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lafleur

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Tout ce qui a été posté par lafleur

  1. Pour ma part, je trouve parfaitement déplacé, dans ce genre de débat, d'accuser quelqu'un de mauvaise foi (ne parlons pas de l'expression de tes dérangements gastriques, Denis, perso, je vois vraiment pas ce que ça vient faire ici). Je pense que les personnes dont les idées sont à l'opposé des miennes ont d'excellentes raisons de penser ce qu'elles pensent et que nous pourrions être capables de contredire nos propos sans nous en prendre aux individus. Donc tant qu'il y aura des interventions, je continue. Jpv Tu parles de l'ambition du W3C. Pardon, mais il y a de nombreuses raisons de ne pas adhérer à cette ambition-là. Par exemple accéder à de l'information, comme ça, plouf, ça ne sert pas à grand chose. Une information est différente selon de qui la reçoit. Par exemple, je peux accéder à une information sur le cours de la Bourse, ça ne me dira rien du tout, tandis que ça sera utile à celui dont c'est le métier. Je peux aussi accéder à des informations médicales, ça risque carrément de m'inciter à faire n'importe quoi car je ne saurai pas replacer cette information dans son contexte. Quelles que soient les prouesses techniques, donc, l'information reste en fait accessible à celui qui la comprend, celui qui a un background suffisant pour l'apprécier et en faire quelque chose. Une autre idée, je sais pas si elle rentre dans le cadre de ce débat ou pas. Tu te désoles du fait qu'on exploites les failles du système. Je pense de mon côté, qu'un système sans faille est un système d'exclusion, car ceux qui ne se reconnaissent pas en lui n'y trouvent aucune place. A mon idée, il est tout à fait sain que des failles subsistent et que des personnes sachant les exploiter. Les moteurs de recherche en effet, quoiqu'ils affichent et quels que soient les excellents services qu'ils rendent, ne sont pas des organismes philantropiques travaillant dans le cadre d'une mission d'intérêt public. Ce sont des sociétés privées ayant pour mission de faire des bénéfices à hauteur de ce qu'en exigent les actionnaires. Ils ne sont que trois ou quatre à être capables d'aller chercher une info qui m'intéresse : c'est très peu et dans les faits, ils ont le pouvoir de m'orienter vers telle ou telle information le jour où ils décideront que c'est à cette information-là que je dois avoir accès par leur intermédiaire, parce qu'ils y ont un intérêt. J'adhèrerais donc à ton discours si les gros moteurs de recherche actuels étaient des services publics. Dans ce cas ils m'appartiendraient, ils t'appartiendraient, je trouverais normal que tout le monde fasse un effort. Là, ce n'est pas le cas. Voici donc ma position : je ne profite pas des failles du moteur parce que mes inhibitions m'en empêchent, mais je serai inquiet le jour où les failles seront devenues inexploitables par les malins, jour donc où les moteur seront à même d'aiguiller qui ils veulent vers l'information que eux (les moteurs), jugent pertinente, et seulement celle-là : comment aurons-nous accès à l'information que les moteurs décident de juger comme non-pertinente ? Qu'en penses-tu ?
  2. En termes tout aussi clairs, tu traites publiquement d'escrocs des gens qui n'ont pas été condamnés pour escroquerie par la Justice. Je reste sur ma position, Jpv : je trouve ça complètement disproportionné.
  3. Relis le paragraphe duquel tu sors cette phrase. Je ne parle pas de "contenu", je parle de pensées ou d'idées qui peuvent ne pas être sémantiques, logiques ou fonctionnelles. Emettre un avis n'est pas la même chose que juger. Mais bref, j'avais déjà répondu à ça : je m'octroie la même liberté que toi, j'en profite in petto et je trouve que se croire autorisé à porter un jugement sur tout sous prétexte qu'il ne faut pas avoir à se cacher est nul. A toi, maintenant, de porter un jugement sur ce jugement si tu le souhaites, c'est finalement assez flatteur pour l'ego, comme mode de communication, mais ça ne favorise guère la poursuite du dialogue, en général . Oui ? au nom de quoi n'aurais-je pas le droit d'avoir un avis la dessus ? au nom de quoi n'aurais-je pas le droit de l'exprimer ? Etant intéressé et concerné par la question, ayant l'impression d'avoir une vue bien éclairée sur le sujet, il me semble que oui, je peux me permettre de porter un jugement. Le tout c'est de ne pas oublier que ce n'est que "mon" jugement et pas "LE" jugement. Là, pas d'ac. Il est donc question de juger les buts poursuivis par un internaute. Je te signale que non, à moins de connaître intimement la personne, tu n'as pas une vue éclairée sur le sujet. Je ne vois pas non plus en quoi tu es concerné. Tu ne peux connaître les motivations qui poussent une personne vers tel ou tel objectif à travers son site Internet, ni les enjeux, pour la personne, du site en question. Ton jugement est faussé par avance, il est à mon avis moins un jugement qu'une simple expression de tes a priori. Sur ce point hélas, je crains que nous ne touchions à des convictions, chez toi comme chez moi, assez profondes et sur lesquelles un échange n'est pas tellement possible. Merci tout de même de t'être expliqué là-dessus, cela me permet de mieux appréhender cette façon de voir les choses.
  4. Au cas où des passages de ma pomme te plaisent, tu peux piocher dedans sans problème . Je précise juste ma position au cas où : je ne suis pas "adversaire" des standards, je suis convaincu que les outils proposés sont sensationnels, mais je trouve que des propos exagérés sont tenus à l'encontre de webmestres qui soit s'en foutent, soit détournent les outils à d'autres fins.
  5. Ah bien, c'est donc à toi que je dois ça Monique. Je note, je note... Pour te répondre. Quand tu dis "Quand j'exprime des pensées (ou des informations, des récits...) par écrit, j'ai deux possibilités : j'écris tout au kilomètre ou j'organise un peu mon texte... je peux alors placer un titre et des sous-titres, ajouter ici une liste et là un tableau de données... Le fond de ma pensée est-il différent dans l'un ou l'autre cas ?" Je ne pensais pas à ce type d'exemple. Je crois que le fond de ta pensée est déjà structuré Mais je pense, en effet, que le message serait autre. Beaucoup d'écrivains ont affirmé écrire différemment selon qu'il utilisaient la machine à écrire ou le traitement de texte. J'en ai entendu un autre bilingue expliquer à la fin d'une interview que celle-ci n'aurait pas pris la même direction si elle avait eu lieu en anglais. Pour ton exemple, oui, je pense que tu n'écrirais pas la même chose si tu te laissais passer du coq à l'âne sans souci de hiérarchiser tes propos que quand tu penses à l'avance à quel niveau de la hiérarchie va être intégrer ce que tu écris. Mais je maintiens ce que j'ai dit : le W3C propose un type de structure. Je vais m'appuyer sur une phrase de Jpv : "Du point de vue de la sémantique peut importe qu'un élément H1 soit un titre de page ou un titre de section, ce qui importe est de déterminer une structure hiérarchisée." Uns structure hiérarchisée, c'est un type de structure : une hiérarchie signifie qu'il y a des "au-dessus de" et des "au dessous de", par exemple. Pour donc communiquer par ce biais une pensée non hiérarchisée, il faut la modifier, ajouter une hiérarchie où il n'y en a pas à l'origine. Il faut donc la déformer. D'où ma conclusion : si les standards deviennent universels, il n'y aura pas la place sur Internet pour toutes les expressions. Si tous veulent s'exprimer, tous seront amenés à penser de façon hiérarchisée. Sur la fin de ton post, je comprends que tu dis, mais tu pousses un peu . Entre un pdf et le tout-css, il y a quand même des degrés . LaurentDenis Mon raisonnement n'est pas "Il existe un processus de consensus... Je choisis de ne pas y participer pour y faire entendre mon point de vue... Ma non participation volontaire rend ce consensus discutable" (j'ai cité mon cas à titre d'exemple). Il est : "Dans les faits, très peu de gens participent aux travaux du W3C". Je citais mon cas à titre d'exemple. C'était pour dire que le W3C n'a pas grand-chose d'universel ni de représentatif. De plus, je ne peux pas y participer : quand je clique depuis cette pagesur "Comment entrer en contact" ou "comment devenir membre", je tombe sur des pages en britiche. Ne causant pas cette langue, je suis exclu d'office. Tout simplement. Tout ça pour te dire que parler de "consensus" en la matière me paraît un peu exagéré. Ou alors, précisons et parlons de "consensus entre quelques experts informatiques parlant l'anglais". Pour ton exemple XFN en revanche, je n'ai pas compris sur quoi tu te bases pour affirmer que le standard développé par le W3C ne se limite pas à une vision occidentale. Rien que la page "en 7 points" dont j'ai mis le lien est un condensé d'un idéal américain. Il est par exemple question de "libre arbitre". On essaie de compter les cultures dans lesquelles cette notion n'existe tout simplement pas ?
  6. Hem, je ne sais pas trop si je dois remercier ou maudire le modo qui a placé ma petite réflexion en tête de topic. D'un côté ça provoque une polémique que je trouve intéressante, d'un autre ça m'oblige à essayer de me hisser au niveau des intervenants... pas simple Je sélectionne un peu, sinon je m'en sors pas. Si j'ai oublié de l'important, faites-moi signe. LaurentDenis Tu me reprends quand je dis que le W3C est une autorité. Tu dis par exemple : "Ha, la vieux malentendu sur le rôle du W3C et des standards dont il permet la définition : cet organisme et ces standards n'ont aucune valeur ni aucune autorité, ni aucune légitimité en eux-mêmes." Il est question de respecter des standards et les intervenants se réfèrent aux intentions du W3C pour trancher des litiges. Le W3C joue donc le rôle d'une autorité, le fait qu'elle soit choisie et non imposée n'y change pas grand chose. Tu dis aussi : "Ce n'est pas le W3C qui édicte, qui choisit. Chaque organisme et même chaque personne intervenant sur le Web peuvent s'y associer." C'est certainement vrai (encore que, je cause pas le britiche, je peux aller causer avec eux ?), mais dans les faits, chaque organisme et chaque intervenant ne s'y associe pas. Je trouve ça un peu démago, en tout cas autant que, par exemple, "chaque citoyen américain peut devenir Président des Etats-Unis". Oui, mais dans les faits, il n'y en a qu'un à la fois. Denis et Ganf J'ai donc écrit : "Si tout le monde suivait les recommandations du W3C, il n'y aurait à terme plus qu'une seule manière de structurer un propos. J'irais jusqu'à dire que cela déboucherait sur une "pensée unique" si ce terme n'était pas si galvaudé.", je lis de votre part "c'est du n'importe quoi". Puisque vous vous permettez ce genre de commentaire, je vais m'octroyer la même liberté : c'est votre "n'importe quoi" qui est n'importe quoi. Observez les contraintes qui pèsent sur une structure, pourtant affichée libre, qui doit être conforme au W3C. Elle doit être (je pique tout chez Monique) au minimum logique, sémantique et fonctionnelle. En sont tout simplement exclue les structures qui ne repondent pas à ces trois critères. Et s'il n'y a pas de structure qui puisse exprimer des idées, des pensées qui ne sont pas logiques, sémantiques ou fonctionnelles, croyez-vous que ces idées et pensées seront représentées sur Internet ? Sans déformation ? sans altération ? Je pense (enfin, je pense suite à la lecture de travaux de gens plus édifiés que moi ) que c'est le langage, et donc sa structure, qui forge la pensée et non l'inverse. Suite logique un type de structure forge un type de pensée. Le type de structuration d'un message proposé par le W3C est donc certainement très valable pour tout un tas de messages, mais je souhaite tout simplement qu'il ne devienne pas universel. Ganf J'avoue que quand je lis "Mais la personne d'en face est aussi libre de te dire qu'elle pense que ce n'est pas bien de faire ainsi", même avec le que tu ajoutes, ça me fait drôle. Tu te donnes le droit de dire ce qui est bien et ce qui est mal ? Encore une fois, dans ce cas, je me donne le même droit et j'affirme : prétendre dire ce qui est bien et ce qui est mal, c'est mal. Ca avance vachement Pardon, mais j'insiste là-dessus, car ce registre de vocabulaire est fréquemment employé dans ce type de discussion et j'y suis, certainement pour des raisons irrationnelles, allergique. La réthorique est : tu es libre de faire ce que tu veux, mais si tu ne fais fais pas comme je dis, ce n'est pas bien. Question : quel personnage célèbre de la mythologie monothéiste nous dit exactement la même chose ? A moi donc de m'avancer dans les chemins tortueux conduisant à la zizanie aux dents vertes et à l'haleine marécageuse : les réflexions du type "c'est bien", et "c'est pas bien" quand on aborde les sujets que nous abordons, c'est n'importe quoi Plus sérieusement, je crois que nous pouvons précisément cerner un de nos points de désaccord, Ganf. En effet, un peu plus loin, tu dis "si ton but [en publiant] est de fournir un contenu au public", tu l'atteindras mieux en proposant un contenu conforme W3C (je raccourcis, je ne crois pas trop déformer). Mais mon but n'est pas de "fournir du contenu" ! C'est le but de qui, d'ailleurs ? Mon but est je sais pas, moi, si je m'occupe d'un site commercial, de susciter chez l'internaute une envie d'acheter chez moi, par exemple. Dans d'autres cas, le but est d'enrichir, d'informer, de provoquer, de faire réagir, de faire agir (un clic, un vote, un retour d'information)... Fournir du contenu n'est pas un but, mais un moyen. Un moyen de faire passer un message. Et ça, ça change tout. Parce que le contenu, c'est pas le message. C'est une partie du message, mais la forme en fait intimement partie. Et tu vas m'expliquer comment je dois faire passer mon message ? Tu vas m'expliquer comment je dois le "structurer" ? Tu vas m'expliquer comment je dois communiquer ? Et puis quoi encore ??? Juste un exemple : et si mon but est de faire passer mon message au plus grand nombre, quitte à le rendre un poil plus difficile d'accès par la suite en détournant l'usage de balises prévues pour autre chose, c'est à dire en faisant en sorte que ma page soit plus visible dans les moteurs de recherche, tu vas te permettre de porter un jugement dessus ? Encore une fois, je m'accorde la même liberté que toi et je dis : je crois que c'est toi qui fait fausse route. Donne-moi des tuyaux, oui, si ça te démange, dit-moi telle balise fait ça dans tel cas, utilise plutôt celle-là car c'est plus élégant et plus rapide. Mais je t'en prie, mon but m'appartient. Dans le genre, j'ai lu (sur le Hub, je crois) un internaute qui disait, en substance "les standards c'est génial, c'est comme si on parlait tous la même langue". Mais, ô internaute, dont je ne me rappelle pas le pseudo à ma grande honte, c'est pas génial, c'est affreux ! Une seule langue, c'est l'absence de la richesses qu'apportent les autres langues ! C'est l'impossibilité de se confronter à des pensées structurellement différentes ! Pour continuer l'analogie, si c'est une langue, j'encourage car elle est vraiment très pratique, mais quel dommage si elle en venait à écraser les autres ! Monique Je profite de ton interpellation ("J'ai beau chercher, je ne vois pas en quoi la séparation du fond et de la forme est typiquement anglo-saxonne") pour placer mon petit laïus sur le fond et la forme . Quand je dis "typiquement anglo-saxon", je fais référence au fait qu'historiquement, la presse anglo-saxonne s'attachait à dissocier les faits des commentaires, une info un peu importante faisant ainsi l'objet de deux articles, au contraire d'une presse plus latine qui imbriquait information et commentaire dans un même papier. Je poursuis. Cette idée de dissocier le fond de la forme est à mes yeux une belle illusion. Encore une fois, l'idée est de faire passer un message, et le contenu n'est pas le message. Ainsi, le message est différent si la forme est différente. Je ne vois donc pas bien pourquoi, si mon but est de faire passer un message, j'autoriserai systématiquement un tiers à le déformer en en modifiant la forme. Je ne vois pas pourquoi je rendrai systématiquement un contenu que je produis accessible sous n'importe quelle forme, c'est à dire sous des formes qui déforment le message que je souhaite faire passer. Dans le cas des CSS, c'est très commode dans bien des cas. Je trouve cet outil sensationnel. Mais pourquoi vouloir que tous les sites de la planète se structurent de cette manière ? En quoi cela serait-il un progrès ? En quoi la possibilité de déformer à sa guise le message qu'un auteur, qu'un webmestre veut faire passer, est-elle un progrès ? J'ai un message à faire passer. La forme que je donne à ce message fait partie de ce message. J'estime donc que j'ai le droit de figer cette forme à ma guise car je ne souhaite pas faire passer un autre message. Je ne crois pas que la séparation systématique du fond et de la forme soit "bien". Voilàvoilà. Bon, j'ai essayé de développer mon humble propos et de répondre à ce qui m'a fait le plus réagir dans vos messages. J'espère que j'en ai pas trop zappé, sinon (et aussi si je me trompe sur des choses), je vous fais confiance pour me le, euh, communiquer, disons. A vous lire !
  7. Là c'est pour le coup que ma réponse serait complètement hors sujet car trop générale : tu te réfères à une autorité que je conteste en tant que telle sur un domaine précis. Pas moyen dans ce cadre que nous nous comprenions à défaut de partager la même vision. Je la réserve donc pour le jour où apparaîtra un topic un peu général et courtoisement polémique sur les standards en général. A te recroiser en attendant
  8. Note : ce débat commencé dans le sujet Saut de ligne après les <h1> mérite une discussion dédiée. J'ai donc scindé les messages Salut Sibelius Je serais le premier à adhérer à ce type d'injonction, si elle n'était suivie de recommandations à suivre les standards du W3C. Je crois en effet que, de manière générale, la manière dont on structure ses propos influe sur la pensée. Le W3C propose une structuration du propos. Une hérarchisation, une façon de présenter l'information. Il encourage un parti-pris très anglo-saxon : dissocier la forme du fond. Et bien d'autres choses. Si tout le monde suivait les recommandations du W3C, il n'y aurait à terme plus qu'une seule manière de structurer un propos. J'irais jusqu'à dire que cela déboucherait sur une "pensée unique" si ce terme n'était pas si galvaudé. Ces considérations de bistrot pour dire que si je trouve légitime le respect des standards, je trouve tout aussi légitime de détourner les balises aux fins que l'on juge utiles ou amusantes. Le W3C met à notre portée des outils. C'est très gentil à lui. Mais nous sommes encore libre d'en user à notre sauce, tout de même ? A te lire
  9. Que c'est un changement de cap de la part des moteurs. Jusqu'ici, Google par exemple nous conseillait de nous poser la question : "Est-ce que j'aurais implémenté cette technique si les moteurs de recherche n'existaient pas ?". Là, il s'agit bien de mettre en place une technique exclusivement à l'intention des moteurs. A mon avis, c'est la prise en compte d'une réalité : les sites Internet sont fait aussi à l'intention des moteurs. Ces moteurs entérinent, il y a une chance pour que ça assainisse pas mal de discours.
  10. C'est la première fois que je croise une crémière qui veut le beurre et l'argent du beurre Sinon, tu dis que ça t'a donné une idée... laquelle ???
  11. Apparemment, vous avez un outil en or : l'emballage de vos produits. Ils peuvent servir de prétexte à annoncer diverses opérations (fidélisation, concours, parrainage, mécénat...) organisés en ligne. Ces opérations peuvent concerner vos distributeurs comme les clients finaux.
  12. Ca fait pas longtemps qu'il est à la mode, alors, ou bien l'usage reste local. Parce que j'ai beaucoup bossé avec des correcteurs il y a quelques années, à l'époque où je composais des bouquins de temps en temps et je n'ai jamais rencontré ce mot, ni dans leur bouche ni dans les écrits pro relatifs aux règles typo, ni même dans les forums sur lesquels on s'engueule au sujet de la longueur réglementaire du quart de quadratin. A part ça, je ne vois pas comment un mot exclusivement composé d'éléments dotés de racines grecques (ortho, typo et graphe) peut paraître "barbare" (au sens grec du terme, donc) . Je reprochais d'ailleurs à ce mot plutôt le contraire. Il est de toutes façons bien laid et rangé aux oubliettes en ce qui me concerne.
  13. Sinon, je ne sais pas si ya dans vos liens et ça s'éloigne un brin du sujet, mais un outil type dictionnaire analogique est sensationnel pour les feignasses dans mon genre quand on leur demande de pondre un artile sur un sujet auquel ils ne connaissent pas le premier mot. Ca existe en ligne ?
  14. Je m'en voudrais de ne pas participer à une discussion consacrée à chercher la petite bête. Il est question de français correct. Bon. C'est quoi cet affreux mot, "Orthotypographie", qui ne figure pas dans mon Robert pourtant récent ? Ca sort d'où ? c'est le nouveau vocable à la mode ??? Est-il absolument nécessaire d'inventer une telle horreur pleine de h et de y qu'il faut la relire trois fois quand on la tape pour être sûr qu'on a pas fait de coquille ? La vieille "règle typo" qui sent bon l'encre d'imprimerie et rappelle la blouse maculée de l'opérateur goguenard à lunettes et mégot ne suffit plus ? Il faut des néologismes, à présent, pour expliquer à l'apprenti snobinard que savoir poser une virgule est un art indispensable à qui se pique de délivrer un message certainement très profond ? Je n'ai pas d'a priori contre les nouveaux mots. Je pense même que l'usage devrait l'emporter plus souvent, dans les dicos ou les précis de grammaire, contre la règle. Mais celui-là, franchement ! D'une il ne recouvre aucune notion nouvelle, de deux il est moche à faire peur et de trois il sonne vraiment affreusement. Je ne discute donc pas le fait que ce mot ne soit pas "correct" (pourtant, ça me démange ). Mais je conclus ainsi : c'est bien de faire des efforts pour se conformer à une règle, c'est aussi pas mal d'essayer, de temps en temps, de faire simple et joli. Voilivoilà, le petit peuple qui ne pige pas les termes de plus de deux syllabes s'est exprimé, il brûle, euh, de lire vos réponses
  15. 3 candides avec moi, si vous voulez que je regarde les résultats de quelques requêtes portant sur l'informatique Je suis donc partant, super idée
  16. Disons que, techniquement, il est difficile de faire un vrai travail typo. Impossible de bidouiller l'espace entre deux caractères pour rendre des titres plus harmonieux, pas moyen de chasser proprement la veuve et l'orphelin à cause des résolutions différentes d'un écran à un autre, même pas possible de se la péter snob à mort en intégrant de jolies ligatures... Je suis même pas arrivé à remplacer l'affreuse espèce de quote par une apostrophe convenable (apparemment ya un p'tit code, merci m'sieur LaurentDenis ). Je me suis penché sur ces questions il y a quelque temps, j'avoue que j'ai un peu laissé tomber.
  17. J'ai parfois du mal à suivre les arguments des partisans de l'accessibilité à tout prix. Vouloir obliger un site (hors site public) à être, par exemple, conforme aux standards, revient à interdire tous les sites non conformes à ces standards. Comme il ne sera pas possible, pour des raisons diverses, à tous les sites d'accéder au nouveau niveau d'exigence, ils vont tout simplement fermer. Des infos qui, donc, n'étaient pas accessibles à tout le monde, deviendront carrément accessibles à personne.
  18. En même temps, des fils consacrés à cette page fleurissent régulièrement sur les forums de référenceurs. En matière de marketing viral, c'est donc loin d'être un échec Comme disait Mick Jagger, "je me fous qu'on me crache dessus en page 60 tant que j'ai ma photo en couverture".
  19. De mémoire, "droits réservés" ne signifie pas exactement "copie interdite". En presse en tous cas, on marque ça quand on publie une photo (prétexte de l'urgence ) et qu'on n'a pas réussi à joindre l'auteur. On appose la mention "droits réservés" ou "DR" pour indiquer que l'auteur n'a qu'à se manifester pour être réglé au tarif syndical, autrement dit que ses droits ont été réservés. Enfin, je crois (édité moi cause françouze comme espagnole vache )
  20. Wow Le prends pas mal Korrigan, mais ta question me fait un peu peur. En tant que webmaster d'un site de e-commerce, faudrait que t'aies un minimum de notions de marketing en ligne, quand même Acheter de la pub en ligne, pour faire vite, c'est réserver de l'espace, moyennant finances, dans d'autres sites pour y faire passer une annonce incitant à visiter le tien. Ca peut se faire par l'intermédiaire de régies qui réservent l'espace dans un grand nombre de sites et y insèrent les annonces de leur clients. Comme l'a dit Lafosca, tu auras du mal à bien te référencer, c'est à dire que les moteurs de recherche ne t'amèneront pas forcément assez de visiteurs pour que ta boutique soit viable. Il te faut donc te renseigner sur les autres moyens d'attirer ces visiteurs.
  21. Je suis entièrement d'accord avec toi, Lafosca. Cependant, d'autres outils pour attirer les visiteurs (ne serait-ce que l'achat de pub en ligne) s'avèrent rentables dans le cadre d'un e-commerce, ce qui n'est pas forcément le cas pour des sites basés sur d'autres business-models.
  22. Salut Une des premières choses à faire serait, sur tes pages intérieures, de remplacer le mot "Accueil" par, par exemple : "Décoration d'intérieur : accueil". Google attache beaucoup d'importance au texte des liens. Ensuite, il te sera difficile d'obtenir suffisamment de visites en ciblant sur une seule occurence. Pense donc à optimiser chacune de tes pages sur le produit qu'elles affichent, comme "tapis", "coussin", etc et à créer des liens vers ces pages contenant les mots en question. Enfin, si tu le peux, essaie d'ajouter des pages à ton site. Tu dois pouvoir monter cinq ou six pages ne serait-ce que sur le commerce équitable. Pour le reste, tu vas avoir trente mille autre conseils sur le Hub, tu peux en suivre, allez, 95 % les yeux fermés
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