la grande classe, rembourser l'avance que le client a consentie et laisser tomber.
  12. C'est une fois que j'ai eu compris les conseils de Thick sur l'architecture d'un site et ceux de Turulillo pour le linking que j'ai pu construire des projets propres au décollage dans les moteurs. Mais hélas, ça ne marche pas à tous les coups !
  13. Probablement parce que le but de Google n'est pas de récompenser les gentils webmasters et de déclasser les méchants, mais de proposer aux internautes les résultats les plus pertinents. Je ne crois pas que la tolérance s'appliquera aux pages vides de contenu. Or une page excellente, informative et tout peut être boostée de manière déconseillée par les guidelines du robot. Il n'en reste pas moins que c'est une page intéressante pour les internautes. Google a donc tout intérêt à la maintenir dans son index et à la classer à sa juste place, plutôt que de juger les intentions du webmaster et de la plomber. Merci pour ta traduction et ton résumé de l'article en tous cas
  14. A noter que la farmlink historique pour la francophonie est toujours bien en place : http://www.google.fr/search?sourceid=navcl...populiens%2ecom
  15. Le plaisir naît de la diversité Si ce n'est que pour quelques échanges, le conseil de Cariboo est le meilleur. Si tu te lances dans un maillage d'envergure, un panachage t'amènera d'excellents résultats.
  16. Là tu n'achètes pas un produit, mais un service. Donc soit tu as confiance dans le prestataire, soit non. Si tu n'as pas confiance, il vaut mieux que tu en choisisses un autre. Si la boîte de réf est prêt de chez toi, le mieux est que tu ailles y faire un tour, histoire de sentir l'ambiance. C'est meilleur que de la paperasse pour se faire une idée des personnes avec lesquelles tu comptes bosser. Si elle est loin de chez toi, oublie-là et trouves-en une où tu puisses aller.
  17. Si tu optes le portage salarial, attention à ce que l'activité ne soit pas concurrente de celle de la boîte qui t'embauche. Le plus sain est de demander une autorisation à celle-ci, même si tu n'as pas de clause de non-concurrence écrite.
  18. 100 % pareil que Magic Si le référenceur a son mot à dire sur la structure du site, comme apparemment c'est le cas, pourquoi coller des rustines après coup ?
  19. Je confesse que je ne comprends pas grand-chose au domaining ni à ton raisonnement. Tu me parles d'image de marque, donc de marque. Avant d'avoir une bonne image, une bonne marque doit avoir certains atouts. Elle doit être mémorable, certes, mais elle doit posséder d'autres qualités. Parmi celles-ci, elle doit aider à se différencier de la concurrence. Si j'osais, je dirais qu'une marque doit permettre de se démarquer Un nom générique, c'est l'inverse, par définition. Ca n'a rien de différenciateur. Si une société communique dessus, elle fait de la pub pour toute la profession. La valeur intrinsèque d'un NDD générique doit donc se situer ailleurs. Mais où ???
  20. Euh... se démarquer, c'est se différencier. Je ne vois pas en quoi s'appeler "voyage.com" quand on bosse dans le voyage est différenciateur de tous les autres acteurs du voyage. N'importe qui peut s'appeler "voyage.com", ça ne suggère aucune spécifité, ça n'évoque rien de différenciateur. Comment peut-on espérer se démarquer en étant générique ? Imagine un producteur de Bordeaux qui suit cette logique et appelle son pinard "Vin". Il fait sa pub comment, le gars ? Il écrit "Achetez du vin" ? En termes d'image de marque, c'est zéro : une marque, justement, c'est opposable à la concurrence, c'est fait pour avoir un territoire de marque. Là, voyage.com pour le voyage, ça ne sert à rien du tout. Le proprio de voyage.com ne doit pas pouvoir m'empêcher d'acheter voyagecom.com par exemple. Ou approchant. Tu parles d'un avantage sur la concurrence. Quel avantage, concrètement, mis à part le type-in ? Sur l'exemple précis, aucun voyagiste ne semble avoir saisi l'intérêt d'acheter voyage.com dans l'optique que tu décris.
  21. Merci Arlette, heureusement que tu es là, j'aurais pu gaffer
  22. Domainpredator et Centreurope, vous avez tous les deux acheté epilateur.com, vous êtes le même ? En tous cas merci pour la réponse argumentée et chiffrée Pour les quelques questions qui s'y promènent : "Au contraire, la rentabilité des projets web est en baisse, du moins dans les pays francophones. Pour les sites web classiques, la rentabilité dont tu parles est celle d'aujourd'hui. Est-ce ce sera possible dans un an ? La taille du gateau (ressources publicitaires) augmente vite, mais moins que celle du nombre de parts à couper (à causes des nouveaux blogs, pages perso, nouveaux sites, etc.)." En effet. Mais un contenu est réutilisable, recyclable et rediffusable dans les modes de communication qui auront la cote dans les années à venir. Quand tu as le contenu, tu peux toujours l'adapter au canal. C'est en cela que le contenu est une richesse. Surtout s'il est payé en quelques mois, tout ce qui vient derrière est aussi de l'ordre de la rente, quoiqu'il faille tout de même continuer à bosser, un peu comme il faut aussi payer chaque année la location d'un NDD. En ce qui concerne les NDD, un investissement à plusieurs années me paraît hasardeux. Internet est encore en friche et on n'est pas à l'abri d'une loi dépossédant ou lésant les locataires de nombreux NDD, ou bien d'une forte hausse des prix de renouvellement, ou d'une avancée technologique rendant la notion de "site Internet" un peu caduque. Enfin c'est un pari sur l'avenir, on en est tous là "Je viens des sites internet et je vois que c'est de plus en plus difficile de se positionner sur les meilleures requêtes et d'une manière générale de générer du trafic bon marché." Oui, mais il y a encore de très belles choses à faire. De plus, un contenu marchand (un catalogue de produits) permet de dégager une bonne rentabilité même si le trafic n'est pas donné. "Je ne vois pas en quoi communiquer sur epilateur.com va tant que ça servir les concurrents." Si tu communiques sur une marque qui t'appartient, tu travailles pour toi. Si tu communiques sur du générique, tu fais de la publicité pour le générique. Si tu dis "tapez epilateur.com" à la télé, tu vas avoir tous ceux qui tapent "épilateur" tout court et qui vont chez tes concurrents, car tu ne seras pas forcément classé sur "épilateur". De plus, tu ne peux empêcher personne d'utiliser le mot sur lequel tu fais ton effort publicitaire.
  23. Forcément, j'essaie d'abuser de la gentillesse de mes interlocuteurs dès qu'il semblent manifester la moindre velléité de faire connaître leur activité, mais je ne risque pas de me lancer là-dedans ! J'essaie juste de capter la logique d'un biz qui forcément, à un moment ou à un autre, rencontre le mien. Mieux je pigerai, mieux je saurai tirer parti des compétences d'un domaineur pour mes projets Là avec un peu de bol, on va avoir de vrais chiffres. Ca vaut le coup non ?
  24. Non non, tu n'as pas de risque de te faire injurier ici, ce forum rassemble des intervenants assez sérieux et bénéficie d'une vraie modération, parfois un peu sèche à mon goût, mais qui au final permet des débats qui s'enlisent ailleurs dans le troll crétin. Sur tes propos. Je ne risque pas d'aller sur les places de marché amerlocks vu que je ne parle pas leur baragouin. Je prends donc les chiffres que tu me donnes pour argent comptant. "Pour les mots génériques normaux, rencontres.com, musique.com, jeuvideo.com, voyage.com, etc. sont tous au-delà de 100 type-in par jour et probablement au-delà de 1000 pour les meilleurs. Pour un mot de 7 ou 8 caractères en .com, avec 1000 résultat ovt/mois, on sera plutôt à 1 ou 2 visiteurs par jour en type-in." Trois remarques : 1/ Ca ne me dit pas combien, sur deux ans ou trois ans, coûte le visiteur acquis de cette manière : combien faut-il lâcher pour obtenir de tels noms de domaines ? et 2/ Sur un projet un peu conséquent de rencontres ou de voyage, c'est pas 100 visites/jour en plus ou en moins qui vont faire le succès de la chose et enfin 3/ Comment expliquer qu'un NDD générique de huit lettres est "le plus important" dans un projet si ce choix ne génère que 2 visites/jour supplémentaires ??? Pour te donner un ordre de comparaison, sur un petit projet éditorial de nouveau site, un investissement de 1500 (contenu + NDD de troisième choix + petit réf de départ + temps passé) peut se rentabiliser entre 3 et 6 mois grâce à la publicité présente sur le site. Si j'achète aujourd'hui voyage.com, en combien de temps le type-in me rembourse-t-il de mon acquisition ? Même question pour "epilateur" : à combien te revient le visiteur et combien de visiteurs quotidiens en type-in cela génère-t-il ? En combien te temps tes 250 te seront-ils remboursés grâce au type-in (si tu ne vends pas avant, bien entendu) ? Sur le hors-ligne. Tu dis que c'est moins rentable, mais je n'en suis pas convaincu (non non, on n'est pas d'accord ). Les relations presse et le sponsoring donnent une visibilité vraiment pas chère. Mais bref. Comment communiquer, pour celui qui achète epilateur.com, dans les médias traditionnels (parce qu'à un moment, sur un projet avec une certaine envergure, il faut bien en passer par là)... sans faire de la pub pour l'ensemble de la profession ? Par exemple, tu payes pour voir "epilateur.com" à la téloche, comment évites-tu qu'un max de gens tapent "épilateur" dans Google et partent direct chez tes concurrents si tu n'es pas au top de la requête ? Et donc quel est l'intérêt d'un NDD sur lequel on ne peut pas capitaliser ainsi ? Un générique en .com, certes c'est la frime, mais si communiquer dessus fait de la pub pour les concurrents, quel intérêt ? Donc en résumé, trois questions : 1/ Combien coûte réellement, en moyenne, un visiteur venu par le type-in, en prenant en compte le prix réel d'un ndd générique à l'heure actuelle ? 2/ Combien de temps en moyenne pour que l'achat d'un NDD générique soit rentabilisé par le type-in ? 3/ Comment fait-on pour capitaliser, en termes de communication, sur un NDD générique, sans faire de la pub pour les copains ? Voilivoilà, à te lire
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