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Et pourquoi ne pas utiliser le removal tool depuis les GWT ?

Matt Cutts était plutôt clair dès 2006 en parlant de sites hackés qui sont blacklistés. />http://www.mattcutts.com/blog/how-google-handles-hacked-sites/ Il y a encore eu un débat récemment aux USA sur le même sujet, mais je ne me rappelle plus du tout l'URL du site. A ta place, je réagirai immédiatement en expliquant le hack. Ca ne coûte pas cher de rédiger un mail et peut prévenir d'un éventuel blacklist. Laisser Google "juger" par lui-même n'a jamais été ma tasse de thé.

Je suis allé voir le site en question. Ok pour être autodidacte. Nous sommes quasiment tous issu de la même "formation". Sauf qu'il faudrait quand même proposer un site qui soit réalisé le plus proprement possible (j'allais dire "dans les règles de l'art"). Pour tout avouer, j'ai vu un désastre graphique et quand je me suis dirigé sur le code source, c'est carrément un cataclysme.

C'est même 28 milliards $ que Bill Gates a donné aux uvres caritatives. Il pèse encore 40 milliards $ en 2009, donc tu peux ajouter les montants qu'il a donné. En 2008, il avait même promis de tout donner plutôt que donner un héritage monstrueux à ses enfants.

C'est extrait du mythique film Colors avec Robert Duvall et Sean Penn

Oui c'est moi l'auteur Pour être précis il faut remplacer "mais" par "car". Par contre "être ignorant de son ignorance est la maladie de l'ignorant" n'est pas de moi, mais j'aime bien à appliquer dans le cadre du référencement. Puis la dernière qui colle bien au sujet, je la laisse en anglais car ça sonne mieux : Baby bull tells daddy bull :"let's say we run down there and fuck one of the cows" Daddy bull replies :"no son. Let's walk and fuck them all"

le footer est une div comme un autre. Il suffit d'enlever les symptômes qui permettent d'identifier cette div comme une zone type footer et ça n'est plus un footer, même si sur la page c'est bien placé en footer.

Je ne me rappelle plus les stats à propos des fonds qui sont effectivement dévoués à ceux qui en ont besoin, mais c'est pas lourd. La vaste majorité est perdue dans les "frais de fonctionnement". Label bien pratique pour englober tous ceux qui se sucrent dans le charity business.

En fait, j'ai une vision très spéciale de la donation. C'est empreint de mon vécu aux USA où la charité est généralisée, mais j'y vois une sorte de dédouanement. En quelque sorte, le pire des salauds va faire une bonne action, permettant de laver ses pêchés.

Le footer est simplement une zone du code source facilement identifiable par Google. Si l'intention est de valoriser cette zone, il est aisé de la remonter plus haut grâce à un codage XHTML, puis pourquoi pas faire en sorte que cela ressemble moins à une partouze de liens. Il suffit d'enrober les liens de texte et ça va passer comme une lettre à La Poste. Je pense également qu'un site avec peu ou pas de liens externes est immédiatement catalogué. Les "radins du link" rentrent dans une catégorie bien spécifique. Remarque, c'est toujours confortant d'observer que certains n'ont toujours rien compris. Ça nous laisse la voie grande ouverte pour réussir plus facilement Un autre de mes dictons est " nous ne sommes pas forts, mais ce sont les autres qui sont tellement nuls" Les sites de ecommerce se positionnent faute de combattants. Ce n'est pas dur de les gratter.

Je suis de l'avis de Wefficient. Le montant offert nous semble important, mais reste une broutille à l'échelle des moyens Google. De plus, en faire ainsi la promo est indécent. Plutôt qu'une clef USB Google, je préfère ma clef USB faite à partir d'un vieux clavier Apple. Au moins, je peux mettre la capacité que je veux

Merci de voler à mon secours Comme suggéré, je n'ai aucun problème à me remettre en question, mais encore faut-il m'avancer des arguments valables. Je reviendrai même sur mon avis contre le PR si jamais on me prouvait qu'il représentait un indice fiable et prépondérant.

As-tu lu l'article que tu suggères ? Ou pire, c'est toi qui a écrit ce torchon ? T'as raison sur le fait que la seule chose que je prétends savoir est de ne rien savoir. Mais je connais tout de même quelques règles essentielles. Mes tarifs sont à ta disposition si jamais tu souhaites un transfert de compétences.

Toi aussi tu as des visites d'IPs Google Inc. à Mountain View ou c'est seulement la France ? Il est toujours possible de laisser passer une coquille, mais pas sur un tel document qui est vu par des millions de personnes.

Ah je l'attendais celle là ! Si nous en sommes encore à croire qu'il faut préserver son PR, c'est sublime. Pour la nième fois, je n'ai pas envie de monter au créneau contre le fait que le PR est seulement un élément parmi tant d'autres. Si tu veux, nous pouvons faire un petit pari. D'un côté, tu me proposes ta page avec le plus fort PR possible. De l'autre, je pars avec un PR = 0. Nous allons cibler une requête et tu vas y aller avec ton beau PR et aucun lien externe. De l'autre côté, je vais m'attacher à linker les pages influentes sur la requête avec un anchor texte parfaitement composé. Je vais surtout linker celles qui possèdent les keywords dans l'URL. Merci pour l'article de 3 lignes que tu proposes (mouarf Wikipedia comme base), mais je te conseille les articles du Hub si tu veux vraiment savoir de quoi il en retourne. />http://www.webmaster-hub.com/publication/L-algorithme-du-PageRank-explique.html

Héhé bien vu La page contact de Google France est http://www.google.fr/intl/fr/contact/index.html

Pas d'accord! Ou plutôt, ce n'est pas aussi simple que ça. Avec ton affirmation, il semble clair qu'effectuer des liens externes est pénalisant. Or c'est totalement faux. Il n'y a pas de contre-indication à faire autant de liens que possible. La limite des 100 liens est un mythe émanant d'une mauvaise interpréation des propos de GoogleGuy qui voulait plutôt parler de la limite souhaitable de 100ko pour une page. Les 100ko viennent de la théorie qui voulait que le Cache de Google s'arrêtait à cette limite. En clair et sans décodeur, il n'y a pas de limite et absolument aucune contre-indication et encore moins pénalité à vouloir faire des liens externes. Tu peux faire 3000 liens sur une page si tu veux sans qu'il y ait une possibilité d'être pénalisé sur ce paramètre. La véritable problématique se pose plutôt à propos de la pertinence des liens proposés. Que ça soit 10 ou 1 000 liens, il faut surtout s'attacher à évaluer leur utilité. La dévalorisation du footer vient plutôt du fait que c'est très souvent une partouze de liens indigeste. Si jamais ce footer est pertinent, il n'y a pas de raison qu'il soit pénalisé.

Je ne vois pas trop ce que les "outils et connaissances" viennent faire dans l'histoire. Justement, si tu cherches un référenceur, c'est pour te dégager de ce genre de choses. De plus, cette liste est trop basique. Par rapport à ta reflexion qui devait "froisser" les référenceurs, il est tout à fait exact qu'il ne sert à rien d'attirer le chaland si la plateforme n'est pas optimisée pour vendre. Un projet Web est un ensemble qui comprend bien plus que le référencement. Mais là encore tu t'égares sur une voie bien différente du sujet de base. En bref, je crois que tu pars trop sur différentes directions. Pour publier un billet efficace, il faut tacler un sujet comme il faut à la place de survoler maladroitement plusieurs éléments.

En effet, je me rappelle maintenant de cet excellent article, mais ma mémoire fait parfois défaut quand ça remonte à plus de 24 heures

J'ai déjà répondu à cette question sous forme de billet : 10 questions à poser au référenceur

Oui et non car si tu bâtis un site solide, il va apparaître partout. Puis si personnalisation rime avec meilleure conversion, je suis enchanté.

En valeur absolue, je suis d'accord que la personnalisation est un sérieux bienfait. J'irais même beaucoup plus loin dans le cadre du e-commerce. Par exemple en proposant des produits de gammes différentes suivant le profil du visiteur. Ce qui me gène est l'obsession de Google à épier par tous les moyens possibles l'utilisateur. Bien sûr que c'est leur fond de commerce, mais ça laisse un sale goût de savoir qu'on est profilé. Surtout en tant que référenceur, j'ai droit à des visites bien humaines quasiment chaque jour depuis plusieurs IPs émanant de Google Inc., à Mountain View. Ils étaient plutôt déchaînés pendant le concours de référencement Black Hattitude. Pour l'utilisateur lambda, je suppose que l'incidence est minimale, mais pour celui qui fait son fond de commerce sur les SERPS, c'est beaucoup plus gênant. Pour autant, mes billets témoignent que ce profiling m'inquiète guère.

Plutôt que référencement, je parle toujours de visibilité. Pour l'animation communautaire, on parle de Social Media Optimization (SMO) Là où je te rejoins par rapport à la personnalisation concerne cette saleté de Cookie qui est plutôt vilain. Concernant les implications pour le SEO, je ne crois pas que ça devienne un réel danger, mais l'avenir peut me prouver le contraire.

Le métier de SEO est loin d'être mort. Même la base du métier qui est l'optimisation du HEAD et les inscriptions annuaires a encore de beaux jours devant lui, étant donné l'état léthargique de la vaste majorité des sites. Les nouveautés que tu annonces sont plutôt émettrices de fabuleux moyens mis entre les mains de ceux qui savent les utiliser. Le référenceur doit simplement évaluer différents canaux pour attirer le visiteur. En fait, il faut même arriver à un modèle viable de visibilité qui est basé sur le 1/3. Il s'agit d'obtenir 1/3 de trafic émanant du réf nat, 1/3 de trafic direct et 1/3 de referers. L'état de fait du passé avec 100% du traf qui déboule des résultats de recherche naturel était un bonus extraordinaire, mais ceux qui ont pérennisé dessus doivent revoir leur stratégie. Le bonus s'est naturellement rétrécit et rien d'anormal à cette situation. Donc, je ne dirais pas que le boulot est mort, mais peut-être qu'il faut un peu plus de boulot pour arriver à certains résultats. Seulement, ces résultats sont largement plus viables que ceux obtenus auparavant en récupérant un trafic salvateur depuis les requêtes Google. On pourrait continuer sans fin sur des détails comme la personnalisation ou autres, mais ce sont des éléments qui doivent s'intégrer comme n'importe quelle autre évolution du métier. Ce sont des atouts qui ne doivent pas être interprétés comme des dangers.